Actuellement, l'Algérie dispose de 59 barrages en exploitation et d'ici l'année prochaine, ils seront au nombre de 72 pour une capacité de près de 7 milliards de m3, tandis que 10 autres barrages seront réalisés d'ici à 2013. Actuellement, l'Algérie dispose de 59 barrages en exploitation et d'ici l'année prochaine, ils seront au nombre de 72 pour une capacité de près de 7 milliards de m3, tandis que 10 autres barrages seront réalisés d'ici à 2013. On peut notamment citer le barrage de Beni Haroun (Mila), déjà entré en service et qui est destiné à alimenter plusieurs wilayas de l'Est du pays, d'une capacité globale de 950 millions de m3. Mais, à présent, on table sur un volume annuel de 504 millions de m3 dont 242 millions pour l'alimentation en eau potable pour plus de 4,6 millions d'habitants des wilayas de Jijel, Mila, Oum El Bouaghi, Batna, Constantine, Aïn M'lila et Khenchela et 262 millions de m3 pour l'irrigation de 30.000 hectares . Quant au barrage de Koudiat Acerdoune, doté d'une capacité de plus de 600 millions de m3, il sera opérationnel prochainement. L'entreprise nationale de traitement hydraulique, Hydro Traitement, participe activement aux activités de traitement d'eau potable dans les stations d'épuration des eaux usées, ainsi qu'aux stations de dessalement. Elle contribue donc au développement du réseau national de distribution d'eau potable par le biais de ses prestations. Cette entreprise, qui sera prochainement certifiée ISO 9000-2001, une haute distinction pour l'atteinte de performances et d'un degré élevé de qualité, a réalisé, sous l'impulsion de son président-directeur général, Abdelkamel Khireddine, des projets prometteurs en l'espace de 21 années. Parmi les infrastructures concrétisées par Hydro Traitement, on peut notamment énumérer 23 stations de traitement des eaux de 30 à 1.400 litres par seconde, 30 stations d'épuration des eaux usées de 2.000 à 350.000 Equivalents habitants et 2 stations de déminéralisation des eaux saumâtres. Issue du regroupement de l'Entreprise nationale de traitement des eaux (ENTE), de l'unité Engineering de l'entreprise nationale des forages et de la Société d'étude et de réalisation hydraulique (SERHYD), Hydro Traitement existe depuis 1986. Khireddine, qui a participé au Salon international de l'eau, Expo 2008 de Saragosse (Espagne), envisage de rendre cette entreprise plus performante et leader dans le domaine du traitement de l'eau et des stations d'épuration, en axant ses efforts notamment sur le principe du marketing management, le développement des ressources humaines, et surtout l'amélioration du système de qualité afin d'offrir une eau plus potable aux consommateurs. Les autres réalisations d'Hydro Traitement montrent les perspectives de développement de cette entreprise et ses ambitions d'investir le marché national des ressources hydrauliques. Parmi ces réalisations, on note le montage de deux stations de lagunage, de 20 stations de pompage de 100 à 500 litres par seconde, ainsi que 29 projets de conduites d'alimentation d'eau potable de différents diamètres en fonte et acier totalisant plus de 1.000 kilomètres. En outre, Hydro Traitement a conçu une dizaine de projets d'assainissement de 200 à 800 mm, 13 stations de dessalement d'eau de mer de 1.000 à 5 000 m3 par jour et 30 réservoirs hydrauliques d'une capacité de 500 à 5 000 m3. Le directeur commercial d'Hydro Traitement et l'assistant du PDG, A. Mesbah, estiment que les objectifs assignés à cette entreprise sont atteints graduellement et d'autres réalisations sont en train de voir le jour à travers le territoire national, dont quatre stations de traitement des eaux en cours de réalisation à Béjaïa, Aïn Temouchent, Ain Oulmane et Zéralda. Mais il y a également d'autres unités à Guelma, Tissemsilt et Oued R'hiou qui alimenteront les différentes populations des localités en eau potable, sachant que les opérations de traitement des eaux potables incluent aussi les fonctions de désinfection et de potabilisation, car il s'agit de rendre ce précieux liquide dépourvu de toute contamination en l'analysant suivant des critères microbiologiques stricts et pointilleux. Le directeur commercial de cette entreprise estime que cette entreprise s'active à réaliser 100 stations d'épuration et de dessalement d'eau de mer de petites et moyennes capacités en fonction d'un programme de réalisation de stations d'épuration, notamment à Bouira de 150.000 Equivalent habitants et une autre à Theniet el Had de 8.000 Equivalent habitants. Quant à la station d'Aïn Beïda, elle aura une capacité de 300 litres par seconde. Des travaux sont entamés pour la réalisation d'une station d'épuration de 100.000 Equivalents habitants à Zéralda, alors que la station de Sidi Ali Labhar de Béjaïa d'une capacité de 25.000 Equivalents habitants sera opérationnelle dès le mois prochain. Concernant les autres perspectives de réalisations hydrauliques, on peut notamment ajouter le projet de la station d'épuration de Aïn Oulmane de 120.000 Equivalents habitants, mais l'entreprise attend l'approbation de la commission nationale des marchés au moment où plusieurs appels d'offres ont été soumissionnés à Tissemsilt, Boussaâda et Aïn Témouchent, sans oublier une station d'épuration à Beni Messous. Dans les cinq prochaines années, Hydro Traitement réalisera 10 stations d'épuration, notamment deux unités de 15.000 Equivalents habitants à Tigzirt et Azzefoun, ainsi que des programmes de réhabilitation et de renouvellement des stations d'épuration à Reghaïa et Staoueli qui sont déjà en cours de réalisation. Des besoins de près de 7 milliards de m3 par an Alors que les besoins en eau des Algériens sont quantifiés à plus de 6,9 milliards de m3 par an, la qualité de cette ressource vitale devient de plus en plus importante, sachant que les stations d'épuration de l'eau sont à pied d'œuvre pour rendre l'eau potable plus saine et pure, dépourvue de tout risque microbiologique. Cependant, l'Algérie doit dès aujourd'hui réfléchir sur cette ressource devenue de plus en plus rare, car d'ici 2020 à 2025, les ressources hydriques algériennes atteindront leurs limites, selon les prévisions et analyses de l'Agence nationale algérienne des changements climatiques (ANCC). Aussi, le développement du secteur algérien des ressources en eau évaluées à plus de 600 millions de m3 annuellement nécessite des opérations de traitement de grandes quantités d'eaux usées qui devront être épurées à partir de 2009. L'Algérie a consenti plus de 12 milliards de dollars pour sa stratégie en matière de production hydraulique entre 2005 et 2010, en multipliant les projets de dessalement d'eau de mer pour lesquelspas moins de 1 milliard de dollars a déjà été investi dont 500 millions financés par des investisseurs étrangers, bien que le processus de dessalement soit onéreux et complexe. On peut notamment citer le barrage de Beni Haroun (Mila), déjà entré en service et qui est destiné à alimenter plusieurs wilayas de l'Est du pays, d'une capacité globale de 950 millions de m3. Mais, à présent, on table sur un volume annuel de 504 millions de m3 dont 242 millions pour l'alimentation en eau potable pour plus de 4,6 millions d'habitants des wilayas de Jijel, Mila, Oum El Bouaghi, Batna, Constantine, Aïn M'lila et Khenchela et 262 millions de m3 pour l'irrigation de 30.000 hectares . Quant au barrage de Koudiat Acerdoune, doté d'une capacité de plus de 600 millions de m3, il sera opérationnel prochainement. L'entreprise nationale de traitement hydraulique, Hydro Traitement, participe activement aux activités de traitement d'eau potable dans les stations d'épuration des eaux usées, ainsi qu'aux stations de dessalement. Elle contribue donc au développement du réseau national de distribution d'eau potable par le biais de ses prestations. Cette entreprise, qui sera prochainement certifiée ISO 9000-2001, une haute distinction pour l'atteinte de performances et d'un degré élevé de qualité, a réalisé, sous l'impulsion de son président-directeur général, Abdelkamel Khireddine, des projets prometteurs en l'espace de 21 années. Parmi les infrastructures concrétisées par Hydro Traitement, on peut notamment énumérer 23 stations de traitement des eaux de 30 à 1.400 litres par seconde, 30 stations d'épuration des eaux usées de 2.000 à 350.000 Equivalents habitants et 2 stations de déminéralisation des eaux saumâtres. Issue du regroupement de l'Entreprise nationale de traitement des eaux (ENTE), de l'unité Engineering de l'entreprise nationale des forages et de la Société d'étude et de réalisation hydraulique (SERHYD), Hydro Traitement existe depuis 1986. Khireddine, qui a participé au Salon international de l'eau, Expo 2008 de Saragosse (Espagne), envisage de rendre cette entreprise plus performante et leader dans le domaine du traitement de l'eau et des stations d'épuration, en axant ses efforts notamment sur le principe du marketing management, le développement des ressources humaines, et surtout l'amélioration du système de qualité afin d'offrir une eau plus potable aux consommateurs. Les autres réalisations d'Hydro Traitement montrent les perspectives de développement de cette entreprise et ses ambitions d'investir le marché national des ressources hydrauliques. Parmi ces réalisations, on note le montage de deux stations de lagunage, de 20 stations de pompage de 100 à 500 litres par seconde, ainsi que 29 projets de conduites d'alimentation d'eau potable de différents diamètres en fonte et acier totalisant plus de 1.000 kilomètres. En outre, Hydro Traitement a conçu une dizaine de projets d'assainissement de 200 à 800 mm, 13 stations de dessalement d'eau de mer de 1.000 à 5 000 m3 par jour et 30 réservoirs hydrauliques d'une capacité de 500 à 5 000 m3. Le directeur commercial d'Hydro Traitement et l'assistant du PDG, A. Mesbah, estiment que les objectifs assignés à cette entreprise sont atteints graduellement et d'autres réalisations sont en train de voir le jour à travers le territoire national, dont quatre stations de traitement des eaux en cours de réalisation à Béjaïa, Aïn Temouchent, Ain Oulmane et Zéralda. Mais il y a également d'autres unités à Guelma, Tissemsilt et Oued R'hiou qui alimenteront les différentes populations des localités en eau potable, sachant que les opérations de traitement des eaux potables incluent aussi les fonctions de désinfection et de potabilisation, car il s'agit de rendre ce précieux liquide dépourvu de toute contamination en l'analysant suivant des critères microbiologiques stricts et pointilleux. Le directeur commercial de cette entreprise estime que cette entreprise s'active à réaliser 100 stations d'épuration et de dessalement d'eau de mer de petites et moyennes capacités en fonction d'un programme de réalisation de stations d'épuration, notamment à Bouira de 150.000 Equivalent habitants et une autre à Theniet el Had de 8.000 Equivalent habitants. Quant à la station d'Aïn Beïda, elle aura une capacité de 300 litres par seconde. Des travaux sont entamés pour la réalisation d'une station d'épuration de 100.000 Equivalents habitants à Zéralda, alors que la station de Sidi Ali Labhar de Béjaïa d'une capacité de 25.000 Equivalents habitants sera opérationnelle dès le mois prochain. Concernant les autres perspectives de réalisations hydrauliques, on peut notamment ajouter le projet de la station d'épuration de Aïn Oulmane de 120.000 Equivalents habitants, mais l'entreprise attend l'approbation de la commission nationale des marchés au moment où plusieurs appels d'offres ont été soumissionnés à Tissemsilt, Boussaâda et Aïn Témouchent, sans oublier une station d'épuration à Beni Messous. Dans les cinq prochaines années, Hydro Traitement réalisera 10 stations d'épuration, notamment deux unités de 15.000 Equivalents habitants à Tigzirt et Azzefoun, ainsi que des programmes de réhabilitation et de renouvellement des stations d'épuration à Reghaïa et Staoueli qui sont déjà en cours de réalisation. Des besoins de près de 7 milliards de m3 par an Alors que les besoins en eau des Algériens sont quantifiés à plus de 6,9 milliards de m3 par an, la qualité de cette ressource vitale devient de plus en plus importante, sachant que les stations d'épuration de l'eau sont à pied d'œuvre pour rendre l'eau potable plus saine et pure, dépourvue de tout risque microbiologique. Cependant, l'Algérie doit dès aujourd'hui réfléchir sur cette ressource devenue de plus en plus rare, car d'ici 2020 à 2025, les ressources hydriques algériennes atteindront leurs limites, selon les prévisions et analyses de l'Agence nationale algérienne des changements climatiques (ANCC). Aussi, le développement du secteur algérien des ressources en eau évaluées à plus de 600 millions de m3 annuellement nécessite des opérations de traitement de grandes quantités d'eaux usées qui devront être épurées à partir de 2009. L'Algérie a consenti plus de 12 milliards de dollars pour sa stratégie en matière de production hydraulique entre 2005 et 2010, en multipliant les projets de dessalement d'eau de mer pour lesquelspas moins de 1 milliard de dollars a déjà été investi dont 500 millions financés par des investisseurs étrangers, bien que le processus de dessalement soit onéreux et complexe.