L'Internet est devenu, depuis quelques années, relèvent des spécialistes en la matière, une véritable arme de propagande des organisations terroristes. L'Internet est devenu, depuis quelques années, relèvent des spécialistes en la matière, une véritable arme de propagande des organisations terroristes. Selon des études et des enquêtes menées par les services de sécurité et des spécialistes de la cybercriminalité, il est établi que le terrorisme a réussi à transformer, via ses sites djihadistes, des jeunes innocents en véritables bombes humaines. Cette nouvelle stratégie a été empruntée, signale-t-on, par les barbares de l'Ex GSPC, pour la première fois, en janvier 2006. Depuis cette date, l'ex-GSPC n'a pas cessé de multiplier ses diffusions sur des sites Djihadistes. «Des films de scènes d'horreur, des photos d'adolescents, transformés en kamikaze, des appels au Djihad, des prises de contact avec les terroristes, des cours d'endoctrinement, des formations dans la guérilla urbaine. Pour réussir ce travail, l'Ex-GSPC a procédé à la création des katibates, dénommées «Lajna l'Elmiya», en 2006, chargées d'assurer la propagandes et l'animation des camps d'entraînements et de recrutements virtuels», souligne une source sécuritaire. Notant aussi que suite aux consultations coutumières des sites djihadistes, des jeunes issus des grands quartiers populaires ont vite fini par être recrutés et transformés en kamikaze. Comme exemple, la même source revient sur le cas de cet adolescent, âgé à peine de 15 ans, qui s'est fait explosé l'année dernière contre une caserne de gardes-côte à Dellys. Camps d'entraînements et de recrutements virtuels L'Internet est devenu, depuis quelques années, relèvent des spécialistes en la matière, une véritable arme de propagande des organisations terroristes. Elle est utilisée notamment, pour recruter de nouveaux éléments. Signalons, en ce sens, que plusieurs espaces réservés aux internautes dans les quartiers populaires, sont transformés en sérieux foyers d'enrôlement pour les terroristes. Selon l'enquête précitée, le site appelé «Elmontadayates», présentant des forums électroniques en langue arabe comme en langue française, est fortement visité par les jeunes des quartiers populeux. Ils consultent ces sites pour échanger des informations, prendre des contacts et écouter des fatwas, appelant notamment, au djihad. Ces forums sont, d'après ces mêmes enquêtes, les principaux facteurs de la propagande des groupes terroristes. C'est d'ailleurs, le cas du GSPC, devenu EL-Quaida au pays du Maghreb, qui a fait de l'Internet son principal moyen de communication et de recrutement. Pour argument, l'on souligne que toutes les photos que l'on voit sur les téléphones portables ou sur des CD sont téléchargées à partir de l'Internet. Plusieurs jeunes innocents ont été recrutés via internet. Ces adolescents sont influencés par ce qui se passe en Irak. D'ailleurs, c'est pour cela qu'ils visionnent ces différents forums. Dans ce contexte, il est à signaler que les internautes entrent en contact avec les recruteurs dans l'espoir de rejoindre l'Irak avant qu'ils soient détournés par le GSPC. Dans cette optique, un responsable des services de sécurité, nous a fait savoir, pour sa part, que les camps d'embrigadement et de recrutement ne sont plus dans les maquis, mais sont dans les cybercafés, en indiquant également que des jeunes ont souvent utilisé les sites djihadistes pour entrer en rapport avec des terroristes. Quelques temps plus tard ces internautes se retrouvent soumis à de sérieux lavages de cerveaux. A ce sujet, l'on apprend que des jeunes adolescents, à peine âgés de 16 et 17 ans, ont avoué avoir fréquenté des cybercafés et être entrés en relation avec des sites basés à l'étranger, qui leurs assurent des cours sur la fabrication des bombes, l'organisation des attentats à la bombe, l'entraînement aux techniques de la guérilla, l'endoctrinement et l'apologie du terrorisme. Autant de services offerts aux internautes sur le Web à des fins sanglantes. Selon des spécialistes de la cybercrininalité, cette nouvelle stratégie offre d'abord aux hordes terroristes une tribune de « publicité », et s'en servent notamment pour la formation à distance. Ils enseignent à leurs recrues le maniement des armes et comment réussir un enlèvement. Il y aurait alors des camps d'entraînement et de recrutement virtuels sur le Web. Profession kamikaze Les différents contenus diffusés par les sites Djihadistes mènent à terme à la formation de la bombe humaine. Les sites Djihadistes, souligne un spécialiste de la cybercriminalité, assure une profession kamikaze aux jeunes recrues. A ce sujet, notre interlocuteur notera que l'Ex-GSPC a mis en place, depuis 2006, une liste de diffusion régulière et sécurisée sur laquelle il fournissait ses relevés des opérations, ses communiqués de revendication et ses documentaires officiels audio et vidéo. A partir de cette date, des spécialistes des questions sécuritaires ont soutenus, à leur tour, que les hordes de l'Ex-GSPC ont fait desgrands efforts pour proposer aux internautes des sites complets et mis à jour. Ces derniers dispensent, notamment, de cours d'endoctrinement. En premier lieu, la liste des sites djihadistes mis en exécution a été mensuelle. Quelques temps plus tard, cette liste est devenue hebdomadaire. Son contenu a été ensuite repris intégralement par les autres sites de diffusions djihadistes existants. Ainsi, l'on trouve que certains sites, ne manquent pas d'audience auprès des jeunes. On y trouve des séries d'entretiens de chefs terroristes disponibles sur des sites, justifiant et glorifiant leurs actes, et leurs positions extrémistes. Ces entretiens portent notamment sur les attentats contre les civils. Pis encore, des enquêtes des services de sécurité ont établi que les vidéos sont l'invention majeure des groupes du GSPC. Ces groupes ont mis sur pied, croit-on savoir, un comité de média «Lajna l'Elmiya» et exigé de tous leurs groupes de bourreaux à filmer leurs opérations de jour comme de nuit. Cette stratégie, indique-t-on, consiste à galvaniser les hordes terroristes et leur redonner un nouveau souffle après avoir été acculé à l'isolement, voir à l'extinction. Ces nouvelles pratiques, aussi, rendent compte, relèvent des experts en la matière, d'une initiation spirituelle préalable au combat, rappelant les films des éléments d'Al-Qaïda, tournés à l'occasion de chaque attentat suicide d'envergure en Irak. Ces films retracent et décrivent notamment les qualités des kamikazes, en empruntant les techniques des aveux filmés et des exécutions sanglantes. Et pour preuve, l'appel adressé, par Hassan Hatab aux hordes terroristes, après l'attentat suicide des Issers, à déposer les armes et à se rendre, mais surtout avertissant les internautes de s'éloigner des sites Djihadistes, voire de ne pas croire aux propagandes diffusées. Outre cet exemple, la découverte à Thenia, dans la wilaya de Boumerdès, par les services de sécurité l'an dernier, d'une dizaine d'adolescents recrutés par les terroristes. Ces recrues ont avoué aux services de sécurité qu'ils étaient en contact avec des terroristes par le biais des sites djihadistes avant qu'ils ne soient recrutés par les terroristes. C'est un cas qui a été aussi enregistré à El-Oued et à Constantine, où des jeunes adolescents recrutés pour partir en l'Irak , se sont retrouvés dans les maquis du GSPC. Selon des études et des enquêtes menées par les services de sécurité et des spécialistes de la cybercriminalité, il est établi que le terrorisme a réussi à transformer, via ses sites djihadistes, des jeunes innocents en véritables bombes humaines. Cette nouvelle stratégie a été empruntée, signale-t-on, par les barbares de l'Ex GSPC, pour la première fois, en janvier 2006. Depuis cette date, l'ex-GSPC n'a pas cessé de multiplier ses diffusions sur des sites Djihadistes. «Des films de scènes d'horreur, des photos d'adolescents, transformés en kamikaze, des appels au Djihad, des prises de contact avec les terroristes, des cours d'endoctrinement, des formations dans la guérilla urbaine. Pour réussir ce travail, l'Ex-GSPC a procédé à la création des katibates, dénommées «Lajna l'Elmiya», en 2006, chargées d'assurer la propagandes et l'animation des camps d'entraînements et de recrutements virtuels», souligne une source sécuritaire. Notant aussi que suite aux consultations coutumières des sites djihadistes, des jeunes issus des grands quartiers populaires ont vite fini par être recrutés et transformés en kamikaze. Comme exemple, la même source revient sur le cas de cet adolescent, âgé à peine de 15 ans, qui s'est fait explosé l'année dernière contre une caserne de gardes-côte à Dellys. Camps d'entraînements et de recrutements virtuels L'Internet est devenu, depuis quelques années, relèvent des spécialistes en la matière, une véritable arme de propagande des organisations terroristes. Elle est utilisée notamment, pour recruter de nouveaux éléments. Signalons, en ce sens, que plusieurs espaces réservés aux internautes dans les quartiers populaires, sont transformés en sérieux foyers d'enrôlement pour les terroristes. Selon l'enquête précitée, le site appelé «Elmontadayates», présentant des forums électroniques en langue arabe comme en langue française, est fortement visité par les jeunes des quartiers populeux. Ils consultent ces sites pour échanger des informations, prendre des contacts et écouter des fatwas, appelant notamment, au djihad. Ces forums sont, d'après ces mêmes enquêtes, les principaux facteurs de la propagande des groupes terroristes. C'est d'ailleurs, le cas du GSPC, devenu EL-Quaida au pays du Maghreb, qui a fait de l'Internet son principal moyen de communication et de recrutement. Pour argument, l'on souligne que toutes les photos que l'on voit sur les téléphones portables ou sur des CD sont téléchargées à partir de l'Internet. Plusieurs jeunes innocents ont été recrutés via internet. Ces adolescents sont influencés par ce qui se passe en Irak. D'ailleurs, c'est pour cela qu'ils visionnent ces différents forums. Dans ce contexte, il est à signaler que les internautes entrent en contact avec les recruteurs dans l'espoir de rejoindre l'Irak avant qu'ils soient détournés par le GSPC. Dans cette optique, un responsable des services de sécurité, nous a fait savoir, pour sa part, que les camps d'embrigadement et de recrutement ne sont plus dans les maquis, mais sont dans les cybercafés, en indiquant également que des jeunes ont souvent utilisé les sites djihadistes pour entrer en rapport avec des terroristes. Quelques temps plus tard ces internautes se retrouvent soumis à de sérieux lavages de cerveaux. A ce sujet, l'on apprend que des jeunes adolescents, à peine âgés de 16 et 17 ans, ont avoué avoir fréquenté des cybercafés et être entrés en relation avec des sites basés à l'étranger, qui leurs assurent des cours sur la fabrication des bombes, l'organisation des attentats à la bombe, l'entraînement aux techniques de la guérilla, l'endoctrinement et l'apologie du terrorisme. Autant de services offerts aux internautes sur le Web à des fins sanglantes. Selon des spécialistes de la cybercrininalité, cette nouvelle stratégie offre d'abord aux hordes terroristes une tribune de « publicité », et s'en servent notamment pour la formation à distance. Ils enseignent à leurs recrues le maniement des armes et comment réussir un enlèvement. Il y aurait alors des camps d'entraînement et de recrutement virtuels sur le Web. Profession kamikaze Les différents contenus diffusés par les sites Djihadistes mènent à terme à la formation de la bombe humaine. Les sites Djihadistes, souligne un spécialiste de la cybercriminalité, assure une profession kamikaze aux jeunes recrues. A ce sujet, notre interlocuteur notera que l'Ex-GSPC a mis en place, depuis 2006, une liste de diffusion régulière et sécurisée sur laquelle il fournissait ses relevés des opérations, ses communiqués de revendication et ses documentaires officiels audio et vidéo. A partir de cette date, des spécialistes des questions sécuritaires ont soutenus, à leur tour, que les hordes de l'Ex-GSPC ont fait desgrands efforts pour proposer aux internautes des sites complets et mis à jour. Ces derniers dispensent, notamment, de cours d'endoctrinement. En premier lieu, la liste des sites djihadistes mis en exécution a été mensuelle. Quelques temps plus tard, cette liste est devenue hebdomadaire. Son contenu a été ensuite repris intégralement par les autres sites de diffusions djihadistes existants. Ainsi, l'on trouve que certains sites, ne manquent pas d'audience auprès des jeunes. On y trouve des séries d'entretiens de chefs terroristes disponibles sur des sites, justifiant et glorifiant leurs actes, et leurs positions extrémistes. Ces entretiens portent notamment sur les attentats contre les civils. Pis encore, des enquêtes des services de sécurité ont établi que les vidéos sont l'invention majeure des groupes du GSPC. Ces groupes ont mis sur pied, croit-on savoir, un comité de média «Lajna l'Elmiya» et exigé de tous leurs groupes de bourreaux à filmer leurs opérations de jour comme de nuit. Cette stratégie, indique-t-on, consiste à galvaniser les hordes terroristes et leur redonner un nouveau souffle après avoir été acculé à l'isolement, voir à l'extinction. Ces nouvelles pratiques, aussi, rendent compte, relèvent des experts en la matière, d'une initiation spirituelle préalable au combat, rappelant les films des éléments d'Al-Qaïda, tournés à l'occasion de chaque attentat suicide d'envergure en Irak. Ces films retracent et décrivent notamment les qualités des kamikazes, en empruntant les techniques des aveux filmés et des exécutions sanglantes. Et pour preuve, l'appel adressé, par Hassan Hatab aux hordes terroristes, après l'attentat suicide des Issers, à déposer les armes et à se rendre, mais surtout avertissant les internautes de s'éloigner des sites Djihadistes, voire de ne pas croire aux propagandes diffusées. Outre cet exemple, la découverte à Thenia, dans la wilaya de Boumerdès, par les services de sécurité l'an dernier, d'une dizaine d'adolescents recrutés par les terroristes. Ces recrues ont avoué aux services de sécurité qu'ils étaient en contact avec des terroristes par le biais des sites djihadistes avant qu'ils ne soient recrutés par les terroristes. C'est un cas qui a été aussi enregistré à El-Oued et à Constantine, où des jeunes adolescents recrutés pour partir en l'Irak , se sont retrouvés dans les maquis du GSPC.