Les protestations affectant ces trois formations politiques nationales sont révélatrices des dysfonctionnements caractérisant leur gestion. Les protestations affectant ces trois formations politiques nationales sont révélatrices des dysfonctionnements caractérisant leur gestion. Les luttes intestines au sein des formations politique reviennent au devant de l'actualité nationale. Si le vieux parti, le FLN et son plus ancien opposant, le FFS, en sont habitués, le MSP semble s'engager dans une véritable aventure aux conséquences inconnues. Les dissidences, ou du moins les protestations affectant ces trois acteurs de la scène politique nationale sont révélatrices des dysfonctionnements caractérisant leur gestion. Pour le FLN, les frondeurs menés par Abbas Mekhalif, ancien président du groupe parlementaire de ce parti, ne demandent rien moins que le départ de l'actuelle direction. Les contestataires reprochent à cette dernière le fait «de piétiner le règlement intérieur et les statuts du parti.» Mais il n'est un secret pour personne que le vieux parti souffre toujours des séquelles de ce qui est convenu d'appeler le 8econgrès bis, tenu en 2004. Un congrès qui a vu le clan des redresseurs, menés par Belkhadem, tirer le tapis sous les pieds des « légalistes » menés par Benflis. Le vent de fronde qui ne cesse de souffler sur les structures de base du FLN (Mouhafadates et kasmates) est, d'ailleurs, le résultat de l'exclusion des cadres qui s'étaient affichés partisans de Benflis. Et maintenant que Belkhadem est relevé de ses fonctions de Chef de gouvernement, la position de ses adversaires semble nettement plus avantageuse. Un changement des rapports de force rendu possible par le fait que les cadres du FLN, habitués au pouvoir et des dividendes qui en résultent, n'apprécient pas les chefs déchus. Le FLN, parait-il, a contaminé le MSP, son associé au sein de l'Alliance présidentielle. La formation du feu Cheikh Nahnah, connue pour la discipline de ses militants, évolue depuis son 4e congrès, tenu fin juillet dernier, au rythme des luttes intestines. Le comité de réconciliation n'a pas réussi, du moins pour le moment, à éteindre le feu provoqué par la guerre de leadership opposant l'actuel président du Mouvement, Bouguerra Soltani, à son rival, Abdelmdjid Menasra. Les partisans de ce dernier, à l'instar des ex-légalistes du FLN, protestent contre « la purge » qu'opère la direction sortante à leur encontre. L'étendue de la crise qui mine le MSP a été dévoilée, il y a une semaine, quand 28 élus à l'APN ont interpellé Soltani, via une missive, sur « l'exclusion des cadres pros-Menasra. » Les observateurs de la scène politique nationale estiment que la crise du MSP, non habitué avec les luttes intestines, pourrait l'amener à l'implosion. Un constat qui ne s'applique pas, estime-t-ils encore, sur le cas du FFS, sujet à des dissensions depuis sa création en 1963. Néanmoins, on considère que les opposants de Karim Tabou, premier secrétaire de ce parti, partagent, en partie, les revendications des frondeurs du FLN et du MSP, en ce qui concerne l'«exclusion d'une partie des cadres». Tabou, soutiennent ses détracteurs, «gère le parti de manière autoritaire et est coupable de marginaliser les compétences qui ne lui sont pas acquises.» Les frondeurs du FFS, notons-le, on passé à la vitesse supérieure, après la réunion qu'ils ont tenue vendredi à Akbou, dans la wilaya de Bejaia. Ils ont décidé, en effet, sous la houlette de Ali Rachedi, exclu du parti depuis 1999, de créer une formation parallèle, appelée FFS-Commissions nationales. En somme, les problèmes internes dont souffrent ces trois partis sont liés, d'une manière ou d'une autre, au partage des postes de responsabilité et au manque de transparence caractérisant leur fonctionnement. Les luttes intestines au sein des formations politique reviennent au devant de l'actualité nationale. Si le vieux parti, le FLN et son plus ancien opposant, le FFS, en sont habitués, le MSP semble s'engager dans une véritable aventure aux conséquences inconnues. Les dissidences, ou du moins les protestations affectant ces trois acteurs de la scène politique nationale sont révélatrices des dysfonctionnements caractérisant leur gestion. Pour le FLN, les frondeurs menés par Abbas Mekhalif, ancien président du groupe parlementaire de ce parti, ne demandent rien moins que le départ de l'actuelle direction. Les contestataires reprochent à cette dernière le fait «de piétiner le règlement intérieur et les statuts du parti.» Mais il n'est un secret pour personne que le vieux parti souffre toujours des séquelles de ce qui est convenu d'appeler le 8econgrès bis, tenu en 2004. Un congrès qui a vu le clan des redresseurs, menés par Belkhadem, tirer le tapis sous les pieds des « légalistes » menés par Benflis. Le vent de fronde qui ne cesse de souffler sur les structures de base du FLN (Mouhafadates et kasmates) est, d'ailleurs, le résultat de l'exclusion des cadres qui s'étaient affichés partisans de Benflis. Et maintenant que Belkhadem est relevé de ses fonctions de Chef de gouvernement, la position de ses adversaires semble nettement plus avantageuse. Un changement des rapports de force rendu possible par le fait que les cadres du FLN, habitués au pouvoir et des dividendes qui en résultent, n'apprécient pas les chefs déchus. Le FLN, parait-il, a contaminé le MSP, son associé au sein de l'Alliance présidentielle. La formation du feu Cheikh Nahnah, connue pour la discipline de ses militants, évolue depuis son 4e congrès, tenu fin juillet dernier, au rythme des luttes intestines. Le comité de réconciliation n'a pas réussi, du moins pour le moment, à éteindre le feu provoqué par la guerre de leadership opposant l'actuel président du Mouvement, Bouguerra Soltani, à son rival, Abdelmdjid Menasra. Les partisans de ce dernier, à l'instar des ex-légalistes du FLN, protestent contre « la purge » qu'opère la direction sortante à leur encontre. L'étendue de la crise qui mine le MSP a été dévoilée, il y a une semaine, quand 28 élus à l'APN ont interpellé Soltani, via une missive, sur « l'exclusion des cadres pros-Menasra. » Les observateurs de la scène politique nationale estiment que la crise du MSP, non habitué avec les luttes intestines, pourrait l'amener à l'implosion. Un constat qui ne s'applique pas, estime-t-ils encore, sur le cas du FFS, sujet à des dissensions depuis sa création en 1963. Néanmoins, on considère que les opposants de Karim Tabou, premier secrétaire de ce parti, partagent, en partie, les revendications des frondeurs du FLN et du MSP, en ce qui concerne l'«exclusion d'une partie des cadres». Tabou, soutiennent ses détracteurs, «gère le parti de manière autoritaire et est coupable de marginaliser les compétences qui ne lui sont pas acquises.» Les frondeurs du FFS, notons-le, on passé à la vitesse supérieure, après la réunion qu'ils ont tenue vendredi à Akbou, dans la wilaya de Bejaia. Ils ont décidé, en effet, sous la houlette de Ali Rachedi, exclu du parti depuis 1999, de créer une formation parallèle, appelée FFS-Commissions nationales. En somme, les problèmes internes dont souffrent ces trois partis sont liés, d'une manière ou d'une autre, au partage des postes de responsabilité et au manque de transparence caractérisant leur fonctionnement.