A l'instar de son homologue de l'Education nationale, (Benbouzid), le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Rachid Haraoubia a tant bien que mal tenté, hier, de positiver le bilan des réalisation du secteur, notamment depuis les réformes engagées par son département. A l'instar de son homologue de l'Education nationale, (Benbouzid), le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Rachid Haraoubia a tant bien que mal tenté, hier, de positiver le bilan des réalisation du secteur, notamment depuis les réformes engagées par son département. Chiffres à l'appui, M. Haraoubia s'est dit «très satisfait » quant au «saut qualitatif » que réalise l'université algérienne, d'année en année, autant sur le plan pédagogique que sur le plan infrastructurel. Le ministre qui a présidé la réunion nationale des chefs d'établissements universitaires, à l'occasion de la présente rentrée universitaire, a mis en relief la réalisation de «113.510 nouvelles places pédagogiques », de « 82.783 places d'hébergement (lits) », ainsi que la réception de «56 nouveaux restaurants universitaires », pour «bien accueillir les 1.158 925 étudiants, (dont 1.067.533 en graduation, 48,764 en post-graduation et 42.628 à l'UFC)» attendus cette année. Le nombre de diplômés de l'année universitaire 2007-2008 est estimé à 141.000 dont 10.490 en LMD. Quant à l'effectif global des nouveaux inscrits pour la présente année universitaire, il est de l'ordre 259.901 étudiants dont la grande majorité sont des filles (64%). Ces derniers sont répartis dans les deux systèmes pédagogiques, (LMD et classique), faisant la particularité de notre université comme suit : 110.167 sont inscrits au système LMD, (soit 42,93% des nouveaux bacheliers), et 146.455 au système classique (57,07%). Pour ce qui est de leur répartition par discipline, les chiffres du ministère montrent que les filières des Lettres, Langues et Sciences humaines se sont taillées la part du lion avec 62,62% sur le total de ces nouveaux inscrits. Elles (filières) sont suivies par les filières Sciences, Technologie et Sciences de la nature et de la vie avec 37, 38%. S'agissant de l'encadrement pédagogique, Rachid Haraoubia a indiqué que son département a procédé à l'ouverture de « 5.688 nouveaux postes budgétaires pour le recrutement des maîtres assistants et le recours aux enseignants associés ». Ceci, relève-t-il, pour renforcer l'université algérienne comportant déjà dans ce cadre, 31.703 enseignants permanents, dont 6.120 enseignants de rang magistral (professeurs et maîtres assistants). Ce qui donne le taux d'encadrement actuel de « 1 enseignant pour 29 étudiants ». Partant de cette esquisse globale, Rachid Haraoubia a estimé que tous les moyens sont désormais mis en place à même de réussir une meilleure performance de l'université algérienne, cette année. Estimant qu'on a même parlé de « surplus » en matière de lits universitaire, le ministre n'a pas manqué l'occasion pour instruire les responsables des œuvres universitaires à « veiller » à assurer un meilleur service aux étudiants, notamment pour ce qui est de la restauration et du transport. « il faut œuvrer a assurer le transport et la restauration à l'universitaire conformément aux horaires pédagogiques » a-t-il dit dans la foulée. S'agissant par ailleurs, du nouveau système LMD, (licence, magistère, doctorat), toujours appréhendé par la famille universitaire, le ministre a étayé que l'objectif recherché par l'introduction du système LMD, est d' «améliorer le niveau de l'étudiant, et le préparer à la vie active, selon les normes internationale ». Pour ce faire, le ministre a souligné que la tutelle a pris les mesures idoines pour la réussite de l'application de ce système dans notre pays. Il a fait savoir dans ce sens, que trois postes d'enseignement viennent d'être créé par le ministère pour accompagner les inscrits au système LMD, outre la généralisation du logiciel de gestion de ce cursus pédagogique. Il s'agit, précise le ministre, des postes de professeur responsable du domaine, d'un responsable de filière, et d'un tuteur. Il insiste notamment sur ce dernier poste de «tutorat», qui vise à assurer un suivi à l'étudiant par un enseignant tout le long de son cursus universitaire. Chiffres à l'appui, M. Haraoubia s'est dit «très satisfait » quant au «saut qualitatif » que réalise l'université algérienne, d'année en année, autant sur le plan pédagogique que sur le plan infrastructurel. Le ministre qui a présidé la réunion nationale des chefs d'établissements universitaires, à l'occasion de la présente rentrée universitaire, a mis en relief la réalisation de «113.510 nouvelles places pédagogiques », de « 82.783 places d'hébergement (lits) », ainsi que la réception de «56 nouveaux restaurants universitaires », pour «bien accueillir les 1.158 925 étudiants, (dont 1.067.533 en graduation, 48,764 en post-graduation et 42.628 à l'UFC)» attendus cette année. Le nombre de diplômés de l'année universitaire 2007-2008 est estimé à 141.000 dont 10.490 en LMD. Quant à l'effectif global des nouveaux inscrits pour la présente année universitaire, il est de l'ordre 259.901 étudiants dont la grande majorité sont des filles (64%). Ces derniers sont répartis dans les deux systèmes pédagogiques, (LMD et classique), faisant la particularité de notre université comme suit : 110.167 sont inscrits au système LMD, (soit 42,93% des nouveaux bacheliers), et 146.455 au système classique (57,07%). Pour ce qui est de leur répartition par discipline, les chiffres du ministère montrent que les filières des Lettres, Langues et Sciences humaines se sont taillées la part du lion avec 62,62% sur le total de ces nouveaux inscrits. Elles (filières) sont suivies par les filières Sciences, Technologie et Sciences de la nature et de la vie avec 37, 38%. S'agissant de l'encadrement pédagogique, Rachid Haraoubia a indiqué que son département a procédé à l'ouverture de « 5.688 nouveaux postes budgétaires pour le recrutement des maîtres assistants et le recours aux enseignants associés ». Ceci, relève-t-il, pour renforcer l'université algérienne comportant déjà dans ce cadre, 31.703 enseignants permanents, dont 6.120 enseignants de rang magistral (professeurs et maîtres assistants). Ce qui donne le taux d'encadrement actuel de « 1 enseignant pour 29 étudiants ». Partant de cette esquisse globale, Rachid Haraoubia a estimé que tous les moyens sont désormais mis en place à même de réussir une meilleure performance de l'université algérienne, cette année. Estimant qu'on a même parlé de « surplus » en matière de lits universitaire, le ministre n'a pas manqué l'occasion pour instruire les responsables des œuvres universitaires à « veiller » à assurer un meilleur service aux étudiants, notamment pour ce qui est de la restauration et du transport. « il faut œuvrer a assurer le transport et la restauration à l'universitaire conformément aux horaires pédagogiques » a-t-il dit dans la foulée. S'agissant par ailleurs, du nouveau système LMD, (licence, magistère, doctorat), toujours appréhendé par la famille universitaire, le ministre a étayé que l'objectif recherché par l'introduction du système LMD, est d' «améliorer le niveau de l'étudiant, et le préparer à la vie active, selon les normes internationale ». Pour ce faire, le ministre a souligné que la tutelle a pris les mesures idoines pour la réussite de l'application de ce système dans notre pays. Il a fait savoir dans ce sens, que trois postes d'enseignement viennent d'être créé par le ministère pour accompagner les inscrits au système LMD, outre la généralisation du logiciel de gestion de ce cursus pédagogique. Il s'agit, précise le ministre, des postes de professeur responsable du domaine, d'un responsable de filière, et d'un tuteur. Il insiste notamment sur ce dernier poste de «tutorat», qui vise à assurer un suivi à l'étudiant par un enseignant tout le long de son cursus universitaire.