Deux importantes réunions vont avoir lieu ce mois de septembre. L'une à New York où l'Assemblée générale de l'ONU devra se pencher sur les tenants et les aboutissants de la crise géorgienne et sur l‘indépendance des deux républiques séparatistes. L'autre, à Bruxelles, où une réunion intra muros du Conseil de l'OTAN test également prévu sur la question. Deux importantes réunions vont avoir lieu ce mois de septembre. L'une à New York où l'Assemblée générale de l'ONU devra se pencher sur les tenants et les aboutissants de la crise géorgienne et sur l‘indépendance des deux républiques séparatistes. L'autre, à Bruxelles, où une réunion intra muros du Conseil de l'OTAN test également prévu sur la question. Diplomatie, politique, engagements pris par les unes et les autres parties impliquées dans la crise entre la Russie et la Géorgie, chacun tient son langage, chacun tient des engagements aussitôt remis en question. Ainsi de l'accord signé récemment par le président russe, Dmitri Medvedev et le président en exercice de l'Union européenne, Nicolas Sarkozy. A peine deux jours se seront-ils écoulés que déjà la polémique est ouverte quant à savoir s les deux hommes se sont entendus pour un déploiement d'observateurs civils de l'UE en Géorgie incluant ou non l'Ossétie du sud et l'Abkhazie. De plus selon cet accord, les troupes devront s'être retirées d'un certains nombre d'endroits sous huitaine. Or, parallèlement, les russes, par la voix de Medvedev en personne, puis ^plus récemment du ministre russe des affaires étrangères, Serguei Lavrov, viennent d'accuser l'OTAN de chercher à réarmer la Géorgie. Pourtant, explique Lavrov, à chacune des doléances antérieures exprimées par Moscou sur la question, Washington a toujours assuré qu'il ne permettrait jamais l'usage de cet armement pour s'en prendre aux populations d'Ossétie du sud et d'Abkhazie. Même son de cloche, à usage double, dans la bouche du chef de la diplomatie européenne, l'espagnol Solana, lorsqu'il affirme que « les observateurs de l'Union européenne seront déployés avec l'esprit d'être partout. » De plus pour les russes, une éventuelle prolongation de mandat de ces observateurs, devrait se faire en concertation avec les autorités politiques de l'Ossétie du sud et de l'Abkhazie. Ces deux provinces séparatistes ayant tout récemment obtenu la reconnaissance officielle de Moscou avec échange d'ambassadeurs. La condition posée par Moscou est de taille et risque d'encore davantage aggraver un processus de négociations bien difficile puisqu'il implique ni plus ni moins qu'une reconnaissance officieuse de l'UE de l'indépendance de ces deux républiques. Or, sur ce plan l'Union européenne et les Etats Unis sont formels : la Russie doit revenir sur sa décision de reconnaître leurs indépendances. Cette tension politico diplomatique intervient à la veille d' l'Assemblée générale de l'ONU, courant septembre à New York, et où la question du conflit russo géorgien sera très certainement au centre des débats. De même qu'un sommet intra muros du Conseil de l'OTAN est prévu toujours ce mois de septembre. Autres éléments qui ajoutent à la tension entre Moscou et Washington, le fait que la Pologne ait accrédité le principe du déploiement de forces américaines sur son sol dans le cadre du bouclier antimissile et que le gouvernement thèque ait tout récemment approuvé l'installation du même bouclier sur son sol. En tout état de cause, on voit mal maintenant que les choses ont atteint un tel imbroglio comment espérer un règlement sérieux et définitif du conflit. En tout état de cause, on voit mal maintenant que les choses ont atteint un tel imbroglio comment espérer un règlement sérieux et définitif du conflit. Chacun accusant l'autre de chercher, à travers ce conflit à étendre sa zone d'influence dans la région. Diplomatie, politique, engagements pris par les unes et les autres parties impliquées dans la crise entre la Russie et la Géorgie, chacun tient son langage, chacun tient des engagements aussitôt remis en question. Ainsi de l'accord signé récemment par le président russe, Dmitri Medvedev et le président en exercice de l'Union européenne, Nicolas Sarkozy. A peine deux jours se seront-ils écoulés que déjà la polémique est ouverte quant à savoir s les deux hommes se sont entendus pour un déploiement d'observateurs civils de l'UE en Géorgie incluant ou non l'Ossétie du sud et l'Abkhazie. De plus selon cet accord, les troupes devront s'être retirées d'un certains nombre d'endroits sous huitaine. Or, parallèlement, les russes, par la voix de Medvedev en personne, puis ^plus récemment du ministre russe des affaires étrangères, Serguei Lavrov, viennent d'accuser l'OTAN de chercher à réarmer la Géorgie. Pourtant, explique Lavrov, à chacune des doléances antérieures exprimées par Moscou sur la question, Washington a toujours assuré qu'il ne permettrait jamais l'usage de cet armement pour s'en prendre aux populations d'Ossétie du sud et d'Abkhazie. Même son de cloche, à usage double, dans la bouche du chef de la diplomatie européenne, l'espagnol Solana, lorsqu'il affirme que « les observateurs de l'Union européenne seront déployés avec l'esprit d'être partout. » De plus pour les russes, une éventuelle prolongation de mandat de ces observateurs, devrait se faire en concertation avec les autorités politiques de l'Ossétie du sud et de l'Abkhazie. Ces deux provinces séparatistes ayant tout récemment obtenu la reconnaissance officielle de Moscou avec échange d'ambassadeurs. La condition posée par Moscou est de taille et risque d'encore davantage aggraver un processus de négociations bien difficile puisqu'il implique ni plus ni moins qu'une reconnaissance officieuse de l'UE de l'indépendance de ces deux républiques. Or, sur ce plan l'Union européenne et les Etats Unis sont formels : la Russie doit revenir sur sa décision de reconnaître leurs indépendances. Cette tension politico diplomatique intervient à la veille d' l'Assemblée générale de l'ONU, courant septembre à New York, et où la question du conflit russo géorgien sera très certainement au centre des débats. De même qu'un sommet intra muros du Conseil de l'OTAN est prévu toujours ce mois de septembre. Autres éléments qui ajoutent à la tension entre Moscou et Washington, le fait que la Pologne ait accrédité le principe du déploiement de forces américaines sur son sol dans le cadre du bouclier antimissile et que le gouvernement thèque ait tout récemment approuvé l'installation du même bouclier sur son sol. En tout état de cause, on voit mal maintenant que les choses ont atteint un tel imbroglio comment espérer un règlement sérieux et définitif du conflit. En tout état de cause, on voit mal maintenant que les choses ont atteint un tel imbroglio comment espérer un règlement sérieux et définitif du conflit. Chacun accusant l'autre de chercher, à travers ce conflit à étendre sa zone d'influence dans la région.