Parmi les maux dont souffre la wilaya de Constantine figure l'épineuse question de l'environnement. Perte des meilleures terres, dégradation de la qualité de l'air, dégradation des ressources forestières face à l'envahissement tumultueux du béton et du goudron sur tous les fronts ont donné à Constantine le cachet d'une ville déchue et hideuses. Pour les gens civilisés, vivre dans une région dépourvue d'espaces verts est la pire des sanctions. Les Constantinois par contre considèrent la question des espaces verts comme une affaire secondaire. Elle est sans grande importance. Selon eux, le citoyen fait face à des problèmes plus graves. Même le problème crucial et récurrent de l'assainissement des égouts et des caves inondées, foyers de prolifération de rats, ne semble nullement préoccuperles citoyens. Les opérations d'embellissement des cités relèvent de la science fiction pour les Constantinois. Les habitants de la wilaya de Constantine sont-ils à ce point insensible à la dégradation de leur environnement ? Il faut croire que oui. La quasi-totalité des Constantinois ne trouve pas de mal à vivre dans des cités infectes et malsaines. L'essentiel pour eux c'est de préserver l'intérieur de la maison. Durant les week-ends ou lors des vacances scolaires, ces mêmes citoyens se plaignent ardemment parce qu'ils n'ont pas où emmener leurs familles pour passer un bon après-midi. Et pourtant Constantine recèle de richesses environnementales des plus agréables. A Djebel El Ouahch, au niveau d'El Mridj ou à El Khroub sur le tombeau de Massinissa, ce sont des endroits fabuleux qui offrent gaieté au cœur. Ces sites ont été lamentablement défigurés. Durant la décennie noire, ces endroits ont servi de fief pour les groupes armés. Aujourd'hui, ils sont envahis par des voyous de tout acabit. D'autre espaces verts ont été créés par les autorités locales pour offrir aux Constantinois plus de loisirs mais ils ont connu le même sort. La culture des espaces verts n'est pas le fort des Constantinois, et il faut le reconnaître. Parmi les maux dont souffre la wilaya de Constantine figure l'épineuse question de l'environnement. Perte des meilleures terres, dégradation de la qualité de l'air, dégradation des ressources forestières face à l'envahissement tumultueux du béton et du goudron sur tous les fronts ont donné à Constantine le cachet d'une ville déchue et hideuses. Pour les gens civilisés, vivre dans une région dépourvue d'espaces verts est la pire des sanctions. Les Constantinois par contre considèrent la question des espaces verts comme une affaire secondaire. Elle est sans grande importance. Selon eux, le citoyen fait face à des problèmes plus graves. Même le problème crucial et récurrent de l'assainissement des égouts et des caves inondées, foyers de prolifération de rats, ne semble nullement préoccuperles citoyens. Les opérations d'embellissement des cités relèvent de la science fiction pour les Constantinois. Les habitants de la wilaya de Constantine sont-ils à ce point insensible à la dégradation de leur environnement ? Il faut croire que oui. La quasi-totalité des Constantinois ne trouve pas de mal à vivre dans des cités infectes et malsaines. L'essentiel pour eux c'est de préserver l'intérieur de la maison. Durant les week-ends ou lors des vacances scolaires, ces mêmes citoyens se plaignent ardemment parce qu'ils n'ont pas où emmener leurs familles pour passer un bon après-midi. Et pourtant Constantine recèle de richesses environnementales des plus agréables. A Djebel El Ouahch, au niveau d'El Mridj ou à El Khroub sur le tombeau de Massinissa, ce sont des endroits fabuleux qui offrent gaieté au cœur. Ces sites ont été lamentablement défigurés. Durant la décennie noire, ces endroits ont servi de fief pour les groupes armés. Aujourd'hui, ils sont envahis par des voyous de tout acabit. D'autre espaces verts ont été créés par les autorités locales pour offrir aux Constantinois plus de loisirs mais ils ont connu le même sort. La culture des espaces verts n'est pas le fort des Constantinois, et il faut le reconnaître.