Les campus de l'Hexagone comptent quelques 20.204 Algériens inscrits, au terme de l'année 2007/2008. Ce nombre est susceptible d'enregistrer une hausse pour l'année 2008/2009. S'agissant des conditions d'inscriptions pour pouvoir bénéficier d'un visa d'étude dans l'une des universités françaises, il convient de souligner, selon le responsable de la communication Hachemi Mokrane au Centre culturel français, que les conditions d'inscription reposent, entre autre, sur la détention d'un baccalauréat ou d'un diplôme universitaire algérien accompagné d'un projet d'étude en France. Une fois l'accord de l'université obtenu, l'étudiant candidat devra finaliser son dossier par une demande de visa. Concernant le nombre de visas accordés au cours de l'année 2007/2008, le représentant de l'action culturelle de l'ambassade de France en Algérie, Philippe Georgeais a déclaré, en mars dernier, que les Algériens ont eu la part du lion en matière de visas étudiants. «Pas moins de 3.207 de visas ont été délivrés aux étudiants Algériens l'an dernier pour poursuivre leurs études supérieures en France». Les flux des candidats Algériens désirant continuer leurs études dans des universités françaises ne cesse pas de connaître, d'année en année, une hausse notable, signalant que le nombre global de candidatures, recensé, durant l'année 2007/2008, au niveau du Campus France, installé en Algérie depuis 2005, a atteint 12.878 demandes d'adhésions. Ces demandes ont abouti, croit-on savoir à 5.592 entretiens de présentation du projet de candidature. D'après le même représentant, les visas étudiants accordés ont connu une diminution. Certaines demandes de visas ont été rejetées par le consulat de France et non par le campus, et ce, pour des motifs consulaires bien précis, tandis que d'autres ont été complètement refusées par le campus français, et ce, suite à la vérification du parcours universitaire du candidat postulant à la poursuite des études en France, affirmant que les résultats pédagogiques de l'étudiant sont très importants pour décider de la suite à réserver pour la demande de visa. A cet effet, M. Philippe Georgeais a soutenu que même si l'université Française accorde au candidat une autorisation lui permettant de s'y inscrire, l'étudiant n'aura pas l'avis positif du campus, s'il ne répond pas aux critères mis en place par le campus. Parlant des étudiants qui postulent le plus souvent, le responsable de l'ambassade de France en Algérie a encore révélé que les étudiants de deuxième et troisième année sont majoritaires à voir leurs demandes acceptées comparativement aux étudiants de premier cycle. Notons en outre que 53% des étudiants retenus, au terme de l'année 2007/2008, pour des études en France se sont inscrits pour un cycle de master 2 ou de doctorat, contre 27% en master 1 («un»), 6% en licence, 3 et 14% en licence 1 et 2. Par ailleurs, une source proche du campus français a indiqué, pour sa part, que 90 % des algériens partis continuer leurs études en France ne retournent pas au pays. Les campus de l'Hexagone comptent quelques 20.204 Algériens inscrits, au terme de l'année 2007/2008. Ce nombre est susceptible d'enregistrer une hausse pour l'année 2008/2009. S'agissant des conditions d'inscriptions pour pouvoir bénéficier d'un visa d'étude dans l'une des universités françaises, il convient de souligner, selon le responsable de la communication Hachemi Mokrane au Centre culturel français, que les conditions d'inscription reposent, entre autre, sur la détention d'un baccalauréat ou d'un diplôme universitaire algérien accompagné d'un projet d'étude en France. Une fois l'accord de l'université obtenu, l'étudiant candidat devra finaliser son dossier par une demande de visa. Concernant le nombre de visas accordés au cours de l'année 2007/2008, le représentant de l'action culturelle de l'ambassade de France en Algérie, Philippe Georgeais a déclaré, en mars dernier, que les Algériens ont eu la part du lion en matière de visas étudiants. «Pas moins de 3.207 de visas ont été délivrés aux étudiants Algériens l'an dernier pour poursuivre leurs études supérieures en France». Les flux des candidats Algériens désirant continuer leurs études dans des universités françaises ne cesse pas de connaître, d'année en année, une hausse notable, signalant que le nombre global de candidatures, recensé, durant l'année 2007/2008, au niveau du Campus France, installé en Algérie depuis 2005, a atteint 12.878 demandes d'adhésions. Ces demandes ont abouti, croit-on savoir à 5.592 entretiens de présentation du projet de candidature. D'après le même représentant, les visas étudiants accordés ont connu une diminution. Certaines demandes de visas ont été rejetées par le consulat de France et non par le campus, et ce, pour des motifs consulaires bien précis, tandis que d'autres ont été complètement refusées par le campus français, et ce, suite à la vérification du parcours universitaire du candidat postulant à la poursuite des études en France, affirmant que les résultats pédagogiques de l'étudiant sont très importants pour décider de la suite à réserver pour la demande de visa. A cet effet, M. Philippe Georgeais a soutenu que même si l'université Française accorde au candidat une autorisation lui permettant de s'y inscrire, l'étudiant n'aura pas l'avis positif du campus, s'il ne répond pas aux critères mis en place par le campus. Parlant des étudiants qui postulent le plus souvent, le responsable de l'ambassade de France en Algérie a encore révélé que les étudiants de deuxième et troisième année sont majoritaires à voir leurs demandes acceptées comparativement aux étudiants de premier cycle. Notons en outre que 53% des étudiants retenus, au terme de l'année 2007/2008, pour des études en France se sont inscrits pour un cycle de master 2 ou de doctorat, contre 27% en master 1 («un»), 6% en licence, 3 et 14% en licence 1 et 2. Par ailleurs, une source proche du campus français a indiqué, pour sa part, que 90 % des algériens partis continuer leurs études en France ne retournent pas au pays.