La société chinoise a pris tellement de retard dans la livraison des chantiers, que le chef du gouvernement, Ahmed Ouyahia, a cru bon d'intervenir dernièrement, interdisant aux structures administratives de conclure des contrats avec les deux groupes chinois, intervenant dans les BTP, dont CSCEC. La société chinoise a pris tellement de retard dans la livraison des chantiers, que le chef du gouvernement, Ahmed Ouyahia, a cru bon d'intervenir dernièrement, interdisant aux structures administratives de conclure des contrats avec les deux groupes chinois, intervenant dans les BTP, dont CSCEC. La China State Construction Engineering Corporation (CSCEC), a été rappelée à l'ordre par Noureddine Moussa, ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme. Selon un communiqué de ce département ministériel, publié hier, Il a demandé au PDG du groupe chinois CSCEC, M.Yi Jun, en charge d'importants projets de construction en Algérie, de renforcer ses chantiers en moyens humains et matériels pour garantir la livraison des programmes dans des délais contractuels. La problématique du respect des délais, s'est posée dans toute son acuité eu égard du tout proche horizon 2009, date à laquelle s'est engagée le président de la République à réaliser un programme de 1 million de logements. La société chinoise a pris tellement de retard dans la livraison des chantiers, que le chef du gouvernement, Ahmed Ouyahia, a cru bon d'intervenir dernièrement, interdisant aux structures administratives de conclure des contrats avec les deux groupes chinois, intervenant dans les BTP, dont CSCEC. Cela après le retard accusé par ces entreprises dans la réalisation des logements AADL. L'entreprise chinoise n'est pas une inconnue dans le domaine de la construction en Algérie. Elle est aussi connue dans le monde pour la réalisation de projets à plusieurs étages, de grande envergure, nouveaux, spéciaux, importants et à financement étrangers. Des projets qui vont dans le sens souhaité par le gouvernement algérien. Au début des années 80 CSCEC, a participé activement à l'urbanisation de nouvelles cités lancées par notre pays. Elle a entrepris successivement les programmes d'urbanisation de nouvelles villes à Ain Oucer (tranche 1 et 2) et à Ain Defla. En 1997, CSCEC a pris en charge les études d'un projet militaire concernant un hôtel 05 étoiles au Cercle National des Officiers et un hôtel 03 étoiles Hôtel Mess Sous-officiers à Alger, d'une superficie totale de 25.000 m2. C'est donc une entreprise qui a une estimation des réalités du monde des affaires et du travail dans notre pays. A partir des années 2000, la CSCEC a remporté presque tous les gros contrats de réalisation de logements implantés à travers le territoire national. Il semble que les responsables de la CSCEC n'ont pas pris en compte le désir du gouvernement de faire du respect des délais de livraison du programme de 1 million de logements, une vertu cardinale. Reconnaissant les quelques retards enregistrés dans la réalisation de certains sites, L'ambassadeur de Chine à Alger, Wang Wangsheng, invité, il y a quelques jours au forum du quotidien arabophone El Moustaqbal a expliqué qu'ils sont dus, dans la plupart des cas, aux difficultés rencontrées par des entreprises chinoises. « Nous vivons des contraintes administratives qui nous dépassent », dira-t-il. Il évoqua aussi la cherté des matériaux de construction et des difficultés d'approvisionnement des agrégats et de personnel d'exécution algérien qualifié. En somme, il rejette la balle dans le camp de l'administration algérienne. Il n'y a pas que le retard dans la livraison du programme de construction dont se plaignent les autorités algériennes. le ministre, en recevant le PDG du groupe chinois CSCEC, M.Yi Jun, a également mis l'accent sur la nécessité de la mise en place d'un dispositif visant à l'amélioration de la qualité des constructions. En terme plus clair, le représentant du gouvernement a mis le doigt sur la plaie. En effet, de nombreux bénéficiaires de logements AADL se sont révoltés du fait des vices de construction et de malfaçons des logements qu'ils ont occupés. Il est remarquable de retrouver ces tares, comme le non respect des délais et malfaçons, chez les entreprises locales de construction, au sein du géant chinois de la construction. Les entreprise, malgré leurs capacités et la compétences de leurs cadres et personnels, affrontent le même environnement des affaires, enregistrant forcément les mêmes résultats. Avis à méditer par nos autorités. La China State Construction Engineering Corporation (CSCEC), a été rappelée à l'ordre par Noureddine Moussa, ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme. Selon un communiqué de ce département ministériel, publié hier, Il a demandé au PDG du groupe chinois CSCEC, M.Yi Jun, en charge d'importants projets de construction en Algérie, de renforcer ses chantiers en moyens humains et matériels pour garantir la livraison des programmes dans des délais contractuels. La problématique du respect des délais, s'est posée dans toute son acuité eu égard du tout proche horizon 2009, date à laquelle s'est engagée le président de la République à réaliser un programme de 1 million de logements. La société chinoise a pris tellement de retard dans la livraison des chantiers, que le chef du gouvernement, Ahmed Ouyahia, a cru bon d'intervenir dernièrement, interdisant aux structures administratives de conclure des contrats avec les deux groupes chinois, intervenant dans les BTP, dont CSCEC. Cela après le retard accusé par ces entreprises dans la réalisation des logements AADL. L'entreprise chinoise n'est pas une inconnue dans le domaine de la construction en Algérie. Elle est aussi connue dans le monde pour la réalisation de projets à plusieurs étages, de grande envergure, nouveaux, spéciaux, importants et à financement étrangers. Des projets qui vont dans le sens souhaité par le gouvernement algérien. Au début des années 80 CSCEC, a participé activement à l'urbanisation de nouvelles cités lancées par notre pays. Elle a entrepris successivement les programmes d'urbanisation de nouvelles villes à Ain Oucer (tranche 1 et 2) et à Ain Defla. En 1997, CSCEC a pris en charge les études d'un projet militaire concernant un hôtel 05 étoiles au Cercle National des Officiers et un hôtel 03 étoiles Hôtel Mess Sous-officiers à Alger, d'une superficie totale de 25.000 m2. C'est donc une entreprise qui a une estimation des réalités du monde des affaires et du travail dans notre pays. A partir des années 2000, la CSCEC a remporté presque tous les gros contrats de réalisation de logements implantés à travers le territoire national. Il semble que les responsables de la CSCEC n'ont pas pris en compte le désir du gouvernement de faire du respect des délais de livraison du programme de 1 million de logements, une vertu cardinale. Reconnaissant les quelques retards enregistrés dans la réalisation de certains sites, L'ambassadeur de Chine à Alger, Wang Wangsheng, invité, il y a quelques jours au forum du quotidien arabophone El Moustaqbal a expliqué qu'ils sont dus, dans la plupart des cas, aux difficultés rencontrées par des entreprises chinoises. « Nous vivons des contraintes administratives qui nous dépassent », dira-t-il. Il évoqua aussi la cherté des matériaux de construction et des difficultés d'approvisionnement des agrégats et de personnel d'exécution algérien qualifié. En somme, il rejette la balle dans le camp de l'administration algérienne. Il n'y a pas que le retard dans la livraison du programme de construction dont se plaignent les autorités algériennes. le ministre, en recevant le PDG du groupe chinois CSCEC, M.Yi Jun, a également mis l'accent sur la nécessité de la mise en place d'un dispositif visant à l'amélioration de la qualité des constructions. En terme plus clair, le représentant du gouvernement a mis le doigt sur la plaie. En effet, de nombreux bénéficiaires de logements AADL se sont révoltés du fait des vices de construction et de malfaçons des logements qu'ils ont occupés. Il est remarquable de retrouver ces tares, comme le non respect des délais et malfaçons, chez les entreprises locales de construction, au sein du géant chinois de la construction. Les entreprise, malgré leurs capacités et la compétences de leurs cadres et personnels, affrontent le même environnement des affaires, enregistrant forcément les mêmes résultats. Avis à méditer par nos autorités.