«La révision de la Constitution aura lieu dans 2 mois », a affirmé mardi soir à Alger, Abdelaziz Belkhadem, secrétaire général de l'instance exécutive du FLN. «La révision de la Constitution aura lieu dans 2 mois », a affirmé mardi soir à Alger, Abdelaziz Belkhadem, secrétaire général de l'instance exécutive du FLN. L'imminence de l'amendement de la loi fondamentale du pays se confirme. «La révision de la Constitution aura lieu dans 2 mois », a affirmé mardi soir à Alger, Abdelaziz Belkhadem, secrétaire général de l'instance exécutive du FLN. S'exprimant en marge d'une cérémonie organisée par son parti à la mouhafada d'El-harrach, Belkhadem précisera que «si cette révision devait toucher le fond de la Constitution concernant essentiellement l'équilibre entre les pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire, elle passerait nécessairement par voie référendaire.» En revanche, poursuit-il, « si la révision se limite à certains articles de la Constitution, elle passera par le Parlement. » Il faut dire qu'en dépit de ces «précisions», les observateurs de la scène politique national, s'accordent à dire que cet amendement, annoncé, il y a prés de 2 années, sera opéré par l'Assemblée populaire nationale et le Sénat. Les deux chambres, de cette institution, la haute et la basse, auront notamment à modifier l'article 74 de la loi fondamentale du pays. Lequel article, faut-il le rappeler, traite de la limitation des mandats présidentiels. Belkhadem n'a pas manqué, lors de cette rencontre de proximité avec les cadres de son parti, de réaffirmer que sa formation politique soutient «l'amendement de la Constitution et la candidature du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika à un troisième mandat présidentiel». Notons que les déclarations de Belkhadem interviennent quelques jours après celles de Ahmed Ouyahia, son successeur à la tête du gouvernement, et néanmoins SG du RND. Ouyahia a, en effet, confirmé lors du dernier conseil national de son parti que ce projet de révision constitutionnelle, est imminent. » Une occasion au cours de laquelle l'actuel chef de l'Exécutif a bien insisté sur le fait que sa « machine électorale, le RND en l'occurrence, est à la disposition du président Bouteflika ». Le seul à ne pas se prononcer au sein de l'Alliance présidentielle est le MSP. Le mouvement de Bouguerra Soltani, estiment des observateurs, sera «sommé», lors du prochain sommet de cette entité triptyque, prévue, début octobre prochain, de rejoindre «la caravane». Faute de quoi, le MSP sera, exclu de l'alliance et, par voie de conséquence, perdrait ses portefeuilles ministériels. Mais la position définitive du MSP, indiquent des sources proches de sa direction, «ne peut être annoncée avant la réunion du Conseil consultatif programmée au cours de la deuxième quinzaine du mois prochain.» L'imminence de l'amendement de la loi fondamentale du pays se confirme. «La révision de la Constitution aura lieu dans 2 mois », a affirmé mardi soir à Alger, Abdelaziz Belkhadem, secrétaire général de l'instance exécutive du FLN. S'exprimant en marge d'une cérémonie organisée par son parti à la mouhafada d'El-harrach, Belkhadem précisera que «si cette révision devait toucher le fond de la Constitution concernant essentiellement l'équilibre entre les pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire, elle passerait nécessairement par voie référendaire.» En revanche, poursuit-il, « si la révision se limite à certains articles de la Constitution, elle passera par le Parlement. » Il faut dire qu'en dépit de ces «précisions», les observateurs de la scène politique national, s'accordent à dire que cet amendement, annoncé, il y a prés de 2 années, sera opéré par l'Assemblée populaire nationale et le Sénat. Les deux chambres, de cette institution, la haute et la basse, auront notamment à modifier l'article 74 de la loi fondamentale du pays. Lequel article, faut-il le rappeler, traite de la limitation des mandats présidentiels. Belkhadem n'a pas manqué, lors de cette rencontre de proximité avec les cadres de son parti, de réaffirmer que sa formation politique soutient «l'amendement de la Constitution et la candidature du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika à un troisième mandat présidentiel». Notons que les déclarations de Belkhadem interviennent quelques jours après celles de Ahmed Ouyahia, son successeur à la tête du gouvernement, et néanmoins SG du RND. Ouyahia a, en effet, confirmé lors du dernier conseil national de son parti que ce projet de révision constitutionnelle, est imminent. » Une occasion au cours de laquelle l'actuel chef de l'Exécutif a bien insisté sur le fait que sa « machine électorale, le RND en l'occurrence, est à la disposition du président Bouteflika ». Le seul à ne pas se prononcer au sein de l'Alliance présidentielle est le MSP. Le mouvement de Bouguerra Soltani, estiment des observateurs, sera «sommé», lors du prochain sommet de cette entité triptyque, prévue, début octobre prochain, de rejoindre «la caravane». Faute de quoi, le MSP sera, exclu de l'alliance et, par voie de conséquence, perdrait ses portefeuilles ministériels. Mais la position définitive du MSP, indiquent des sources proches de sa direction, «ne peut être annoncée avant la réunion du Conseil consultatif programmée au cours de la deuxième quinzaine du mois prochain.»