Le Gouvernement a été chargé de dynamiser davantage les mécanismes de garantie du crédit aux PME, des mécanismes que l'Etat a mis sur pied mais qui ne sont pas encore suffisamment exploités. De la même manière, il doit veiller à donner un nouvel élan à la mise à niveau des entreprises, sur des bases plus rationnelles. Ces deux directives ont été formulées par le Président de la République, Abdelaziz Bouteflika qui a auditionné, hier, le ministre de la Petite et moyenne entreprise et de l'Artisanat. Le rapport présenté par ce dernier a porté sur les efforts consentis par l'Etat dans la promotion et le développement des petites et moyennes entreprises du secteur ainsi que les contraintes rencontrées et les mesures prises pour conforter la dynamique de développement de ce secteur. Relevant l'évolution appréciable des petites et moyennes entreprises, qui ont connu un rythme de développement de l'ordre de 10 % annuellement depuis le début de cette décennie, le Chef de l'Etat a estimé que la petite et moyenne entreprise doit cependant aller vers un essor plus soutenu, à la mesure des besoins réels du pays en matière d'emplois ainsi que d'outils de production et de réalisation. «L'Etat, qui a mobilisé ses moyens durant ces dix dernières années pour rattraper les retards de développement du pays, entend appuyer davantage, durant les cinq années à venir, un développement substantiel de la petite et moyenne entreprise », a-t-il notamment déclaré soulignant qu'il attend du Gouvernement « la présentation à la fin de l'année, d'un plan d'action accompagné de propositions concrètes pour la dynamisation du développement et de la mise à niveau des PME ». Pour le Président de la République « l'amélioration de la compétitivité doit rester une préoccupation permanente des chefs d'entreprises dans une économie ouverte et concurrentielle », insistant en cela auprès des opérateurs qui doivent « s'attacher à moderniser leur outil de production, à requalifier leur main-d'œuvre et à s'engager dans tous les secteurs où une demande réelle existe, qu'il s'agisse de l'outil de réalisation, de l'amélioration des services ou de la sous-traitance ». Par ailleurs, concernant l'artisanat, Abdelaziz Bouteflika insiste pour que celui-ci soit intégré dans une dynamique intensive de développement, arguant de ses effets bénéfiques dans le domaine de l'emploi et de la création des activités de services. Dans ce cadre, le Chef de l'Etat, « attend du Gouvernement qu'il encourage davantage le développement de l'artisanat dans toutes les régions du pays », et ce, par « le soutien à l'emploi des jeunes, un meilleur accès au crédit, l'encouragement du travail féminin », qui sont, selon lui, des opportunités, des formules à encourager dans la mesure, où elles permettront de stimuler le secteur de l'artisanat et traduiront tout l'intérêt particulier qu'il convient d'accorder à cette branche de l'activité économique ». Il est évident pour le Président de la République que « c'est là un important gisement d'emplois, de revenus et de savoir-faire, pour lutter contre le chômage, développer le monde rural et accompagner la renaissance du tourisme à laquelle nous sommes attelés». Le Gouvernement a été chargé de dynamiser davantage les mécanismes de garantie du crédit aux PME, des mécanismes que l'Etat a mis sur pied mais qui ne sont pas encore suffisamment exploités. De la même manière, il doit veiller à donner un nouvel élan à la mise à niveau des entreprises, sur des bases plus rationnelles. Ces deux directives ont été formulées par le Président de la République, Abdelaziz Bouteflika qui a auditionné, hier, le ministre de la Petite et moyenne entreprise et de l'Artisanat. Le rapport présenté par ce dernier a porté sur les efforts consentis par l'Etat dans la promotion et le développement des petites et moyennes entreprises du secteur ainsi que les contraintes rencontrées et les mesures prises pour conforter la dynamique de développement de ce secteur. Relevant l'évolution appréciable des petites et moyennes entreprises, qui ont connu un rythme de développement de l'ordre de 10 % annuellement depuis le début de cette décennie, le Chef de l'Etat a estimé que la petite et moyenne entreprise doit cependant aller vers un essor plus soutenu, à la mesure des besoins réels du pays en matière d'emplois ainsi que d'outils de production et de réalisation. «L'Etat, qui a mobilisé ses moyens durant ces dix dernières années pour rattraper les retards de développement du pays, entend appuyer davantage, durant les cinq années à venir, un développement substantiel de la petite et moyenne entreprise », a-t-il notamment déclaré soulignant qu'il attend du Gouvernement « la présentation à la fin de l'année, d'un plan d'action accompagné de propositions concrètes pour la dynamisation du développement et de la mise à niveau des PME ». Pour le Président de la République « l'amélioration de la compétitivité doit rester une préoccupation permanente des chefs d'entreprises dans une économie ouverte et concurrentielle », insistant en cela auprès des opérateurs qui doivent « s'attacher à moderniser leur outil de production, à requalifier leur main-d'œuvre et à s'engager dans tous les secteurs où une demande réelle existe, qu'il s'agisse de l'outil de réalisation, de l'amélioration des services ou de la sous-traitance ». Par ailleurs, concernant l'artisanat, Abdelaziz Bouteflika insiste pour que celui-ci soit intégré dans une dynamique intensive de développement, arguant de ses effets bénéfiques dans le domaine de l'emploi et de la création des activités de services. Dans ce cadre, le Chef de l'Etat, « attend du Gouvernement qu'il encourage davantage le développement de l'artisanat dans toutes les régions du pays », et ce, par « le soutien à l'emploi des jeunes, un meilleur accès au crédit, l'encouragement du travail féminin », qui sont, selon lui, des opportunités, des formules à encourager dans la mesure, où elles permettront de stimuler le secteur de l'artisanat et traduiront tout l'intérêt particulier qu'il convient d'accorder à cette branche de l'activité économique ». Il est évident pour le Président de la République que « c'est là un important gisement d'emplois, de revenus et de savoir-faire, pour lutter contre le chômage, développer le monde rural et accompagner la renaissance du tourisme à laquelle nous sommes attelés».