Les frères Kharroubi Badreddine et Chakib Toufik, fils du P-DG (en fuite) de l'ex-Banque commerciale et industrielle d'Algérie (BCIA), comparaîtront le 12 octobre prochain devant la Cour d'appel d'Oran pour "complicité de dilapidation de deniers publics", a-t-on appris samedi de source judiciaire. L'enrôlement de cette affaire intervient à la suite de l'appel interjeté par les deux accusés après leur condamnation à 7 ans de prison ferme chacun, prononcée en première instance, le 21 juillet dernier, par le tribunal correctionnel d'Es-Seddikia, qui avait relaxé deux autres personnes jugées dans le cadre de ce même dossier, rappelle-t-on. Kharroubi Badreddine et son frère Chakib Toufik étaient respectivement patron d'une compagnie d'assurances privée et responsable au sein de la BCIA en 2003, à l'époque des faits, qui avaient causé un préjudice financier de plus de 13,2 milliards de DA à la Banque extérieure d'Algérie (BEA). Ils n'avaient pas comparu au procès tenu en février 2007 devant le tribunal criminel d'Oran car ils se sont pourvus en cassation auprès de la Cour suprême qui jugea recevable leur demande de requalification des faits de "crime" en "délit". Le procès en assises avait abouti, le 28 février 2007, à la condamnation d'une cinquantaine d'accusés dont Kharroubi Ahmed et son fils Mohamed-Ali, respectivement P-DG et directeur régional de l'ex-BCIA, qui avaient écopé de 10 ans de réclusion par contumace, la peine maximale prévue par la loi. Ces derniers, en fuite à l'étranger, sont sous le coup d'un mandat d'arrêt international délivré à leur encontre par la justice en vue de leur extradition vers l'Algérie. Les frères Kharroubi Badreddine et Chakib Toufik, fils du P-DG (en fuite) de l'ex-Banque commerciale et industrielle d'Algérie (BCIA), comparaîtront le 12 octobre prochain devant la Cour d'appel d'Oran pour "complicité de dilapidation de deniers publics", a-t-on appris samedi de source judiciaire. L'enrôlement de cette affaire intervient à la suite de l'appel interjeté par les deux accusés après leur condamnation à 7 ans de prison ferme chacun, prononcée en première instance, le 21 juillet dernier, par le tribunal correctionnel d'Es-Seddikia, qui avait relaxé deux autres personnes jugées dans le cadre de ce même dossier, rappelle-t-on. Kharroubi Badreddine et son frère Chakib Toufik étaient respectivement patron d'une compagnie d'assurances privée et responsable au sein de la BCIA en 2003, à l'époque des faits, qui avaient causé un préjudice financier de plus de 13,2 milliards de DA à la Banque extérieure d'Algérie (BEA). Ils n'avaient pas comparu au procès tenu en février 2007 devant le tribunal criminel d'Oran car ils se sont pourvus en cassation auprès de la Cour suprême qui jugea recevable leur demande de requalification des faits de "crime" en "délit". Le procès en assises avait abouti, le 28 février 2007, à la condamnation d'une cinquantaine d'accusés dont Kharroubi Ahmed et son fils Mohamed-Ali, respectivement P-DG et directeur régional de l'ex-BCIA, qui avaient écopé de 10 ans de réclusion par contumace, la peine maximale prévue par la loi. Ces derniers, en fuite à l'étranger, sont sous le coup d'un mandat d'arrêt international délivré à leur encontre par la justice en vue de leur extradition vers l'Algérie.