Les travaux des 38es journées médico-chirurgicales de l'Armée nationale populaire (ANP) ont débuté mardi à Alger en présence de spécialistes algériens et étrangers qui ont fait le point lors de cette rencontre sur les techniques de traitement de plusieurs maladies dont le cancer de la prostate et le syndrome coronarien. Dans une allocution prononcée à l'ouverture de ces journées (21 et 22 octobre), le directeur central de la santé militaire, le général Bendjelloul Abdelkader, a rappelé que cette manifestation scientifique est l'une des plus anciennes puisqu'elle a débuté dans les années 60 et s'est poursuivie à ce jour sans interruption. Le général Bendjelloul a tenu à cette occasion à remercier les délégations venues d'Italie, de Turquie, de Tunisie, de France et d'Espagne pour leur participation et leur contribution à "l'élévation du niveau scientifique" de ces journées. Les thèmes débattus lors de la première journée ont porté sur des techniques "très pointues" en matière de santé civile et militaire et ont fait l'objet de tables rondes traitant du cancer de la prostate dont les méthodes de diagnostic ont connu une grande évolution, de dépistage s'effectuant à partir d'un simple "prélèvement de sang ou d'urine". Le général Bendjelloul avait, également, indiqué lors d el'allocution d'ouverture que le thème du médicament générique sera abordé lors de cette rencontre "pour le définir et faire connaître son efficacité, d'abord auprès des médecins, puis des citoyens". Il a souligné que le choix du médicament générique est une "option stratégique", ajoutant que le laboratoire pharmaceutique de contrôle du médicament doit orienter les décideurs sur le choix des médicaments génériques. Le directeur de l'Ecole nationale des services de santé militaire, le professeur Souid Mohamed Bachir, avait indiqué, pour sa part, que les travaux de ces journées ont été axés aussi, sur le cancer du col utérin. Il avait estimé nécessaire dans ce contexte que toute femme se soumette à un examen médical au moins une fois par an pour le "dépistage précoce de la maladie", une précaution permettant de sauver beaucoup de vies, avait-il dit. Ces 38es journées médico-chirurgicales se sont poursuivies hier, avec une table ronde de cardiologie qui avait abordé le syndrome coronarien aigu. Les travaux des 38es journées médico-chirurgicales de l'Armée nationale populaire (ANP) ont débuté mardi à Alger en présence de spécialistes algériens et étrangers qui ont fait le point lors de cette rencontre sur les techniques de traitement de plusieurs maladies dont le cancer de la prostate et le syndrome coronarien. Dans une allocution prononcée à l'ouverture de ces journées (21 et 22 octobre), le directeur central de la santé militaire, le général Bendjelloul Abdelkader, a rappelé que cette manifestation scientifique est l'une des plus anciennes puisqu'elle a débuté dans les années 60 et s'est poursuivie à ce jour sans interruption. Le général Bendjelloul a tenu à cette occasion à remercier les délégations venues d'Italie, de Turquie, de Tunisie, de France et d'Espagne pour leur participation et leur contribution à "l'élévation du niveau scientifique" de ces journées. Les thèmes débattus lors de la première journée ont porté sur des techniques "très pointues" en matière de santé civile et militaire et ont fait l'objet de tables rondes traitant du cancer de la prostate dont les méthodes de diagnostic ont connu une grande évolution, de dépistage s'effectuant à partir d'un simple "prélèvement de sang ou d'urine". Le général Bendjelloul avait, également, indiqué lors d el'allocution d'ouverture que le thème du médicament générique sera abordé lors de cette rencontre "pour le définir et faire connaître son efficacité, d'abord auprès des médecins, puis des citoyens". Il a souligné que le choix du médicament générique est une "option stratégique", ajoutant que le laboratoire pharmaceutique de contrôle du médicament doit orienter les décideurs sur le choix des médicaments génériques. Le directeur de l'Ecole nationale des services de santé militaire, le professeur Souid Mohamed Bachir, avait indiqué, pour sa part, que les travaux de ces journées ont été axés aussi, sur le cancer du col utérin. Il avait estimé nécessaire dans ce contexte que toute femme se soumette à un examen médical au moins une fois par an pour le "dépistage précoce de la maladie", une précaution permettant de sauver beaucoup de vies, avait-il dit. Ces 38es journées médico-chirurgicales se sont poursuivies hier, avec une table ronde de cardiologie qui avait abordé le syndrome coronarien aigu.