Selon le chef de l'Etat, le souci majeur «est de substituer à la manne pétrolière la valeur ajoutée du travail productif sur les plans matériel, intellectuel et technologique», exhortant les jeunes «à adhérer à cette démarche». Selon le chef de l'Etat, le souci majeur «est de substituer à la manne pétrolière la valeur ajoutée du travail productif sur les plans matériel, intellectuel et technologique», exhortant les jeunes «à adhérer à cette démarche». La déclaration de la guerre de Libération, il y a 54 ans, fit entrer dans l'histoire notre peuple. La Révolution de Novembre doit entretenir la lueur qui éclaire nos esprits et stimule nos volontés et s'ériger en modèle de générosité, d'abnégation et d'altruisme. Nous allons faire face au séisme économique qui se prépare et à ses répliques préjudiciables, en premier lieu, aux économies faibles des pays en développement. Il faut abandonner les mirages d'une prétendue prospérité à rechercher Outre-mer. C'est, en substance, les lignes essentielles du message du président de la République. «Si nous revenons sur la période coloniale avec toutes ses péripéties, ce n'est point pour nous enorgueillir des triomphes de notre peuple et sa capacité de briser le carcan qui l'a confiné, des décennies durant, dans les ténèbres du sous-développement, mais plutôt pour tirer les enseignements de cet événement crucial qu'est la Révolution de Novembre, qui doit entretenir la lueur qui éclaire nos esprits et stimule nos volontés et s'ériger en modèle de générosité, d'abnégation et d'altruisme», a décaré le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, dans un message adressé vendredi dernier aux Algériens, à l'occasion du 54e anniversaire du déclenchement de la Révolution du 1er Novembre 1954. Le Chef de l'Etat souligne dans ce contexte que le peuple algérien «se souciant peu des sacrifices consentis, brava les obstacles, s'arma de patience et de persévérance et finit par rendre sa liberté et sa souveraineté à une nation désormais cramponnée à ses acquis à la faveur d'une unité infaillible à toute épreuve», expliquant que «l'esprit humain est, de par sa nature, en proie à l'oubli, une tare qui peut devenir pernicieuse si ce sont nos références et nos fondements qui en font les frais». Pour Abdelaziz Bouteflika, «l'évocation de ces événements phares et prépondérants ne procède pas d'une tendance à la vanité ou à l'ostentation, encore moins d'une propension aux verbiages agrémentés mais vides de sens», mais «elle constitue une sollicitation renouvelée qui interpelle les consciences pour les mettre en garde contre les périls qui nous guettent et les exhorte à perpétuer la résistance tout en demeurant attachées à leur identité civilisationnelle à l'effet de favoriser les conditions idoines pour la renaissance». Après avoir rappelé la justesse des choix adoptés, notamment ceux de la concorde civile et de la réconciliation nationale globale, «options qui sont, à elles seules, à même de rétablir la sécurité, consolider la paix civile, resserrer les rangs de la nation et acculer les «takfiristes» qui seront vaincus par la volonté du Tout-Puissant», il avertit qu'à la faveur de ces choix, «nous allons faire faceau séïsme économiquequi se prépare et à ses répliquespréjudiciables, en premier lieu,aux économies faibles des pays en voie de developpement». Il reste que, selon le chef de l'Etat, le souci majeur «est de substituer à la manne pétrolière la valeur ajoutée du travail productif sur les plans matériel, intellectuel et technologique», exhortant les jeunes «à adhérer à cette démarche, à miser sur le travail productif et à favoriser l'activité intellectuelle afin d'exploiter à bon escient les richesses et les ressources du pays et abandonner définitivement les mirages que nous font miroiter les chaînes satellitaires qui ne cessent de faire la propagande à une prétendue prospérité à rechercher outre-mer». Dans ce cadre, il rappelle qu'il y a tout un travail à faire en direction des jeunes, «pour les porter à assimiler les leçons, recevoir le flambeau, conserver le legs, sauvegarder les acquis et, partant, se lancer dans la dynamique du développement». S. B. La déclaration de la guerre de Libération, il y a 54 ans, fit entrer dans l'histoire notre peuple. La Révolution de Novembre doit entretenir la lueur qui éclaire nos esprits et stimule nos volontés et s'ériger en modèle de générosité, d'abnégation et d'altruisme. Nous allons faire face au séisme économique qui se prépare et à ses répliques préjudiciables, en premier lieu, aux économies faibles des pays en développement. Il faut abandonner les mirages d'une prétendue prospérité à rechercher Outre-mer. C'est, en substance, les lignes essentielles du message du président de la République. «Si nous revenons sur la période coloniale avec toutes ses péripéties, ce n'est point pour nous enorgueillir des triomphes de notre peuple et sa capacité de briser le carcan qui l'a confiné, des décennies durant, dans les ténèbres du sous-développement, mais plutôt pour tirer les enseignements de cet événement crucial qu'est la Révolution de Novembre, qui doit entretenir la lueur qui éclaire nos esprits et stimule nos volontés et s'ériger en modèle de générosité, d'abnégation et d'altruisme», a décaré le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, dans un message adressé vendredi dernier aux Algériens, à l'occasion du 54e anniversaire du déclenchement de la Révolution du 1er Novembre 1954. Le Chef de l'Etat souligne dans ce contexte que le peuple algérien «se souciant peu des sacrifices consentis, brava les obstacles, s'arma de patience et de persévérance et finit par rendre sa liberté et sa souveraineté à une nation désormais cramponnée à ses acquis à la faveur d'une unité infaillible à toute épreuve», expliquant que «l'esprit humain est, de par sa nature, en proie à l'oubli, une tare qui peut devenir pernicieuse si ce sont nos références et nos fondements qui en font les frais». Pour Abdelaziz Bouteflika, «l'évocation de ces événements phares et prépondérants ne procède pas d'une tendance à la vanité ou à l'ostentation, encore moins d'une propension aux verbiages agrémentés mais vides de sens», mais «elle constitue une sollicitation renouvelée qui interpelle les consciences pour les mettre en garde contre les périls qui nous guettent et les exhorte à perpétuer la résistance tout en demeurant attachées à leur identité civilisationnelle à l'effet de favoriser les conditions idoines pour la renaissance». Après avoir rappelé la justesse des choix adoptés, notamment ceux de la concorde civile et de la réconciliation nationale globale, «options qui sont, à elles seules, à même de rétablir la sécurité, consolider la paix civile, resserrer les rangs de la nation et acculer les «takfiristes» qui seront vaincus par la volonté du Tout-Puissant», il avertit qu'à la faveur de ces choix, «nous allons faire faceau séïsme économiquequi se prépare et à ses répliquespréjudiciables, en premier lieu,aux économies faibles des pays en voie de developpement». Il reste que, selon le chef de l'Etat, le souci majeur «est de substituer à la manne pétrolière la valeur ajoutée du travail productif sur les plans matériel, intellectuel et technologique», exhortant les jeunes «à adhérer à cette démarche, à miser sur le travail productif et à favoriser l'activité intellectuelle afin d'exploiter à bon escient les richesses et les ressources du pays et abandonner définitivement les mirages que nous font miroiter les chaînes satellitaires qui ne cessent de faire la propagande à une prétendue prospérité à rechercher outre-mer». Dans ce cadre, il rappelle qu'il y a tout un travail à faire en direction des jeunes, «pour les porter à assimiler les leçons, recevoir le flambeau, conserver le legs, sauvegarder les acquis et, partant, se lancer dans la dynamique du développement». S. B.