D'importantes communications ont été données, hier, à l'esplanade de l'hôtel Sofitel, par d'éminents experts lors des 2es Assises sur l'intelligence économique et la veille stratégique. Selon le directeur de VIP Groupe, Amor Zebar, l'organisateur de cette rencontre de deux jours, l'intelligence économique est définie comme étant un facteur clé dans le processus d'innovation et de changement. «L'intelligence économique devrait, aux yeux des autorités publiques, faire l'objet d'une prise de conscience par les entreprises publiques et privées, ainsi que par les organisations publiques afin de garantir la sécurité des connaissances technologiques et industrielles», a-t-il déclaré, estimant qu'«il s'agit de savoir interpréter l'information». Le directeur de la division intelligence économique et veille stratégique au ministère de l'Industrie et de la Promotion des investissements, Djamaleddine Laabed, a indiqué que la croissance économique algérienne hors hydrocarbures ne dépasse pas les 3 %, d'où la nécessité de mettre à niveau le système de management avec le soutien de l'Etat avec, notamment, la création d'écoles et de modules à l'université propres à l'intelligence économique. Il y aura également les Assises nationales de l'intelligence économique tandis qu'en décembre de l'année en cours un séminaire national relatif à ce thème sera organisé, alors que des journées d'études régionales seront aussi animées par des spécialistes. David Autissier, maître de conférences à l'université Paris XII, a développé le concept d'intelligence économique en tant qu'enjeu de changement pour l'entreprise. « Il faut une stratégie d'entreprise, sinon il n'y aura pas de management. Il s'agit, en fait, de consacrer 80 % de temps pour travailler au sein de l'entreprise, et utiliser 20 % pour aller chercher l'information et la traiter», a-t-il dit. A. A. D'importantes communications ont été données, hier, à l'esplanade de l'hôtel Sofitel, par d'éminents experts lors des 2es Assises sur l'intelligence économique et la veille stratégique. Selon le directeur de VIP Groupe, Amor Zebar, l'organisateur de cette rencontre de deux jours, l'intelligence économique est définie comme étant un facteur clé dans le processus d'innovation et de changement. «L'intelligence économique devrait, aux yeux des autorités publiques, faire l'objet d'une prise de conscience par les entreprises publiques et privées, ainsi que par les organisations publiques afin de garantir la sécurité des connaissances technologiques et industrielles», a-t-il déclaré, estimant qu'«il s'agit de savoir interpréter l'information». Le directeur de la division intelligence économique et veille stratégique au ministère de l'Industrie et de la Promotion des investissements, Djamaleddine Laabed, a indiqué que la croissance économique algérienne hors hydrocarbures ne dépasse pas les 3 %, d'où la nécessité de mettre à niveau le système de management avec le soutien de l'Etat avec, notamment, la création d'écoles et de modules à l'université propres à l'intelligence économique. Il y aura également les Assises nationales de l'intelligence économique tandis qu'en décembre de l'année en cours un séminaire national relatif à ce thème sera organisé, alors que des journées d'études régionales seront aussi animées par des spécialistes. David Autissier, maître de conférences à l'université Paris XII, a développé le concept d'intelligence économique en tant qu'enjeu de changement pour l'entreprise. « Il faut une stratégie d'entreprise, sinon il n'y aura pas de management. Il s'agit, en fait, de consacrer 80 % de temps pour travailler au sein de l'entreprise, et utiliser 20 % pour aller chercher l'information et la traiter», a-t-il dit. A. A.