Le FLN mise avant tout sur la mobilisation de ses troupes d'autant qu'aucune voix discordante au sein du parti ne se fait entendre actuellement. Ce qui n'est pas le cas pour le MSP où Soltani n'arrive visiblement pas à imposer ses choix, contraint qu'il est à déclarer à la fois qu'il soutient la candidature du président Bouteflika pour un troisième mandat. Le FLN mise avant tout sur la mobilisation de ses troupes d'autant qu'aucune voix discordante au sein du parti ne se fait entendre actuellement. Ce qui n'est pas le cas pour le MSP où Soltani n'arrive visiblement pas à imposer ses choix, contraint qu'il est à déclarer à la fois qu'il soutient la candidature du président Bouteflika pour un troisième mandat. La scène politique s'anime dans la perspective de l'élection présidentielle d'avril 2009. Ce n'est pas encore la grande effervescence mais les formations politiques veulent, d'ores et déjà, investir le terrain pour être au rendez-vous de cette importante échéance électorale, le terrain étant maintenant balisé par les amendements partiels de la Constitution. Ce qui en clair, ne signifie ni plus ni moins que le coup d'envoi officiel d'une pré-campagne électorale pour la présidentielle. Comme toujours, c'est le FLN qui est monté le premier au créneau pour réitérer son appel en direction du président Bouteflika afin de briguer un troisième mandat et partant de signifier clairement que c'est le candidat du FLN, d'une part et d'autre part, pour tracer la feuille de route de son action de campagne et de sensibilisation. Pour le parti de Abdelaziz Belkhadem, la mission se résume à deux objectifs primordiaux à savoir amener les Algériens à se rendre massivement aux urnes le jour du scrutin et de voter pour le candidat choisi par le FLN. La disponibilité du FLN ne fait donc pas défaut et la direction du parti mise sur sa machine électorale pour bien mener sa mission. Le FLN est convaincu par ailleurs, fort de son ancrage et de son expérience en la matière, qu'aucune autre formation politique n'est en mesure de lui constituer un quelconque obstacle. Cela étant, le FLN mise avant tout sur la mobilisation de ses troupes d'autant qu'aucune voix discordante au sein du parti ne se fait entendre actuellement. Ce qui n'est pas le cas pour le MSP où Soltani n'arrive visiblement pas à imposer ses choix, contraint qu'il est à déclarer à la fois qu'il soutient la candidature du président Bouteflika pour un troisième mandat parce qu'il est l'homme de la situation mais s'oppose à l'idée que cette candidature porte les couleurs du FLN. Du côté du RND, on ne se perd pas en conjectures vraisemblablement pour ce type de questionnements dès lors que le plus important se situe au dessus des luttes partisanes d'autant qu'il s'agit là de formations politiques qui ont scellé un pacte politique qui ne souffre lui, d'aucune ambiguïté. Le RND, contrairement au MSP, où il est question avant tout de gérer au mieux la crise interne, il n'y a pas lieu de tergiverser mais de lancer de nouveau un appel au président Bouteflika pour postuler à un troisième mandat et de lui assurer un soutien indéfectible en mettant en branle son artillerie électorale. Entre temps, il paraît évident que le MSP va rejoindre le FLN et le RND. Il faut juste donner le temps au temps. On parle d'une perspective de réconciliation au sein de la formation de Soltani. D'ici là, le suspense peut durer si suspense, il y a. Car il faudra bien un jour que le MSP se positionne et cela ne saurait tarder si on tient compte du timing. La scène politique s'anime dans la perspective de l'élection présidentielle d'avril 2009. Ce n'est pas encore la grande effervescence mais les formations politiques veulent, d'ores et déjà, investir le terrain pour être au rendez-vous de cette importante échéance électorale, le terrain étant maintenant balisé par les amendements partiels de la Constitution. Ce qui en clair, ne signifie ni plus ni moins que le coup d'envoi officiel d'une pré-campagne électorale pour la présidentielle. Comme toujours, c'est le FLN qui est monté le premier au créneau pour réitérer son appel en direction du président Bouteflika afin de briguer un troisième mandat et partant de signifier clairement que c'est le candidat du FLN, d'une part et d'autre part, pour tracer la feuille de route de son action de campagne et de sensibilisation. Pour le parti de Abdelaziz Belkhadem, la mission se résume à deux objectifs primordiaux à savoir amener les Algériens à se rendre massivement aux urnes le jour du scrutin et de voter pour le candidat choisi par le FLN. La disponibilité du FLN ne fait donc pas défaut et la direction du parti mise sur sa machine électorale pour bien mener sa mission. Le FLN est convaincu par ailleurs, fort de son ancrage et de son expérience en la matière, qu'aucune autre formation politique n'est en mesure de lui constituer un quelconque obstacle. Cela étant, le FLN mise avant tout sur la mobilisation de ses troupes d'autant qu'aucune voix discordante au sein du parti ne se fait entendre actuellement. Ce qui n'est pas le cas pour le MSP où Soltani n'arrive visiblement pas à imposer ses choix, contraint qu'il est à déclarer à la fois qu'il soutient la candidature du président Bouteflika pour un troisième mandat parce qu'il est l'homme de la situation mais s'oppose à l'idée que cette candidature porte les couleurs du FLN. Du côté du RND, on ne se perd pas en conjectures vraisemblablement pour ce type de questionnements dès lors que le plus important se situe au dessus des luttes partisanes d'autant qu'il s'agit là de formations politiques qui ont scellé un pacte politique qui ne souffre lui, d'aucune ambiguïté. Le RND, contrairement au MSP, où il est question avant tout de gérer au mieux la crise interne, il n'y a pas lieu de tergiverser mais de lancer de nouveau un appel au président Bouteflika pour postuler à un troisième mandat et de lui assurer un soutien indéfectible en mettant en branle son artillerie électorale. Entre temps, il paraît évident que le MSP va rejoindre le FLN et le RND. Il faut juste donner le temps au temps. On parle d'une perspective de réconciliation au sein de la formation de Soltani. D'ici là, le suspense peut durer si suspense, il y a. Car il faudra bien un jour que le MSP se positionne et cela ne saurait tarder si on tient compte du timing.