Le premier magistrat du pays a insisté sur l'activation du travail de la commission nationale chargée de la mise en œuvre des mesures prévues par la Charte pour la réconciliation nationale. Le premier magistrat du pays a insisté sur l'activation du travail de la commission nationale chargée de la mise en œuvre des mesures prévues par la Charte pour la réconciliation nationale. Présidé par le chef de l'Etat, le premier Conseil des ministres après la révision de la Constitution a constitué l'occasion pour le Président d'évoquer les amendements apportés à la loi fondamentale et votés par les deux Chambres du Parlement. Ainsi, rapporte le communiqué qui a sanctionné le Conseil des ministres, le chef de l'Etat «a souligné que cette révision constitutionnelle, même partielle, à ce stade, est venue renforcer le rapport de notre peuple à son passé en tant que socle indispensable pour la construction de son avenir, promouvoir les droits politiques de la femme dans notre pays et apporter enfin un surcroît de cohérence au pouvoir exécutif tout en renforçant l'harmonie entre ce dernier et le pouvoir législatif». Le président de la République n'a pas manqué d'insister sur le rôle effectif du pouvoir législatif en cette période préélectorale. Il a, à ce propos, « réitéré sa directive au Premier ministre à l'effet de préparer le projet de plan d'action pour la mise en œuvre du programme du président de la République, en vue de le soumettre au Parlement après examen en Conseil des ministres, le chef de l'Etat a précisé qu'il s'agit de marquer le respect envers le Parlement et ses attributions », relève le même communiqué. Cette volonté de bien montrer le poids de l'APN et du Sénat dans la Constitution ainsi amendée transparaît clairement à travers les orientations du chef de l'Etat qui souligne que « le Parlement aura ainsi l'occasion de prendre connaissance des étapes franchies ainsi que de celles qui marqueront l'action du gouvernement durant les mois à venir ». Nul doute, relève le chef de l'Etat « que le débat qui s'en suivra enrichira la démocratie pluraliste dans notre pays et permettra aussi au gouvernement de recueillir les avis pertinents des membres du Parlement et d'en tirer profit dans le cadre de l'accomplissement de sa mission». Sur le plan politique, le premier magistrat du pays a insisté sur l'activation du travail de la commission nationale chargée de la mise en œuvre des mesures prévues par la Charte pour la paix et la réconciliation nationale. Instruisant le Premier ministre à veiller à l'application des dispositions de la réconciliation nationale, le chef de l'Etat souligne que « l'ensemble des dossiers des personnes concernées par ces mesures ont été déposés devant les administrations compétentes dans les délais fixés par la loi, et la grande majorité en a déjà été traitée et réglée ». Cependant, indique-t-il «un certain nombre de cas restent en instance du fait de lourdeurs bureaucratiques et parfois de négligences de la part des requérants. Ce travail doit être finalisé conformément à la volonté souverainement exprimée par la Nation. J'attends donc du gouvernement qu'il s'y investisse dans les meilleurs délais», a conclu le chef de l'Etat. M. S. A. Présidé par le chef de l'Etat, le premier Conseil des ministres après la révision de la Constitution a constitué l'occasion pour le Président d'évoquer les amendements apportés à la loi fondamentale et votés par les deux Chambres du Parlement. Ainsi, rapporte le communiqué qui a sanctionné le Conseil des ministres, le chef de l'Etat «a souligné que cette révision constitutionnelle, même partielle, à ce stade, est venue renforcer le rapport de notre peuple à son passé en tant que socle indispensable pour la construction de son avenir, promouvoir les droits politiques de la femme dans notre pays et apporter enfin un surcroît de cohérence au pouvoir exécutif tout en renforçant l'harmonie entre ce dernier et le pouvoir législatif». Le président de la République n'a pas manqué d'insister sur le rôle effectif du pouvoir législatif en cette période préélectorale. Il a, à ce propos, « réitéré sa directive au Premier ministre à l'effet de préparer le projet de plan d'action pour la mise en œuvre du programme du président de la République, en vue de le soumettre au Parlement après examen en Conseil des ministres, le chef de l'Etat a précisé qu'il s'agit de marquer le respect envers le Parlement et ses attributions », relève le même communiqué. Cette volonté de bien montrer le poids de l'APN et du Sénat dans la Constitution ainsi amendée transparaît clairement à travers les orientations du chef de l'Etat qui souligne que « le Parlement aura ainsi l'occasion de prendre connaissance des étapes franchies ainsi que de celles qui marqueront l'action du gouvernement durant les mois à venir ». Nul doute, relève le chef de l'Etat « que le débat qui s'en suivra enrichira la démocratie pluraliste dans notre pays et permettra aussi au gouvernement de recueillir les avis pertinents des membres du Parlement et d'en tirer profit dans le cadre de l'accomplissement de sa mission». Sur le plan politique, le premier magistrat du pays a insisté sur l'activation du travail de la commission nationale chargée de la mise en œuvre des mesures prévues par la Charte pour la paix et la réconciliation nationale. Instruisant le Premier ministre à veiller à l'application des dispositions de la réconciliation nationale, le chef de l'Etat souligne que « l'ensemble des dossiers des personnes concernées par ces mesures ont été déposés devant les administrations compétentes dans les délais fixés par la loi, et la grande majorité en a déjà été traitée et réglée ». Cependant, indique-t-il «un certain nombre de cas restent en instance du fait de lourdeurs bureaucratiques et parfois de négligences de la part des requérants. Ce travail doit être finalisé conformément à la volonté souverainement exprimée par la Nation. J'attends donc du gouvernement qu'il s'y investisse dans les meilleurs délais», a conclu le chef de l'Etat. M. S. A.