Après l'annonce officielle de la candidature de Moussa Touati, président du FNA (Front National Algérien) à l'élection présidentielle, c'est au tour d'un autre second couteau d'annoncer officiellement da candidature à la magistrature suprême. Hier, lors d'une conférence de presse qu'il a animée au siège de son parti, le président de AHD 54, Fawzi Rebaïne s'est déclaré candidat aux joutes électorales d'avril 2009, précisant avoir reçu le soutien de la majorité des membres du conseil national lors d'une session extraordinaire. Le candidat Fawzi Rebaïne a indiqué qu'il ne sera pas « un lièvre » lors de cette élection, confiant que son but est de « servir le peuple algérien et de réhabiliter les institutions élues en leur conférant les prérogatives qui leur permettent de jouer pleinement leur rôle ». Le président de AHD 54, qui était présent à l'élection présidentielle de 2004 sans beaucoup de succès, a souligné qu'il présentera un programme global centré sur « les différentes préoccupations des citoyens notamment en matière de droits de l'homme, des libertés, du pluralisme syndical et du rôle de l'information nationale dans la société ». Echaudé par les péripéties des diverses consultations électorales auquel son parti a participé, le président de AHD 54 a indiqué qu'il est en attente de l'annonce des mesures inhérentes à l'organisation de cette élection, soulignant « la nécessité d'une vision claire sur le rôle de l'administration lors de cette élection et les prérogatives des walis en particulier». Concernant la présence des observateurs internationaux que certains ont exigé comme préalable leur participation à la prochaine élection présidentielle, Fawzi Rebaine a estimé que leur présence lors du scrutin présidentiel ne signifie pas «une atteinte à la souveraineté nationale», estimant au contraire que la présence d'observateurs étranges ne pourrait que « lui conférer plus de régularité et de transparence ». Selon lui, l'actuelle loi électorale est « caduque et non conforme aux étapes nécessaires au déroulement d'une élection honnête et transparente ». M. A. Après l'annonce officielle de la candidature de Moussa Touati, président du FNA (Front National Algérien) à l'élection présidentielle, c'est au tour d'un autre second couteau d'annoncer officiellement da candidature à la magistrature suprême. Hier, lors d'une conférence de presse qu'il a animée au siège de son parti, le président de AHD 54, Fawzi Rebaïne s'est déclaré candidat aux joutes électorales d'avril 2009, précisant avoir reçu le soutien de la majorité des membres du conseil national lors d'une session extraordinaire. Le candidat Fawzi Rebaïne a indiqué qu'il ne sera pas « un lièvre » lors de cette élection, confiant que son but est de « servir le peuple algérien et de réhabiliter les institutions élues en leur conférant les prérogatives qui leur permettent de jouer pleinement leur rôle ». Le président de AHD 54, qui était présent à l'élection présidentielle de 2004 sans beaucoup de succès, a souligné qu'il présentera un programme global centré sur « les différentes préoccupations des citoyens notamment en matière de droits de l'homme, des libertés, du pluralisme syndical et du rôle de l'information nationale dans la société ». Echaudé par les péripéties des diverses consultations électorales auquel son parti a participé, le président de AHD 54 a indiqué qu'il est en attente de l'annonce des mesures inhérentes à l'organisation de cette élection, soulignant « la nécessité d'une vision claire sur le rôle de l'administration lors de cette élection et les prérogatives des walis en particulier». Concernant la présence des observateurs internationaux que certains ont exigé comme préalable leur participation à la prochaine élection présidentielle, Fawzi Rebaine a estimé que leur présence lors du scrutin présidentiel ne signifie pas «une atteinte à la souveraineté nationale», estimant au contraire que la présence d'observateurs étranges ne pourrait que « lui conférer plus de régularité et de transparence ». Selon lui, l'actuelle loi électorale est « caduque et non conforme aux étapes nécessaires au déroulement d'une élection honnête et transparente ». M. A.