Les Palestiniens et la communauté internationale ont exprimé leur vive condamnation et indignation suite aux raids aériens massifs menés hier par les forces d'occupation israéliennes dans la bande de Ghaza et qui ont fait 200 morts, selon un bilan provisoire. Dans les territoires palestiniens occupés, le Premier ministre Salam Fayyad, a condamné «vigoureusement» les agressions israéliennes contre la bande de Ghaza qui ont fait 200 martyrs appelant à leur «arrêt immédiat». Sur le plan arabe, l'Egypte a condamné les raids de l'armée de l'air israélienne sur la bande de Ghaza et fait porter la responsabilité à Israël, en tant que force d'occupation, des morts et des blessés, a déclaré le président égyptien Hosni Moubarak dans un communiqué officiel. Pour sa part, le guide de la révolution libyenne, le colonel Maamar El Gueddafi, a condamné les raids israéliens contre la bande de Ghaza, et entrepris des contacts avec des dirigeants arabes afin d'adopter une position «ferme et sérieuse» face à l'offensive israélienne. De son côté, l'émir du Qatar, cheikh Hamad ben Khalifa Al-Thani, a condamné les attaques israéliennes contre Ghaza et a évoqué «la possibilité de tenir un sommet arabe ou islamique» sur la situation dans ce territoire, lors de contacts hier avec plusieurs dirigeants arabes. Dans le cadre des réactions internationales suite aux agressions israéliennes contre Ghaza, l'Iran a appelé à une «action urgente du Conseil de sécurité de l'Onu et de l'Organisation de la conférence islamique (OCI) pour empêcher Israël de poursuivre ses crimes». Selon le porte-parole du ministre iranien des Affaires étrangères, Hassan Ghashgavi, les crimes israéliens «sont la preuve de l'attitude agressive du régime sioniste et résultent du silence de la communauté internationale face à l'encerclement injuste des habitants de Ghaza». Pour sa part, la présidence française de l'Union Européenne (UE) a «exprimé sa plus vive préoccupation devant l'escalade de la violence dans la bande de Ghaza». Le Haut représentant de l'UE pour la politique étrangères Javier Solana a lui aussi appelé à un «cessez-le-feu immédiat».Par la voix du porte-parole du Conseil national de sécurité de la Maison Blanche, Gordon Johndroe, les Etats-Unis ont pressé Israël d'«éviter les victimes civiles» à Ghaza. De son côté, le Royaume-Uni s'est dit «profondément inquiet» suite aux informations rapportant des morts et des blessés parmi la population civile innocente dans la bande de Ghaza après les récentes frappes israéliennes. Ainsi, un porte-parole du ministère britannique des Affaires étrangères, a appelé à un maximum de retenue pour éviter d'autres victimes civiles à Ghaza estimant que la seule façon d'aboutir à une paix durable à Ghaza est par «des moyens pacifiques». L'opération d'envergure de l'occupation contre Ghaza, a été également dénoncée par la Russie qui a jugé nécessaire d'arrêter immédiatement les opérations d'envergure contre Ghaza. Les Palestiniens et la communauté internationale ont exprimé leur vive condamnation et indignation suite aux raids aériens massifs menés hier par les forces d'occupation israéliennes dans la bande de Ghaza et qui ont fait 200 morts, selon un bilan provisoire. Dans les territoires palestiniens occupés, le Premier ministre Salam Fayyad, a condamné «vigoureusement» les agressions israéliennes contre la bande de Ghaza qui ont fait 200 martyrs appelant à leur «arrêt immédiat». Sur le plan arabe, l'Egypte a condamné les raids de l'armée de l'air israélienne sur la bande de Ghaza et fait porter la responsabilité à Israël, en tant que force d'occupation, des morts et des blessés, a déclaré le président égyptien Hosni Moubarak dans un communiqué officiel. Pour sa part, le guide de la révolution libyenne, le colonel Maamar El Gueddafi, a condamné les raids israéliens contre la bande de Ghaza, et entrepris des contacts avec des dirigeants arabes afin d'adopter une position «ferme et sérieuse» face à l'offensive israélienne. De son côté, l'émir du Qatar, cheikh Hamad ben Khalifa Al-Thani, a condamné les attaques israéliennes contre Ghaza et a évoqué «la possibilité de tenir un sommet arabe ou islamique» sur la situation dans ce territoire, lors de contacts hier avec plusieurs dirigeants arabes. Dans le cadre des réactions internationales suite aux agressions israéliennes contre Ghaza, l'Iran a appelé à une «action urgente du Conseil de sécurité de l'Onu et de l'Organisation de la conférence islamique (OCI) pour empêcher Israël de poursuivre ses crimes». Selon le porte-parole du ministre iranien des Affaires étrangères, Hassan Ghashgavi, les crimes israéliens «sont la preuve de l'attitude agressive du régime sioniste et résultent du silence de la communauté internationale face à l'encerclement injuste des habitants de Ghaza». Pour sa part, la présidence française de l'Union Européenne (UE) a «exprimé sa plus vive préoccupation devant l'escalade de la violence dans la bande de Ghaza». Le Haut représentant de l'UE pour la politique étrangères Javier Solana a lui aussi appelé à un «cessez-le-feu immédiat».Par la voix du porte-parole du Conseil national de sécurité de la Maison Blanche, Gordon Johndroe, les Etats-Unis ont pressé Israël d'«éviter les victimes civiles» à Ghaza. De son côté, le Royaume-Uni s'est dit «profondément inquiet» suite aux informations rapportant des morts et des blessés parmi la population civile innocente dans la bande de Ghaza après les récentes frappes israéliennes. Ainsi, un porte-parole du ministère britannique des Affaires étrangères, a appelé à un maximum de retenue pour éviter d'autres victimes civiles à Ghaza estimant que la seule façon d'aboutir à une paix durable à Ghaza est par «des moyens pacifiques». L'opération d'envergure de l'occupation contre Ghaza, a été également dénoncée par la Russie qui a jugé nécessaire d'arrêter immédiatement les opérations d'envergure contre Ghaza.