«C'est triste que 20 jours après l'agression israélienne, les Arabes s'interrogent encore sur le lieu où ils doivent tenir un sommet extraordinaire, Doha ou Koweït», a affirmé Belkhadem jeudi sur les ondes de la radio nationale, rappelant que « 2 jours après le déclenchement de cette agression, les Européens se sont réunis pour étudier cette question ». Qualifiant la position de l'Algérie « de très honorable », le secrétaire général du FLN affirme que l'Algérie a répondu favorablement aux deux demandes de tenue d'un sommet extraordinaire, même si elle n'était pas certaine que le quorum soit atteint. Il a estime qu'il était du devoir de notre pays « de répondre à l'appel de soutenir le peuple palestinien, sans calcul », s'insurgeant contre « la réaction des pays arabes qui n'est pas à la hauteur » et qui « devrait se positionner en faveur de la résistance palestinienne ». Il affirme que l'Algérie « ne soutient aucune fraction palestinienne contre une autre », mais « elle soutient la résistance palestinienne qui se bat contre l'occupant », rappelant que « les fractions palestiniennes sont unies dans un même combat contre l'ennemi commun ». Il estime que « les pays arabes » de mêmes que « les libres de ce monde devraient soutenir la résistance palestinienne », notant que « la frontière est tenue entre l'humiliation, le désespoir et le terreau de la violence ». Il dénonce « l'exécution collective ». Il n'y a pas d'autres mots pour la qualifier, dit-il, et s'insurge contre l'alternance de positions de complaisance des Occidentaux envers « un Etat membre de l'Onu, créé par une résolution de cette même institution internationale et qui se met au ban de la communauté internationale. Il trouve « criminels » les arguments avancés par les pays occidentaux pour justifier cet holocauste contre un peuple dont le territoire est occupé. S. B. «C'est triste que 20 jours après l'agression israélienne, les Arabes s'interrogent encore sur le lieu où ils doivent tenir un sommet extraordinaire, Doha ou Koweït», a affirmé Belkhadem jeudi sur les ondes de la radio nationale, rappelant que « 2 jours après le déclenchement de cette agression, les Européens se sont réunis pour étudier cette question ». Qualifiant la position de l'Algérie « de très honorable », le secrétaire général du FLN affirme que l'Algérie a répondu favorablement aux deux demandes de tenue d'un sommet extraordinaire, même si elle n'était pas certaine que le quorum soit atteint. Il a estime qu'il était du devoir de notre pays « de répondre à l'appel de soutenir le peuple palestinien, sans calcul », s'insurgeant contre « la réaction des pays arabes qui n'est pas à la hauteur » et qui « devrait se positionner en faveur de la résistance palestinienne ». Il affirme que l'Algérie « ne soutient aucune fraction palestinienne contre une autre », mais « elle soutient la résistance palestinienne qui se bat contre l'occupant », rappelant que « les fractions palestiniennes sont unies dans un même combat contre l'ennemi commun ». Il estime que « les pays arabes » de mêmes que « les libres de ce monde devraient soutenir la résistance palestinienne », notant que « la frontière est tenue entre l'humiliation, le désespoir et le terreau de la violence ». Il dénonce « l'exécution collective ». Il n'y a pas d'autres mots pour la qualifier, dit-il, et s'insurge contre l'alternance de positions de complaisance des Occidentaux envers « un Etat membre de l'Onu, créé par une résolution de cette même institution internationale et qui se met au ban de la communauté internationale. Il trouve « criminels » les arguments avancés par les pays occidentaux pour justifier cet holocauste contre un peuple dont le territoire est occupé. S. B.