Les dirigeants arabes ont unanimement condamné Israël pour ses crimes contre le peuple palestinien et l'ont appelé au retrait immédiat et inconditionnel de Ghaza en application de la dernière décision des Nations unies. Dans son allocution d'ouverture du sommet économique arabe, l'émir du Koweït, Cheikh Sabah Al-Ahmed Al-Djaber Al-Sabah a qualifié l'agression israélienne contre Ghaza de "crime de guerre et de violation flagrante des droits humains les plus élémentaires", saluant "la résistance du peuple palestinien face à l'ennemi" israélien. Appelant à "juger les responsables israéliens pour les crimes qu'ils ont commis contre le peuple palestinien", l'émir du Koweït a précisé que la sécurité et la stabilité "ne sauraient se réaliser au Moyen-Orient sans l'instauration d'un Etat palestinien avec Al-Qods pour capitale". Evoquant un consensus parmi les chefs d'Etat arabes concernant le nécessaire "maintien du cessez-le-feu à Ghaza", l'émir du Koweït a exhorté les parties palestiniennes "à resserrer leurs rangs, à faire preuve de solidarité" et à "mettre un terme à la discorde". De son côté, le président syrien, Bachar al-Assad a appelé au retrait des forces israéliennes de Ghaza, à la levée du blocus et à l'ouverture des terminaux pour l'acheminent des aides humanitaires vers Ghaza. Il a en outre appelé les dirigeants arabes à qualifier l'ennemi israélien d'"entité terroriste" pour les crimes commis contre les enfants du peuple palestinien. Pour sa part, le président égyptien, Hosni Moubarak a affirmer que "la tragédie de Ghaza a bouleversé la conscience humaine face l'agression israélienne qui, en plus des martyrs et des victimes qu'elle a fait, a causé une destruction à grande échelle des infrastructures de base". Le président Moubarak qui a reconnu que "les relations interarabes ne sont pas à leur meilleur niveau", a estimé que la crise vécue par la bande de Ghaza "a mis à nu les divergence du Monde arabe". Le secrétaire général de la Ligue arabe, M. Amr Moussa a appelé au "resserrement des rangs arabes à travers le raffermissement des relations interarabes", plaidant pour "une position arabe unifiée pour aboutir à une solution juste et définitive à la cause palestinienne". De son côté, le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-Moon a exhorté les Etats arabes à joindre leurs efforts à ceux de la communauté internationale pour un cessez-le-feu "durable" à Ghaza. Le projet de décision relatif à la reconstruction de la bande de Ghaza soumis aux dirigeants arabes comprend un programme de réhabilitation et de reconstruction des infrastructures détruites par la machine de guerre israélienne en coordination avec l'Autorité nationale palestinienne sur la base des mécanismes arabes et internationaux de soutien au peuple palestinien. Les dirigeants arabes ont unanimement condamné Israël pour ses crimes contre le peuple palestinien et l'ont appelé au retrait immédiat et inconditionnel de Ghaza en application de la dernière décision des Nations unies. Dans son allocution d'ouverture du sommet économique arabe, l'émir du Koweït, Cheikh Sabah Al-Ahmed Al-Djaber Al-Sabah a qualifié l'agression israélienne contre Ghaza de "crime de guerre et de violation flagrante des droits humains les plus élémentaires", saluant "la résistance du peuple palestinien face à l'ennemi" israélien. Appelant à "juger les responsables israéliens pour les crimes qu'ils ont commis contre le peuple palestinien", l'émir du Koweït a précisé que la sécurité et la stabilité "ne sauraient se réaliser au Moyen-Orient sans l'instauration d'un Etat palestinien avec Al-Qods pour capitale". Evoquant un consensus parmi les chefs d'Etat arabes concernant le nécessaire "maintien du cessez-le-feu à Ghaza", l'émir du Koweït a exhorté les parties palestiniennes "à resserrer leurs rangs, à faire preuve de solidarité" et à "mettre un terme à la discorde". De son côté, le président syrien, Bachar al-Assad a appelé au retrait des forces israéliennes de Ghaza, à la levée du blocus et à l'ouverture des terminaux pour l'acheminent des aides humanitaires vers Ghaza. Il a en outre appelé les dirigeants arabes à qualifier l'ennemi israélien d'"entité terroriste" pour les crimes commis contre les enfants du peuple palestinien. Pour sa part, le président égyptien, Hosni Moubarak a affirmer que "la tragédie de Ghaza a bouleversé la conscience humaine face l'agression israélienne qui, en plus des martyrs et des victimes qu'elle a fait, a causé une destruction à grande échelle des infrastructures de base". Le président Moubarak qui a reconnu que "les relations interarabes ne sont pas à leur meilleur niveau", a estimé que la crise vécue par la bande de Ghaza "a mis à nu les divergence du Monde arabe". Le secrétaire général de la Ligue arabe, M. Amr Moussa a appelé au "resserrement des rangs arabes à travers le raffermissement des relations interarabes", plaidant pour "une position arabe unifiée pour aboutir à une solution juste et définitive à la cause palestinienne". De son côté, le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-Moon a exhorté les Etats arabes à joindre leurs efforts à ceux de la communauté internationale pour un cessez-le-feu "durable" à Ghaza. Le projet de décision relatif à la reconstruction de la bande de Ghaza soumis aux dirigeants arabes comprend un programme de réhabilitation et de reconstruction des infrastructures détruites par la machine de guerre israélienne en coordination avec l'Autorité nationale palestinienne sur la base des mécanismes arabes et internationaux de soutien au peuple palestinien.