Moussa Touati n'a pas hésité à fustiger «ces voix qui se sont élevées ces derniers jours» pour présenter cette condition comme étant un gage de bonne volonté. Moussa Touati n'a pas hésité à fustiger «ces voix qui se sont élevées ces derniers jours» pour présenter cette condition comme étant un gage de bonne volonté. Le président du Front national algérien (FNA) s'est dit, samedi, contre toute idée de présence d'observateurs internationaux issus d'ONG lors de la prochaine échéance électorale, tel qu'exigé par «certaines» formations politiques. M. Moussa Touati qui était l'invité du forum de l'ENTV, n'a pas hésité à fustiger «ces voix qui se sont élevées ces derniers jours» pour présenter cette condition comme étant «un gage de bonne volonté des autorités pour traduire leur intention d'assurer des élections transparentes». «Les expériences précédentes nous ont permis de vérifier que certains observateurs n'ont l'œil que sur leur bourse dans la mesure où ils viennent ici percevoir des pots-de-vin déguisés en échange de leurs signatures», affirme-il. Les véritables observateurs demeurent à son sens, «les représentants des candidats et des partis présents dans les bureaux de vote qui, eux, sont directement concernés par les élections». Les seuls observateurs qui pourraient être tolérés sont ceux relevant d'organismes internationaux et régionaux dont l'Algérie est membre tels que les Nations unies, la Ligue arabe et l'Union africaine. Pour ces joutes électorales prévues pour le mois d'avril prochain, M. Touati augure, d'ores et déjà, d'une participation massive des citoyens. Ceci, dans la mesure où il est «quasiment certain» et surtout «confiant» quant à la capacité de son parti de «parvenir à convaincre le peuple algérien de se rendre aux urnes». «Le citoyen peut faire de sa voix un moyen de changement en pratiquant son droit électoral et en exprimant son choix sur les programmes et les personnes qu'il juge fiables au service de l'intérêt national», affirme-t-il. Les citoyens devraient, explique-t-il, comprendre que «la pratique du droit électoral commence en luttant pour s'affirmer et en s'inscrivant sur les listes électorales» pour pouvoir «exprimer massivement leur opinion le jour J». Pour le premier responsable du FNA, M. Touati, la prochaine présidentielle constitue «une étape importante» dans l'histoire de l'Algérie qu' «il faut exploiter pour opérer le changement». Dévoilant un pan de son programme pour les élections, M. Touati dira que, celui-ci, s'axera en grande partie sur la jeunesse. «Notre parti accorde un intérêt particulier aux jeunes, et on est convaincu de la nécessité d'assurer à cette catégorie une place effective au sein de la société», dira-t-il. Parlant du travail des élus de son parti au sein des Assemblées populaires communales (APC), le président du FNA s'est dit «insatisfait» à l'égard de plusieurs d'entre eux qui n'ont pas respecté, selon lui, «le programme et les principes du parti». Cependant, poursuit-il, les résultats du FNA aux deux précédents scrutins restent «encourageants» et «incitent à poursuivre le militantisme par des moyens pacifiques civilisés pour résoudre les problèmes». A une question portant sur l'application des mesures incluses dans le programme de la Charte sur la réconciliation nationale, M. Touati a souligné que son parti appuie cette politique, tout en estimant que celle-ci «doit traiter en profondeur les véritables causes de la tragédie nationale». S. H. Le président du Front national algérien (FNA) s'est dit, samedi, contre toute idée de présence d'observateurs internationaux issus d'ONG lors de la prochaine échéance électorale, tel qu'exigé par «certaines» formations politiques. M. Moussa Touati qui était l'invité du forum de l'ENTV, n'a pas hésité à fustiger «ces voix qui se sont élevées ces derniers jours» pour présenter cette condition comme étant «un gage de bonne volonté des autorités pour traduire leur intention d'assurer des élections transparentes». «Les expériences précédentes nous ont permis de vérifier que certains observateurs n'ont l'œil que sur leur bourse dans la mesure où ils viennent ici percevoir des pots-de-vin déguisés en échange de leurs signatures», affirme-il. Les véritables observateurs demeurent à son sens, «les représentants des candidats et des partis présents dans les bureaux de vote qui, eux, sont directement concernés par les élections». Les seuls observateurs qui pourraient être tolérés sont ceux relevant d'organismes internationaux et régionaux dont l'Algérie est membre tels que les Nations unies, la Ligue arabe et l'Union africaine. Pour ces joutes électorales prévues pour le mois d'avril prochain, M. Touati augure, d'ores et déjà, d'une participation massive des citoyens. Ceci, dans la mesure où il est «quasiment certain» et surtout «confiant» quant à la capacité de son parti de «parvenir à convaincre le peuple algérien de se rendre aux urnes». «Le citoyen peut faire de sa voix un moyen de changement en pratiquant son droit électoral et en exprimant son choix sur les programmes et les personnes qu'il juge fiables au service de l'intérêt national», affirme-t-il. Les citoyens devraient, explique-t-il, comprendre que «la pratique du droit électoral commence en luttant pour s'affirmer et en s'inscrivant sur les listes électorales» pour pouvoir «exprimer massivement leur opinion le jour J». Pour le premier responsable du FNA, M. Touati, la prochaine présidentielle constitue «une étape importante» dans l'histoire de l'Algérie qu' «il faut exploiter pour opérer le changement». Dévoilant un pan de son programme pour les élections, M. Touati dira que, celui-ci, s'axera en grande partie sur la jeunesse. «Notre parti accorde un intérêt particulier aux jeunes, et on est convaincu de la nécessité d'assurer à cette catégorie une place effective au sein de la société», dira-t-il. Parlant du travail des élus de son parti au sein des Assemblées populaires communales (APC), le président du FNA s'est dit «insatisfait» à l'égard de plusieurs d'entre eux qui n'ont pas respecté, selon lui, «le programme et les principes du parti». Cependant, poursuit-il, les résultats du FNA aux deux précédents scrutins restent «encourageants» et «incitent à poursuivre le militantisme par des moyens pacifiques civilisés pour résoudre les problèmes». A une question portant sur l'application des mesures incluses dans le programme de la Charte sur la réconciliation nationale, M. Touati a souligné que son parti appuie cette politique, tout en estimant que celle-ci «doit traiter en profondeur les véritables causes de la tragédie nationale». S. H.