M. Saïd Barkat a affirmé mercredi qu'une révision du système des urgences est actuellement en cours dans le cadre de la nouvelle carte de santé adoptée par le conseil des ministres en avril 2008. M. Saïd Barkat a affirmé mercredi qu'une révision du système des urgences est actuellement en cours dans le cadre de la nouvelle carte de santé adoptée par le conseil des ministres en avril 2008. Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, M. Saïd Barkat a affirmé mercredi qu'une révision du système des urgences est actuellement en cours dans le cadre de la nouvelle carte de santé adoptée par le conseil des ministres en avril 2008. Invité de l'émission «Tahaoulate» de la Radio nationale, M. Barkat a souligné «l'importance» de cette révision, les urgences étant, a-t-il dit, le miroir des hôpitaux et des prestations qu'ils offrent au citoyen. «La priorité n'a pas été accordée aux urgences ces dernières années», suscitant davantage d'intérêt dans la nouvelle carte de santé, a ajouté le ministre. En dépit d'une «petite amélioration», le ministre s'est dit insatisfait des prestations des urgences dans la plupart des hôpitaux, précisant que son secteur a doté un grand nombre de ces services de matériel médical, de laboratoires et d'appareils de radiologie. A cet effet, il a appelé le personnel des services des urgences à faire preuve de patience et d'humanisme dans le traitement des citoyens. S'exprimant sur la question d'hygiène, M. Barkat a mis l'accent sur le nécessaire respect des règles d'hygiène par le personnel hospitalier, pour une meilleure prise en charge du patient et prévention de certaines maladies infectieuses. Dans ce sens, il a mis l'accent sur les mesures rigoureuses prévues par les autorités publiques pour pallier toute négligence, rappelant que la prise en charge d'un malade atteint d'une maladie infectieuse à l'hôpital, en raison du manque d'hygiène coûte 8 millions de DA à l'Etat. Des inspecteurs d'hygiène seront désignés pour le contrôle des établissements hospitaliers, a souligné M. Barkat avant d'insister sur la fermeture de tout service ne respectant pas les règles d'hygiène. Concernant le dossier des médicaments, M. Barkat a rappelé que le gouvernement a décidé d'interdire l'importation des médicaments fabriqués localement, ce qui a permis au pays, a-t-il dit, d'économiser 200 millions d'euros. Le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière exige des producteurs locaux de prévoir un stock de la matière première pour une période d'au moins trois mois afin d'éviter toute pénurie, a tenu à préciser M. Barkat. Abordant la nouvelle carte sanitaire, il a affirmé qu'elle évolue en fonction des nouvelles donnes économiques et sociales de l'Algérie, affirmant que le programme de développement du système sanitaire repose sur la multiplication des établissements hospitaliers, le remplacement des structures vétustes ou celles construites en préfabriqué et le rapprochement des structures sanitaires du citoyen. Selon M. Barkat, le programme prévoit également l'amélioration de la gestion des hôpitaux et les prestations et l'organisation du financement en vue d'une meilleure prise en charge du patient. Evoquant le rôle des cliniques privées, le ministre a indiqué que celles-ci sont appelées à renforcer le secteur public pour une bonne prise en charge du citoyen. A propos du coût des soins appliqués par ces établissements, l'invité de l'émission «Tahaoulate» a souligné que ce point sera le thème d'un débat national regroupant toutes les parties concernées dont la Caisse nationale des assurances sociales (CNAS) et le ministère. Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, M. Saïd Barkat a affirmé mercredi qu'une révision du système des urgences est actuellement en cours dans le cadre de la nouvelle carte de santé adoptée par le conseil des ministres en avril 2008. Invité de l'émission «Tahaoulate» de la Radio nationale, M. Barkat a souligné «l'importance» de cette révision, les urgences étant, a-t-il dit, le miroir des hôpitaux et des prestations qu'ils offrent au citoyen. «La priorité n'a pas été accordée aux urgences ces dernières années», suscitant davantage d'intérêt dans la nouvelle carte de santé, a ajouté le ministre. En dépit d'une «petite amélioration», le ministre s'est dit insatisfait des prestations des urgences dans la plupart des hôpitaux, précisant que son secteur a doté un grand nombre de ces services de matériel médical, de laboratoires et d'appareils de radiologie. A cet effet, il a appelé le personnel des services des urgences à faire preuve de patience et d'humanisme dans le traitement des citoyens. S'exprimant sur la question d'hygiène, M. Barkat a mis l'accent sur le nécessaire respect des règles d'hygiène par le personnel hospitalier, pour une meilleure prise en charge du patient et prévention de certaines maladies infectieuses. Dans ce sens, il a mis l'accent sur les mesures rigoureuses prévues par les autorités publiques pour pallier toute négligence, rappelant que la prise en charge d'un malade atteint d'une maladie infectieuse à l'hôpital, en raison du manque d'hygiène coûte 8 millions de DA à l'Etat. Des inspecteurs d'hygiène seront désignés pour le contrôle des établissements hospitaliers, a souligné M. Barkat avant d'insister sur la fermeture de tout service ne respectant pas les règles d'hygiène. Concernant le dossier des médicaments, M. Barkat a rappelé que le gouvernement a décidé d'interdire l'importation des médicaments fabriqués localement, ce qui a permis au pays, a-t-il dit, d'économiser 200 millions d'euros. Le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière exige des producteurs locaux de prévoir un stock de la matière première pour une période d'au moins trois mois afin d'éviter toute pénurie, a tenu à préciser M. Barkat. Abordant la nouvelle carte sanitaire, il a affirmé qu'elle évolue en fonction des nouvelles donnes économiques et sociales de l'Algérie, affirmant que le programme de développement du système sanitaire repose sur la multiplication des établissements hospitaliers, le remplacement des structures vétustes ou celles construites en préfabriqué et le rapprochement des structures sanitaires du citoyen. Selon M. Barkat, le programme prévoit également l'amélioration de la gestion des hôpitaux et les prestations et l'organisation du financement en vue d'une meilleure prise en charge du patient. Evoquant le rôle des cliniques privées, le ministre a indiqué que celles-ci sont appelées à renforcer le secteur public pour une bonne prise en charge du citoyen. A propos du coût des soins appliqués par ces établissements, l'invité de l'émission «Tahaoulate» a souligné que ce point sera le thème d'un débat national regroupant toutes les parties concernées dont la Caisse nationale des assurances sociales (CNAS) et le ministère.