Les factions de résistance palestiniennes ont donné leur accord de principe pour une trêve de 18 mois avec Israël à Ghaza, dont l'application imminente reste tributaire de l'engagement de l'occupant israélien à satisfaire les exigences des Palestiniens. Les dirigeants du bureau politique du mouvement Hamas ont annoncé leur "accord pour une trêve avec Israël d'une durée d'un an et demi" après des contacts avec le reste des factions palestiniennes et la partie israélienne. L'accord prévoit "l'ouverture des six points de passage entre Ghaza et Israël et l'arrêt de toute activité militaire et agression". Le chef du bureau politique du Hamas, Khaled Mechaal, a annoncé au terme d'un entretien vendredi à Doha avec les dirigeants qataris un accord de trêve avec Israël, dont la signature initialement prévue aujourd'hui, a-t-il dit, a été retardée pour des raisons "urgentes" non expliquées. A rappeler qu'un cessez-le-feu décrété séparément par Israël et le Hamas est en vigueur depuis le 18 janvier à Ghaza, date à laquelle l'occupation israélienne a mis fin à son agression militaire de 22 jours sur ce territoire palestinien qui a fait au moins 1.330 martyrs palestiniens et plus de 5.000 blessés. Des médias arabes estiment que l'accord de trêve israélo-palestinien à Ghaza, s'il devient effectif, constitue un "développement positif" pour la cause palestinienne, dans la mesure, expliquent ces sources, où les Palestiniens engagent "un véritable dialogue national" en vue de la réconciliation inter palestinienne, et ''mettent fin aux divisions internes". Ces dissensions, précisent ces médias, ont favorisé la voie pour la concrétisation de la politique dilatoire et des plans expansionnistes projetés par l'occupant israélien. Ces médias soulignent qu'Israël ne se conformera pas à la trêve "si les Palestiniens ne créent pas un climat favorable à sa mise en œuvre et n'adoptent pas une position commune et unifiée". Les factions de résistance palestiniennes ont donné leur accord de principe pour une trêve de 18 mois avec Israël à Ghaza, dont l'application imminente reste tributaire de l'engagement de l'occupant israélien à satisfaire les exigences des Palestiniens. Les dirigeants du bureau politique du mouvement Hamas ont annoncé leur "accord pour une trêve avec Israël d'une durée d'un an et demi" après des contacts avec le reste des factions palestiniennes et la partie israélienne. L'accord prévoit "l'ouverture des six points de passage entre Ghaza et Israël et l'arrêt de toute activité militaire et agression". Le chef du bureau politique du Hamas, Khaled Mechaal, a annoncé au terme d'un entretien vendredi à Doha avec les dirigeants qataris un accord de trêve avec Israël, dont la signature initialement prévue aujourd'hui, a-t-il dit, a été retardée pour des raisons "urgentes" non expliquées. A rappeler qu'un cessez-le-feu décrété séparément par Israël et le Hamas est en vigueur depuis le 18 janvier à Ghaza, date à laquelle l'occupation israélienne a mis fin à son agression militaire de 22 jours sur ce territoire palestinien qui a fait au moins 1.330 martyrs palestiniens et plus de 5.000 blessés. Des médias arabes estiment que l'accord de trêve israélo-palestinien à Ghaza, s'il devient effectif, constitue un "développement positif" pour la cause palestinienne, dans la mesure, expliquent ces sources, où les Palestiniens engagent "un véritable dialogue national" en vue de la réconciliation inter palestinienne, et ''mettent fin aux divisions internes". Ces dissensions, précisent ces médias, ont favorisé la voie pour la concrétisation de la politique dilatoire et des plans expansionnistes projetés par l'occupant israélien. Ces médias soulignent qu'Israël ne se conformera pas à la trêve "si les Palestiniens ne créent pas un climat favorable à sa mise en œuvre et n'adoptent pas une position commune et unifiée".