L'armée israélienne poursuivait hier son agression contre la bande de Ghaza au moment où le mouvement de résistance palestinien Hamas négocie avec Israël une trêve de 18 mois dans ce territoire palestinien, ravagé par 22 jours d'offensive meurtrière. L'armée israélienne poursuivait hier son agression contre la bande de Ghaza au moment où le mouvement de résistance palestinien Hamas négocie avec Israël une trêve de 18 mois dans ce territoire palestinien, ravagé par 22 jours d'offensive meurtrière. Selon des sources médicales palestiniennes, deux Palestiniens sont tombés en martyrs dans la matinée dans un raid de l'occupation israélienne dans l'est de Ghaza. Une agression qui vient s'ajouter à celle menée dans la nuit de mercredi à jeudi lorsque les forces d'occupation ont pénétré dans le secteur oriental de Ghaza et ouvert le feu, mais sans faire de victimes. En outre, l'aviation de guerre israélienne a mené des raids dans le sud de Ghaza durant la soirée de mardi à mercredi, selon des sources palestiniennes officielles. Ces attaques interviennent en dépit d'un cessez-le-feu «fragile» en vigueur dans ce territoire palestinien dévasté par les dernières agressions israéliennes barbares (27décembre-18 janvier) lancées par les forces d'occupation contre la population civile ghazaouie. Les agressions israéliennes se poursuivent également au moment où le Hamas négocie avec Israël une trêve de 18 mois dans la bande de Ghaza où plus de 1.340 martyrs et plus de 5.000 blessés palestiniens en majorité des civils ont été dénombrés lors de la dernière offensive. La conclusion d'une telle trêve piétine en raison de la décision prise la semaine dernière par le conseil de sécurité israélien de conditionner l'ouverture des terminaux de passage vers la bande de Ghaza et la conclusion d'un accord de trêve avec les factions palestiniennes par la libération du soldat Gilad Shalit. L'ouverture des points de passage ainsi que la levée du blocus à Ghaza sont les principales exigences du Hamas qui a rejeté la condition israélienne estimant qu'elle constitue «un chantage politique». Dans ce contexte, le négociateur palestinien Saëb Erekat, a estimé que le préalable de libération de Gilad Shalit (détenu depuis juin 2006 à Ghaza) en contrepartie de la réouverture des passages et la levée du blocus constitue une «violation de l'initiative égyptienne et de l'accord de 2005 sur les points de passage». Toutefois, le Hamas s'est dit prêt à libérer le prisonnier israélien si, Israël libérait, de son coté, les prisonniers palestiniens dont les noms figurent sur la liste transmise à l'Egypte ainsi que les ministres, les membres du Conseil législatif, les femmes et les enfants. Par ailleurs, le chef du bureau politique du Hamas, Khaled Mechaal, a imputé à Israël les entraves rencontrées pour la conclusion d'une trêve dans la bande de Ghaza en conditionnant tout accord par la libération de son soldat Shalit. De son côté, l'Egypte, qui joue le rôle de médiateur entre le Hamas et Israël pour obtenir un cessez-le-feu durable à Ghaza, a estimé jeudi que la décision de lier l'ouverture des terminaux à la libération du soldat Shalit, minimisait les chances de conclure une trêve. Le secrétaire général de Ligue arabe a, de son coté, estimé que par le biais de cet artifice, Israël cherchait à obtenir ce qu'il veut sans faire aucune concession. M. Moussa a, par ailleurs, souligné que les chances de la réconciliation nationale palestinienne allaient crescendo tel qu'il ressortait de sa récente rencontre à Damas avec Khaled Mechaâl, tout en insistant sur la nécessité de «lancer le dialogue inter palestinien à partir du Caire». A ce propos, le porte-parole de la diplomatie égyptienne a réaffirmé la volonté de son pays d'aller de l'avant dans le processus de réconciliation entre les factions palestiniennes, en estimant que les efforts de réconciliation pourraient aboutir avant la tenue de la conférence sur la reconstruction de Ghaza prévue le 2 mars prochain. Selon des sources médicales palestiniennes, deux Palestiniens sont tombés en martyrs dans la matinée dans un raid de l'occupation israélienne dans l'est de Ghaza. Une agression qui vient s'ajouter à celle menée dans la nuit de mercredi à jeudi lorsque les forces d'occupation ont pénétré dans le secteur oriental de Ghaza et ouvert le feu, mais sans faire de victimes. En outre, l'aviation de guerre israélienne a mené des raids dans le sud de Ghaza durant la soirée de mardi à mercredi, selon des sources palestiniennes officielles. Ces attaques interviennent en dépit d'un cessez-le-feu «fragile» en vigueur dans ce territoire palestinien dévasté par les dernières agressions israéliennes barbares (27décembre-18 janvier) lancées par les forces d'occupation contre la population civile ghazaouie. Les agressions israéliennes se poursuivent également au moment où le Hamas négocie avec Israël une trêve de 18 mois dans la bande de Ghaza où plus de 1.340 martyrs et plus de 5.000 blessés palestiniens en majorité des civils ont été dénombrés lors de la dernière offensive. La conclusion d'une telle trêve piétine en raison de la décision prise la semaine dernière par le conseil de sécurité israélien de conditionner l'ouverture des terminaux de passage vers la bande de Ghaza et la conclusion d'un accord de trêve avec les factions palestiniennes par la libération du soldat Gilad Shalit. L'ouverture des points de passage ainsi que la levée du blocus à Ghaza sont les principales exigences du Hamas qui a rejeté la condition israélienne estimant qu'elle constitue «un chantage politique». Dans ce contexte, le négociateur palestinien Saëb Erekat, a estimé que le préalable de libération de Gilad Shalit (détenu depuis juin 2006 à Ghaza) en contrepartie de la réouverture des passages et la levée du blocus constitue une «violation de l'initiative égyptienne et de l'accord de 2005 sur les points de passage». Toutefois, le Hamas s'est dit prêt à libérer le prisonnier israélien si, Israël libérait, de son coté, les prisonniers palestiniens dont les noms figurent sur la liste transmise à l'Egypte ainsi que les ministres, les membres du Conseil législatif, les femmes et les enfants. Par ailleurs, le chef du bureau politique du Hamas, Khaled Mechaal, a imputé à Israël les entraves rencontrées pour la conclusion d'une trêve dans la bande de Ghaza en conditionnant tout accord par la libération de son soldat Shalit. De son côté, l'Egypte, qui joue le rôle de médiateur entre le Hamas et Israël pour obtenir un cessez-le-feu durable à Ghaza, a estimé jeudi que la décision de lier l'ouverture des terminaux à la libération du soldat Shalit, minimisait les chances de conclure une trêve. Le secrétaire général de Ligue arabe a, de son coté, estimé que par le biais de cet artifice, Israël cherchait à obtenir ce qu'il veut sans faire aucune concession. M. Moussa a, par ailleurs, souligné que les chances de la réconciliation nationale palestinienne allaient crescendo tel qu'il ressortait de sa récente rencontre à Damas avec Khaled Mechaâl, tout en insistant sur la nécessité de «lancer le dialogue inter palestinien à partir du Caire». A ce propos, le porte-parole de la diplomatie égyptienne a réaffirmé la volonté de son pays d'aller de l'avant dans le processus de réconciliation entre les factions palestiniennes, en estimant que les efforts de réconciliation pourraient aboutir avant la tenue de la conférence sur la reconstruction de Ghaza prévue le 2 mars prochain.