Dès les premiers jours du lancement de la campagne de collecte des signatures, la dure réalité du terrain s'est imposée à ces candidats à la candidature du scrutin populaire du 9 avril prochain. Dès les premiers jours du lancement de la campagne de collecte des signatures, la dure réalité du terrain s'est imposée à ces candidats à la candidature du scrutin populaire du 9 avril prochain. Peut-on être candidat indépendant à l'élection présidentielle sans être outillé de gros moyens ? Dès les premiers jours du lancement de la campagne de collecte des signatures, la dure réalité du terrain s'est imposée à ces candidats à la candidature du scrutin populaire du 9 avril prochain. Quotas de formulaires distribués au compte-gouttes, contraintes de toutes sortes… L'instruction adressée par le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales aux walis et aux présidents des APC, exigeant la présence personnelle du signataire du formulaire au niveau des services concernés, muni de sa carte d'identité et de sa carte de vote étant le plus grand obstacle. Une tâche qui relève du miracle pour ces candidats aux moyens humains et matériels dérisoires. Il n'en fallait pas plus pour ces candidats indépendants pour se regrouper et créer une coordination pour tenter de surmonter les entraves et les contraintes administratives qui se dressent sur leur chemin. Ils sont, jusqu'à aujourd'hui, trois candidats indépendants, Rachid Bouaziz, Abdellah Tamine et Loth Bonaterro à faire partie de cette coordination qui n'a aucun «domicile fixe» Peut-on être candidat indépendant à l'élection présidentielle sans être outillé de gros moyens ? Dès les premiers jours du lancement de la campagne de collecte des signatures, la dure réalité du terrain s'est imposée à ces candidats à la candidature du scrutin populaire du 9 avril prochain. Quotas de formulaires distribués au compte-gouttes, contraintes de toutes sortes… L'instruction adressée par le ministère de l'Intérieur et des Collectivités locales aux walis et aux présidents des APC, exigeant la présence personnelle du signataire du formulaire au niveau des services concernés, muni de sa carte d'identité et de sa carte de vote étant le plus grand obstacle. Une tâche qui relève du miracle pour ces candidats aux moyens humains et matériels dérisoires. Il n'en fallait pas plus pour ces candidats indépendants pour se regrouper et créer une coordination pour tenter de surmonter les entraves et les contraintes administratives qui se dressent sur leur chemin. Ils sont, jusqu'à aujourd'hui, trois candidats indépendants, Rachid Bouaziz, Abdellah Tamine et Loth Bonaterro à faire partie de cette coordination qui n'a aucun «domicile fixe»