M. Rahim a indiqué que les délais n'étaient pas terminés et qu'il reste de ce fait «confiant et serein». Il a exprimé sa satisfaction quant à la participation des citoyens à cette opération. M. Rahim a indiqué que les délais n'étaient pas terminés et qu'il reste de ce fait «confiant et serein». Il a exprimé sa satisfaction quant à la participation des citoyens à cette opération. M. Abdelouahab Rahim refuse de parler d'échec de l'opération emprunt obligataire «AlgerMedina». Invité de la rédaction de la chaîne III hier, il a réaffirmé qu'il n'y avait pas échec de l'opération, mais celui de la place qu'il ne peut pas offrir. «Notre projet est concret, visible et hautement rentable. Je lance quelque chose de concret qui tient la route et je garde espoir» a tenu à préciser M. Rahim qui a indiqué par ailleurs, que les délais n'étaient pas terminés et qu'il reste de ce fait «confiant et serein». L'invité de la radio a tenu à exprimer sa satisfaction quant à la participation des citoyens à cette opération « Nous sommes touchés par la confiance que les citoyens ont placée en nous, la population a répondu favorablement, ce qui ne répond pas à ce jour et ça peut changer, c'est la place financière». Le président directeur général du groupe Dahli a expliqué dans ce sens que «compte-tenu de la sous-capitalisation de chacune des banques, il n'y a aucune banque qui peut sur un plan réglementaire répondre au financement d'un seul projet de ce type». Revenant sur le déroulement de l'opération prolongée jusqu'au 24 février en cours, Med Abdelouahab Rahim a indiqué que cette dernière «se déroule normalement dans toutes les villes du pays». Refusant de communiquer les résultats de cet emprunt avant la fin de l'opération, il a réaffirmé que l'emprunt obligataire grand public était le moyen le plus approprié pour réaliser ce projet et que les 8 milliards 300 millions espéré par cette opération couvraient uniquement 3 modules du projet total d'Algérie Médina. «Le financement que nous avons demandé couvre 70% du projet. La marina sera livrée un petit peu en retard si nous n'avons pas les ressources financières nécessaires» a révélé le PDG du groupe Dahli. Mais le projet n'est pas remis en cause. «Rien ne remettra en cause notre projet, sa qualité, et sa dimension» a-t-il affirmé, réitérant le fait que le groupe Dahli est «la première entreprise privée à se lancer dans le marché emprunt obligataire grand public, c'est nouveau pour nous et pour le marché». Un groupe important appelé un jour ou l'autre à être coté à la Bourse d'Alger, «C'est un cheminement tout à fait normal pour un groupe comme le nôtre.» Sur la question des garanties déposé les par le groupe Dahli dans le cadre de cette opération, Abdelouahab Rahim a cité l'hôtel Hilton et d'autres bâtiments voisins. Des garanties qui couvrent selon ce dernier, «76% de la valeur que nous demandons. Notre groupe est capitalisé à plus de 20 milliards de DA, de ce fait, l'opération est quasi sûre. Il n'y a pas plus garant et plus solide que la pierre». R. N. M. Abdelouahab Rahim refuse de parler d'échec de l'opération emprunt obligataire «AlgerMedina». Invité de la rédaction de la chaîne III hier, il a réaffirmé qu'il n'y avait pas échec de l'opération, mais celui de la place qu'il ne peut pas offrir. «Notre projet est concret, visible et hautement rentable. Je lance quelque chose de concret qui tient la route et je garde espoir» a tenu à préciser M. Rahim qui a indiqué par ailleurs, que les délais n'étaient pas terminés et qu'il reste de ce fait «confiant et serein». L'invité de la radio a tenu à exprimer sa satisfaction quant à la participation des citoyens à cette opération « Nous sommes touchés par la confiance que les citoyens ont placée en nous, la population a répondu favorablement, ce qui ne répond pas à ce jour et ça peut changer, c'est la place financière». Le président directeur général du groupe Dahli a expliqué dans ce sens que «compte-tenu de la sous-capitalisation de chacune des banques, il n'y a aucune banque qui peut sur un plan réglementaire répondre au financement d'un seul projet de ce type». Revenant sur le déroulement de l'opération prolongée jusqu'au 24 février en cours, Med Abdelouahab Rahim a indiqué que cette dernière «se déroule normalement dans toutes les villes du pays». Refusant de communiquer les résultats de cet emprunt avant la fin de l'opération, il a réaffirmé que l'emprunt obligataire grand public était le moyen le plus approprié pour réaliser ce projet et que les 8 milliards 300 millions espéré par cette opération couvraient uniquement 3 modules du projet total d'Algérie Médina. «Le financement que nous avons demandé couvre 70% du projet. La marina sera livrée un petit peu en retard si nous n'avons pas les ressources financières nécessaires» a révélé le PDG du groupe Dahli. Mais le projet n'est pas remis en cause. «Rien ne remettra en cause notre projet, sa qualité, et sa dimension» a-t-il affirmé, réitérant le fait que le groupe Dahli est «la première entreprise privée à se lancer dans le marché emprunt obligataire grand public, c'est nouveau pour nous et pour le marché». Un groupe important appelé un jour ou l'autre à être coté à la Bourse d'Alger, «C'est un cheminement tout à fait normal pour un groupe comme le nôtre.» Sur la question des garanties déposé les par le groupe Dahli dans le cadre de cette opération, Abdelouahab Rahim a cité l'hôtel Hilton et d'autres bâtiments voisins. Des garanties qui couvrent selon ce dernier, «76% de la valeur que nous demandons. Notre groupe est capitalisé à plus de 20 milliards de DA, de ce fait, l'opération est quasi sûre. Il n'y a pas plus garant et plus solide que la pierre». R. N.