Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M. Rachid Harraoubia, a souligné hier à Alger, le rôle «important» et «stratégique» du Centre de recherche scientifique et technique en soudage et contrôle (CSC). «Ce centre est très important et stratégique pour les services qu'il fournit aux différentes entreprises du secteur public et privé» du pays, a déclaré M. Harraoubia à la presse lors d'une visite des différents départements du CSC. «Son rôle est important, notamment pour les entreprises stratégique», ainsi que le vide qu'il comble au niveau national dans ce secteur, a-t-il souligné, en félicitant les chercheurs travaillant dans ce centre pour leur «maîtrise» des nouvelles technologies et leur «méthode de travail». Après avoir pris connaissance de l état d'avancement des travaux du nouveau siège du CSC, le ministre a affirmé que le ministère fera «de son mieux», pour l'achèvement de sa construction dans les «meilleurs délais» et déploiera tous les moyens nécessaires, notamment matériels, pour «répondre aux besoins de ses chercheurs». Dans un premier temps, le laboratoire de soudage et de contrôle non destructif dépendant du Centre de développement de l'énergie (CDCE) du Haut commissariat à la recherche (HCR), a été créé en 1985, rappelle-t-on. L'impact des travaux menés en milieu industriel et dans ce laboratoire a favorisé la création, en 1987, de l'Unité de développement des techniques de soudage et de contrôle non destructif (UDTSCND). La demande de plus en plus croissante du secteur industriel en matière de contrôle non destructif et de soudage, a amené cette unité à se développer pour s'ériger en Centre de recherche scientifique et technique en soudage et contrôle (CSC) en 1992. Avec l'avènement de la loi cadre de la recherche en 1998, le CSC a été érigé en établissement public à caractère scientifique et technique (EPST) en 2003. Le CSC est composé de 4 divisions de recherche. Son potentiel chercheur est de 54 chercheurs permanents et de 5 chercheurs associés. Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M. Rachid Harraoubia, a souligné hier à Alger, le rôle «important» et «stratégique» du Centre de recherche scientifique et technique en soudage et contrôle (CSC). «Ce centre est très important et stratégique pour les services qu'il fournit aux différentes entreprises du secteur public et privé» du pays, a déclaré M. Harraoubia à la presse lors d'une visite des différents départements du CSC. «Son rôle est important, notamment pour les entreprises stratégique», ainsi que le vide qu'il comble au niveau national dans ce secteur, a-t-il souligné, en félicitant les chercheurs travaillant dans ce centre pour leur «maîtrise» des nouvelles technologies et leur «méthode de travail». Après avoir pris connaissance de l état d'avancement des travaux du nouveau siège du CSC, le ministre a affirmé que le ministère fera «de son mieux», pour l'achèvement de sa construction dans les «meilleurs délais» et déploiera tous les moyens nécessaires, notamment matériels, pour «répondre aux besoins de ses chercheurs». Dans un premier temps, le laboratoire de soudage et de contrôle non destructif dépendant du Centre de développement de l'énergie (CDCE) du Haut commissariat à la recherche (HCR), a été créé en 1985, rappelle-t-on. L'impact des travaux menés en milieu industriel et dans ce laboratoire a favorisé la création, en 1987, de l'Unité de développement des techniques de soudage et de contrôle non destructif (UDTSCND). La demande de plus en plus croissante du secteur industriel en matière de contrôle non destructif et de soudage, a amené cette unité à se développer pour s'ériger en Centre de recherche scientifique et technique en soudage et contrôle (CSC) en 1992. Avec l'avènement de la loi cadre de la recherche en 1998, le CSC a été érigé en établissement public à caractère scientifique et technique (EPST) en 2003. Le CSC est composé de 4 divisions de recherche. Son potentiel chercheur est de 54 chercheurs permanents et de 5 chercheurs associés.