Une journée d'étude sur l'hépatite virale "B" s'est tenue à Laghouat avec pour objectif d'initier les praticiens, notamment les généralistes, aux modalités de dépistage précoce et sensibiliser la population sur les dangers de cette pathologie. Initiée par l'association des praticiens privés de Laghouat en coordination avec l'Association nationale de l'hépatite et des maladies des intestins, cette journée de formation a permis aux participants d'examiner les symptômes et les causes de la maladie, les voies et moyens à même de s'en prémunir et le diagnostic de certains cas pathologiques. Faisant le point sur la situation de la propagation de cette maladie, le Pr Nekmouch, membre de l'Association nationale de l'hépatite virale, a, dans son intervention, "déploré le manque de prise en charge médicale de cette pathologie" qui, a-t-il dit, "seulement 200 cas d'hépatite virale B parmi une population malade de 700 personnes ont été traités, alors que sur les 300.000 patients atteints d'hépatite C, cause du cancer, seulement 1.500 personnes ont été traitées". Le conférencier impute cette situation, outre au retard mis dans le dépistage de la maladie, à la carence sinon à la cherté des médicaments, rappelant que la prise en charge médicale d'une personne atteinte est estimée à environ deux millions de dinars, en plus du retard accusé dans le dépistage pour la plupart des cas. Rappelant que la wilaya de Laghouat a enregistré six cas d'hépatite virale "B" en 2008, le Dr Chetta Mohamed a insisté, quant à lui, sur l'impérative stérilisation des équipements médicaux en vue de la protection des patients de cette maladie transmissible sexuellement et par voie sanguine. Les participants ont lancé un appel à la population en vue de prendre au sérieux cette maladie, avant d'insister sur la nécessaire organisation de journées de sensibilisation de la population pour un dépistage précoce de l'hépatite à travers des analyses médicales. Une journée d'étude sur l'hépatite virale "B" s'est tenue à Laghouat avec pour objectif d'initier les praticiens, notamment les généralistes, aux modalités de dépistage précoce et sensibiliser la population sur les dangers de cette pathologie. Initiée par l'association des praticiens privés de Laghouat en coordination avec l'Association nationale de l'hépatite et des maladies des intestins, cette journée de formation a permis aux participants d'examiner les symptômes et les causes de la maladie, les voies et moyens à même de s'en prémunir et le diagnostic de certains cas pathologiques. Faisant le point sur la situation de la propagation de cette maladie, le Pr Nekmouch, membre de l'Association nationale de l'hépatite virale, a, dans son intervention, "déploré le manque de prise en charge médicale de cette pathologie" qui, a-t-il dit, "seulement 200 cas d'hépatite virale B parmi une population malade de 700 personnes ont été traités, alors que sur les 300.000 patients atteints d'hépatite C, cause du cancer, seulement 1.500 personnes ont été traitées". Le conférencier impute cette situation, outre au retard mis dans le dépistage de la maladie, à la carence sinon à la cherté des médicaments, rappelant que la prise en charge médicale d'une personne atteinte est estimée à environ deux millions de dinars, en plus du retard accusé dans le dépistage pour la plupart des cas. Rappelant que la wilaya de Laghouat a enregistré six cas d'hépatite virale "B" en 2008, le Dr Chetta Mohamed a insisté, quant à lui, sur l'impérative stérilisation des équipements médicaux en vue de la protection des patients de cette maladie transmissible sexuellement et par voie sanguine. Les participants ont lancé un appel à la population en vue de prendre au sérieux cette maladie, avant d'insister sur la nécessaire organisation de journées de sensibilisation de la population pour un dépistage précoce de l'hépatite à travers des analyses médicales.