La décision présidentielle d'effacement des dettes des fellahs est le résultat d'un "travail de longue haleine et se justifie par la sécheresse qui a affecté le secteur quatre années durant", a indiqué jeudi à Tipasa le secrétaire général de l'Union nationale des paysans algériens (UNPA). Il a expliqué que l'opération "concerne 50.000 fellahs ayant contracté des dettes auprès de la Caisse nationale de mutualité agricole (CNMA) d'un montant de 19 milliards de DA et 125.000 autres avec des emprunts à la BADR évalués à 22 milliards de DA". M. Alioui Mohamed qui animait une rencontre des paysans à Tipasa, a souligné que ces années de sécheresse ont eu des répercussions négatives sur les rendements agricoles, précisant que le "volume de la dette des fellahs représente à peine 10% par rapport aux autres opérations d'assainissement du secteur économique (industriel et commercial) lancées par les pouvoirs publics ces dernières années". Répondant à ceux qui "dénigrent" cette décision, il a affirmé qu'elle s'inscrit également dans le cadre des actions prises pour "juguler les effets de la crise économique mondiale qui même si elle n'a pas touché de plein fouet notre économie, aura quelques conséquences". La décision présidentielle d'effacement des dettes des fellahs est le résultat d'un "travail de longue haleine et se justifie par la sécheresse qui a affecté le secteur quatre années durant", a indiqué jeudi à Tipasa le secrétaire général de l'Union nationale des paysans algériens (UNPA). Il a expliqué que l'opération "concerne 50.000 fellahs ayant contracté des dettes auprès de la Caisse nationale de mutualité agricole (CNMA) d'un montant de 19 milliards de DA et 125.000 autres avec des emprunts à la BADR évalués à 22 milliards de DA". M. Alioui Mohamed qui animait une rencontre des paysans à Tipasa, a souligné que ces années de sécheresse ont eu des répercussions négatives sur les rendements agricoles, précisant que le "volume de la dette des fellahs représente à peine 10% par rapport aux autres opérations d'assainissement du secteur économique (industriel et commercial) lancées par les pouvoirs publics ces dernières années". Répondant à ceux qui "dénigrent" cette décision, il a affirmé qu'elle s'inscrit également dans le cadre des actions prises pour "juguler les effets de la crise économique mondiale qui même si elle n'a pas touché de plein fouet notre économie, aura quelques conséquences".