Le Comité national des enseignants contractuels, (Cnec), affilié au Syndicat algérien autonome des personnels de l'administration publique (SNAPAP), organise aujourd'hui un mouvement de protestation devant le siège du ministère de l'Education nationale, à El-Mouradia. Cette décision, annoncée hier par un communiqué du Cnec, a été prise lors de la dernière réunion de cette structure, consacrée à l'étude des mesures à prendre face à la non-satisfaction par le ministère de l'Education nationale des principales revendications socioprofessionnelles exprimées par les enseignants contractuels. Un trimestre de l'année scolaire vient de s'achever sans que les conditions socioprofessionnelles des enseignants contractuels connaissent une amélioration. Le département de Benbouzid campe toujours sur ses positions. Dans ce communiqué, le Cnec soulève les problèmes administratifs auxquels font face quotidiennement les enseignants contractuels. Ils réclament une solution définitive pour régulariser leur situation et ce, quelle que soit la spécialité de l'enseignant. Par ailleurs, les enseignants contractuels exigent le paiement des arriérés de salaires, non perçus depuis trois années, pour certains. Ils réclament aussi le paiement des salaires des vacances scolaires dont ils étaient privés ces dernières années. De même qu'ils exigent la réintégration des enseignants licenciés arbitrairement et la titularisation des enseignants après quelques années d'exercice. Il est à rappeler que les enseignants contractuels ont organisé un mouvement cyclique de protestation au cours de l'année dernière et dont le pic a été une grève de la faim qui a duré 45 jours. Le ministère de l'Education nationale s'est montré intransigeant concernant le devenir de ces fonctionnaires auxquels il refuse catégoriquement d'accorder le statut de permanents. Le Comité national des enseignants contractuels, (Cnec), affilié au Syndicat algérien autonome des personnels de l'administration publique (SNAPAP), organise aujourd'hui un mouvement de protestation devant le siège du ministère de l'Education nationale, à El-Mouradia. Cette décision, annoncée hier par un communiqué du Cnec, a été prise lors de la dernière réunion de cette structure, consacrée à l'étude des mesures à prendre face à la non-satisfaction par le ministère de l'Education nationale des principales revendications socioprofessionnelles exprimées par les enseignants contractuels. Un trimestre de l'année scolaire vient de s'achever sans que les conditions socioprofessionnelles des enseignants contractuels connaissent une amélioration. Le département de Benbouzid campe toujours sur ses positions. Dans ce communiqué, le Cnec soulève les problèmes administratifs auxquels font face quotidiennement les enseignants contractuels. Ils réclament une solution définitive pour régulariser leur situation et ce, quelle que soit la spécialité de l'enseignant. Par ailleurs, les enseignants contractuels exigent le paiement des arriérés de salaires, non perçus depuis trois années, pour certains. Ils réclament aussi le paiement des salaires des vacances scolaires dont ils étaient privés ces dernières années. De même qu'ils exigent la réintégration des enseignants licenciés arbitrairement et la titularisation des enseignants après quelques années d'exercice. Il est à rappeler que les enseignants contractuels ont organisé un mouvement cyclique de protestation au cours de l'année dernière et dont le pic a été une grève de la faim qui a duré 45 jours. Le ministère de l'Education nationale s'est montré intransigeant concernant le devenir de ces fonctionnaires auxquels il refuse catégoriquement d'accorder le statut de permanents.