Lundi prochain, le conseil national du Syndicat national des praticiens de la santé publique (SNPSP) se réunira en session extraordinaire. Cela correspondra à un mois, depuis le début de la grève ouverte enclenchée par les praticiens de la santé publique, à savoir, médecins généralistes, spécialistes, chirurgiens dentistes et pharmaciens, affiliés au SNPSP. «Si la tutelle souhaiterait aplanir la situation et faire avancer les choses, nous espérons qu'elle prendra des mesures d'apaisement pour notre situation d'ici cette date», a déclaré au Midi Libre, le président de ce syndicat, le Dr. Bensebaini. Lors de cette session extraordinaire, les membres du conseil national se concerteront sur le gel ou pas de la grève ou bien la radicalisation du mouvement de protestation. «A vrai dire, nous avons eu des échos de la part des praticiens qui, eux, veulent encore radicaliser plus le mouvement de contestation», a affirmé notre interlocuteur. Devant le mutisme de leur tutelle, à savoir le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, les praticiens ont fait des propositions des plus radicales. Le Dr Bensebaini en a cité quelques-unes : Marches dans les rues, arrêt du service minimum durant la grève ouverte, démission collective de tous les patriciens de la santé publique.... «Nous espérons ne pas en arriver là», a souhaité le Dr. Bensebaini. Ainsi, ce conseil national sera un «tournant décisif» pour la suite de ce mouvement de contestation. Interrogé sur les résultats de la deuxième rencontre avec les membres de la commission de la santé et des affaires sociales de l'Assemblée populaire nationale, le Dr. Bensebaini dira qu'«il n'y a rien de nouveau». Pour rappel, les patriciens de la santé publique ont enclenché une grève ouverte depuis le 24 février dernier pour faire aboutir leurs revendications que sont la promulgation du statut particulier de la profession et l'ouverture des négociations pour l'instauration d'un régime indemnitaire. Lundi prochain, le conseil national du Syndicat national des praticiens de la santé publique (SNPSP) se réunira en session extraordinaire. Cela correspondra à un mois, depuis le début de la grève ouverte enclenchée par les praticiens de la santé publique, à savoir, médecins généralistes, spécialistes, chirurgiens dentistes et pharmaciens, affiliés au SNPSP. «Si la tutelle souhaiterait aplanir la situation et faire avancer les choses, nous espérons qu'elle prendra des mesures d'apaisement pour notre situation d'ici cette date», a déclaré au Midi Libre, le président de ce syndicat, le Dr. Bensebaini. Lors de cette session extraordinaire, les membres du conseil national se concerteront sur le gel ou pas de la grève ou bien la radicalisation du mouvement de protestation. «A vrai dire, nous avons eu des échos de la part des praticiens qui, eux, veulent encore radicaliser plus le mouvement de contestation», a affirmé notre interlocuteur. Devant le mutisme de leur tutelle, à savoir le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, les praticiens ont fait des propositions des plus radicales. Le Dr Bensebaini en a cité quelques-unes : Marches dans les rues, arrêt du service minimum durant la grève ouverte, démission collective de tous les patriciens de la santé publique.... «Nous espérons ne pas en arriver là», a souhaité le Dr. Bensebaini. Ainsi, ce conseil national sera un «tournant décisif» pour la suite de ce mouvement de contestation. Interrogé sur les résultats de la deuxième rencontre avec les membres de la commission de la santé et des affaires sociales de l'Assemblée populaire nationale, le Dr. Bensebaini dira qu'«il n'y a rien de nouveau». Pour rappel, les patriciens de la santé publique ont enclenché une grève ouverte depuis le 24 février dernier pour faire aboutir leurs revendications que sont la promulgation du statut particulier de la profession et l'ouverture des négociations pour l'instauration d'un régime indemnitaire.