Ecartant pour le moment l'option de la grève de la faim pour des considérations médicales, les enseignants contractuels ont décidé de tenir, aujourd'hui, un sit-in devant le Palais du gouvernement. Un autre sit-in de 24 heures sera, lui, tenu au niveau du siège de la Présidence. Le 21 et 22 mars derniers, le bureau national du Conseil des enseignants contractuels (CECA) s'est réuni sous la présidence du Syndicat National Autonome des Personnels de l'Administration Publique (SNAPAP) pour définir les actions à entreprendre afin de faire aboutir leurs revendications socioprofessionnelles. Selon un communiqué sanctionnant cette rencontre, cette réunion s'est tenue en présence des représentants de neufs wilayas à savoir, Alger, Blida, Mostaganem, Béjaïa, Tizi Ouzou, Bouira, M'Sila, Annaba et Guelma. Lors de cette rencontre de deux jours, plusieurs formes de protestation ont été évoquées, entre autres, l'organisation de sit-in, initiation d'actions de protestation quotidiennes dans différents endroits et retour vers la grève de la faim. Cette dernière proposition a été écartée momentanément du fait que la capacité physique des membres du bureau national ne le permet pas. En effet, deux enseignantes sont enceintes et d'autres sont encore sous le contrecoup de la dernière grève de la faim observée durant plus de 40 jours. Les membres du bureau national disent ne pas reculer pour autant pour faire aboutir leurs revendications. Et dans ce cadre, il a été décidé d'organiser plusieurs manifestations dans différents endroits, sans toutefois écarter l'éventualité d' une grève de la faim.A court terme, il a été décidé la tenue, aujourd'hui, d'un sit-in devant le palais du gouvernement et par la suite la tenue d'un autre sit-in de 24 heures devant le siège de la Présidence durant ces vacances scolaires. Pour rappel, depuis plusieurs années déjà, ces enseignants demandent leur intégration dans leurs postes de travail et la rémunération de leurs années d'activités, notamment durant la décennie noire. Tentant d'apaiser les esprits, le ministère de l'Education nationale leur a demandé de participer au concours de la fonction publique. Or, aux dires de ces enseignants, jusqu'à maintenant, rares sont les concours qui se sont tenus. D'où la difficile situation dans laquelle se retrouvent ces enseignants. Ecartant pour le moment l'option de la grève de la faim pour des considérations médicales, les enseignants contractuels ont décidé de tenir, aujourd'hui, un sit-in devant le Palais du gouvernement. Un autre sit-in de 24 heures sera, lui, tenu au niveau du siège de la Présidence. Le 21 et 22 mars derniers, le bureau national du Conseil des enseignants contractuels (CECA) s'est réuni sous la présidence du Syndicat National Autonome des Personnels de l'Administration Publique (SNAPAP) pour définir les actions à entreprendre afin de faire aboutir leurs revendications socioprofessionnelles. Selon un communiqué sanctionnant cette rencontre, cette réunion s'est tenue en présence des représentants de neufs wilayas à savoir, Alger, Blida, Mostaganem, Béjaïa, Tizi Ouzou, Bouira, M'Sila, Annaba et Guelma. Lors de cette rencontre de deux jours, plusieurs formes de protestation ont été évoquées, entre autres, l'organisation de sit-in, initiation d'actions de protestation quotidiennes dans différents endroits et retour vers la grève de la faim. Cette dernière proposition a été écartée momentanément du fait que la capacité physique des membres du bureau national ne le permet pas. En effet, deux enseignantes sont enceintes et d'autres sont encore sous le contrecoup de la dernière grève de la faim observée durant plus de 40 jours. Les membres du bureau national disent ne pas reculer pour autant pour faire aboutir leurs revendications. Et dans ce cadre, il a été décidé d'organiser plusieurs manifestations dans différents endroits, sans toutefois écarter l'éventualité d' une grève de la faim.A court terme, il a été décidé la tenue, aujourd'hui, d'un sit-in devant le palais du gouvernement et par la suite la tenue d'un autre sit-in de 24 heures devant le siège de la Présidence durant ces vacances scolaires. Pour rappel, depuis plusieurs années déjà, ces enseignants demandent leur intégration dans leurs postes de travail et la rémunération de leurs années d'activités, notamment durant la décennie noire. Tentant d'apaiser les esprits, le ministère de l'Education nationale leur a demandé de participer au concours de la fonction publique. Or, aux dires de ces enseignants, jusqu'à maintenant, rares sont les concours qui se sont tenus. D'où la difficile situation dans laquelle se retrouvent ces enseignants.