Le tableau sombre, dressé lors de son dernier passage à Constantine, par le ministre de l'Industrie et de la Promotion de l'investissement, au sujet du processus de l'investissement a été soigneusement «relooké», hier, par le wali. En effet, lors d'une rencontre présidée par le chef de l'exécutif au palais de la culture Malek-Haddad et à laquelle ont pris part pas moins d'une cinquantaine d'investisseurs locaux, Abdelmalek Boudiaf, a tenu coûte que coûte à persuader l'assistance que tout allait bien et que l'investissement marque des bonds en avant à Constantine. Il a même tenu à féliciter certains investisseurs qui, selon lui, «ont contribué à la promotion de l'investissement dans la ville des Ponts»! Le chef de l'exécutif a évité d'évoquer les sujets qui fâchent. Il n'a pas fait la moindre allusion à la nonchalance de ces investisseurs qui ne se manifestent que pour dérober l'argent public. Une source, bien au fait de ce dossier, nous indique que sur les 87 investisseurs existants et accrédités à Constantine, 7 seulement seraient actifs sur le terrain. Les autres, ajoute notre source, ne se manifestent que pour tirer des dividendes. Il faut dire que dans une ville où les investissements manquent cruellement, la médiocrité persiste en dépit de toutes les mises en garde. Le processus de l'investissement souffre à Constantine. Il n'arrive toujours pas à décoller et cela les autorités locales le saven! Cela est dû à certains obstacles réels et à d'autres supposés. La majorités des investisseurs s'adonnent au marchandage de bas étage. Ils ont prouvé leur incapacité d'investir même dans les secteurs traditionnels. Les plus nantis, parmi eux, produisent pour écouler leurs marchandises auprès des œuvres sociales de certaines sociétés! Pour revenir à la rencontre et au plaidoyer du wali , il serait important de signaler que ces mêmes investisseurs viennent d'être sollicités pour constituer une société par actions dans le but d'investir sur le site pittoresque de Bardo. Certes, ils ont pu mener à bien les investissements dans de petits villages, mais Constantine est loin d'être une petite localité, on ne peut donc que croiser les doigts en attendant... Le tableau sombre, dressé lors de son dernier passage à Constantine, par le ministre de l'Industrie et de la Promotion de l'investissement, au sujet du processus de l'investissement a été soigneusement «relooké», hier, par le wali. En effet, lors d'une rencontre présidée par le chef de l'exécutif au palais de la culture Malek-Haddad et à laquelle ont pris part pas moins d'une cinquantaine d'investisseurs locaux, Abdelmalek Boudiaf, a tenu coûte que coûte à persuader l'assistance que tout allait bien et que l'investissement marque des bonds en avant à Constantine. Il a même tenu à féliciter certains investisseurs qui, selon lui, «ont contribué à la promotion de l'investissement dans la ville des Ponts»! Le chef de l'exécutif a évité d'évoquer les sujets qui fâchent. Il n'a pas fait la moindre allusion à la nonchalance de ces investisseurs qui ne se manifestent que pour dérober l'argent public. Une source, bien au fait de ce dossier, nous indique que sur les 87 investisseurs existants et accrédités à Constantine, 7 seulement seraient actifs sur le terrain. Les autres, ajoute notre source, ne se manifestent que pour tirer des dividendes. Il faut dire que dans une ville où les investissements manquent cruellement, la médiocrité persiste en dépit de toutes les mises en garde. Le processus de l'investissement souffre à Constantine. Il n'arrive toujours pas à décoller et cela les autorités locales le saven! Cela est dû à certains obstacles réels et à d'autres supposés. La majorités des investisseurs s'adonnent au marchandage de bas étage. Ils ont prouvé leur incapacité d'investir même dans les secteurs traditionnels. Les plus nantis, parmi eux, produisent pour écouler leurs marchandises auprès des œuvres sociales de certaines sociétés! Pour revenir à la rencontre et au plaidoyer du wali , il serait important de signaler que ces mêmes investisseurs viennent d'être sollicités pour constituer une société par actions dans le but d'investir sur le site pittoresque de Bardo. Certes, ils ont pu mener à bien les investissements dans de petits villages, mais Constantine est loin d'être une petite localité, on ne peut donc que croiser les doigts en attendant...