L'accord commercial, le premier du genre, concerne trois listes de produits pour lesquels les deux pays s'accordent des avantages tarifaires similaires à ceux qui régissent leurs échanges avec l'Union européenne. L'accord commercial, le premier du genre, concerne trois listes de produits pour lesquels les deux pays s'accordent des avantages tarifaires similaires à ceux qui régissent leurs échanges avec l'Union européenne. L'Algérie et la Tunisie s'acheminent droit vers la création d'une zone de libre-échange. En effet, le Parlement tunisien a adopté, avant-hier, un projet de loi ratifiant l'accord sur le commerce préférentiel entre la Tunisie et l'Algérie, a rapporté la presse tunisienne parue hier. Cet accord a pour objectif de renforcer le rythme d'échange commercial entre les deux pays, faciliter l'écoulement des marchandises sur les deux marchés et développer le volume des investissements mixtes. L'accord stipule, par ailleurs, un nombre d'avantages à l'échange des produits industriels d'origine tunisienne ou algérienne à l'instar des produits européens qui bénéficient d'exonérations lors de leur entrée sur les marchés tunisien et algérien. Des exonérations totales sont instituées dans le cadre de quotas tarifaires annuels au profit de deux listes de produits agricoles. La discussion relative à la libéralisation du commerce des produits agricoles et agricoles manufacturés a été reportée pour 2014, soit 5 ans après l'entrée en vigueur de l'accord. L'accord prévoit aussi la création d'une commission mixte tuniso-algérienne de partenariat commercial. Elle veillera à la concrétisation des engagements des deux parties et l'élargissement du champ de coopération. Au terme de cette adoption, le ministre tunisien du Commerce et de l'Artisanat, Ridha Touiti, a souligné que l'accord entre dans le cadre de l'accélération de la mise en place de la grande zone arabe de libre-échange et la réalisation de méga-projets maghrébins. Il a évoqué, dans ce contexte, les deux zones de libre-échange établies respectivement entre la Tunisie et le Maroc et la Tunisie et la Libye, relevant que le présent accord constitue un nouveau jalon sur la voie de la mise en place d'une zone de libre-échange entre la Tunisie et l'Algérie. Cet accord, a-t-il ajouté, ne manquera pas de renforcer les échanges commerciaux et économiques entre la Tunisie et l'Algérie, notamment, à la faveur des accords de partenariat conclus par les deux pays avec l'Union européenne. Il est important de préciser que cet accord préférentiel a été annoncé en décembre 2008 à l'occasion de la tenue de la 17e réunion annuelle de la Grande commission mixte de coopération sous la présidence de M. Ouyahia et de son homologue tunisien, Mohamed Ghannouchi. L'accord commercial, le premier du genre, concerne trois listes de produits pour lesquels les deux pays s'accordent des avantages tarifaires similaires à ceux qui régissent leurs échanges avec l'Union européenne. Il s'agit d'une exonération douanière partielle et progressive sur cinq et dix ans, selon l'accord qui comporte une clause contre la concurrence déloyale. En discussion depuis deux ans et attendu dans les milieux d'affaires, cet accord vise à dynamiser le commerce bilatéral qui a atteint les 500 millions USD en 2008 et à instaurer à terme le libre-échange entre les deux pays. L'Algérie et la Tunisie s'acheminent droit vers la création d'une zone de libre-échange. En effet, le Parlement tunisien a adopté, avant-hier, un projet de loi ratifiant l'accord sur le commerce préférentiel entre la Tunisie et l'Algérie, a rapporté la presse tunisienne parue hier. Cet accord a pour objectif de renforcer le rythme d'échange commercial entre les deux pays, faciliter l'écoulement des marchandises sur les deux marchés et développer le volume des investissements mixtes. L'accord stipule, par ailleurs, un nombre d'avantages à l'échange des produits industriels d'origine tunisienne ou algérienne à l'instar des produits européens qui bénéficient d'exonérations lors de leur entrée sur les marchés tunisien et algérien. Des exonérations totales sont instituées dans le cadre de quotas tarifaires annuels au profit de deux listes de produits agricoles. La discussion relative à la libéralisation du commerce des produits agricoles et agricoles manufacturés a été reportée pour 2014, soit 5 ans après l'entrée en vigueur de l'accord. L'accord prévoit aussi la création d'une commission mixte tuniso-algérienne de partenariat commercial. Elle veillera à la concrétisation des engagements des deux parties et l'élargissement du champ de coopération. Au terme de cette adoption, le ministre tunisien du Commerce et de l'Artisanat, Ridha Touiti, a souligné que l'accord entre dans le cadre de l'accélération de la mise en place de la grande zone arabe de libre-échange et la réalisation de méga-projets maghrébins. Il a évoqué, dans ce contexte, les deux zones de libre-échange établies respectivement entre la Tunisie et le Maroc et la Tunisie et la Libye, relevant que le présent accord constitue un nouveau jalon sur la voie de la mise en place d'une zone de libre-échange entre la Tunisie et l'Algérie. Cet accord, a-t-il ajouté, ne manquera pas de renforcer les échanges commerciaux et économiques entre la Tunisie et l'Algérie, notamment, à la faveur des accords de partenariat conclus par les deux pays avec l'Union européenne. Il est important de préciser que cet accord préférentiel a été annoncé en décembre 2008 à l'occasion de la tenue de la 17e réunion annuelle de la Grande commission mixte de coopération sous la présidence de M. Ouyahia et de son homologue tunisien, Mohamed Ghannouchi. L'accord commercial, le premier du genre, concerne trois listes de produits pour lesquels les deux pays s'accordent des avantages tarifaires similaires à ceux qui régissent leurs échanges avec l'Union européenne. Il s'agit d'une exonération douanière partielle et progressive sur cinq et dix ans, selon l'accord qui comporte une clause contre la concurrence déloyale. En discussion depuis deux ans et attendu dans les milieux d'affaires, cet accord vise à dynamiser le commerce bilatéral qui a atteint les 500 millions USD en 2008 et à instaurer à terme le libre-échange entre les deux pays.