Les forêts d'Alger manquent toutefois de structures et d'aménagements ludiques, mais elles restent la destinations privilégiée des Algérois. Les forêts d'Alger manquent toutefois de structures et d'aménagements ludiques, mais elles restent la destinations privilégiée des Algérois. Ce week-end a connu une grande opération de reboisement qui a concerné toutes les forêts d'Alger. Des centaines de personnes ont participé à la plantation d'arbustes à Bouchaoui, Aïn Benian, Baïnem, et même à El-Harrach. L'arbre a été mis, hier, à l'honneur par la direction générale des forêts. Des établissement scolaires privés et publics, des associations et de simples citoyens se sont solidarisés, le temps d'une journée, afin de communier avec la nature sous le thème: «Sauver la nature dans tout l'Algérois» Une élève dans une école privée à El Achour nous dira: «Je suis venue avec mes camarades pour profiter de l'air pur et d'une nature saine. En plantant ces arbres, nous contribuons au renouvellement de notre patrimoine vert. Sensibiliser l'enfant à la préservation de la nature est le but recherché en le faisant participer à cette opération de reboisement à Bouchaoui», nous dira une enseignante. Les forestiers optent pour la régénération naturelle, vu tous les aléas liés à plusieurs facteurs, subis par les forêts et les céderaies naturelles en Algérie, ces dernières années. Les forêts algériennes, notamment celles de la capitale ont été soumises à une forte pression anthropique, un surpâturage, coupe de bois, incendies, sans oublier de citer les conditions climatiques extrêmes avec des phases de sécheresse prolongée, influant négativement sur la croissance des arbres et leur régénération naturelle. «De pareilles actions, initiées de concert par des organismes étatiques et privés avec l'aide de bénévoles, sont nécessaires et sont même une preuve de civisme», nous dira un garde-forestier, rencontré abordé dans la forêt de Bouchaoui. «Cette action n'est pas la première pour la direction générale des forêts, lors de chaque Journée mondiale de l'arbre, la DGF prend l'initiative de planter des centaines d'arbustes dans tout l'Algérois, nous explique un cadre à la DGF». Cette année la Direction des forêts a planté, en collaboration avec l'Algérienne des eaux, près de 50.000 arbres sur tout le territoire algérien, à l'occasion de la Journée mondiale de l'eau, coincidant avec le 21 mars. Le plaisir de passer une journée dans les forêts d'Alger, de voir des enfants participer à la sauvegarde de la nature, c'est comme «renouveler un contrat avec la vie», nous dira un jeune de 19 ans, membre d'une nouvelle association, «Sauver la nature», présente avec ses neufs membres fondateurs, venus de Belcourt à bord d' une petite camionnette avec une centaine d'arbustres à planter, «nous voulons que cette action devienne un acte courant et civilisationnel et que chaque Algérien fera, à chaque fois qu'il aura l'occasion de le faire », nous a affirmé un jeune licencié en agriculture également membre fondateur de l'association «Sauver la nature». Plusieurs citoyens étaient sur les lieux avec leurs enfants afin de leur «faire comprendre que la nature est source de vie et de bonne santé», nous dira un père accompagné de ses quatre enfants. «Cette forêt était mon lieu de détente et de défoulement préféré quand j'étais plus jeune, et je veux que mes enfants la sauvegardent pour eux et pour les générations à venir», ajoute-t-il. Les forêts d'Alger manquent toutefois de structures et d'aménagements ludiques, mais elles restent la destinations privilégiée des Algérois, « on ne peut remplacer la forêt par un quelquonque endroit pour nos sorties familiales, nos pique-niques ou juste pour respirer de l'air pur, admirer la nature et pouvoir profiter du calme loin du stress de la ville», nous dira une mère venue avec ses enfants pour passer la journée dans la forêt de Aïn-Bénian; «il n'y a pas mieux que de voir ces enfants heureux, courant en toute liberté partout dans cette forêt belle et surtout propre», affirme-t-elle. Nous avons laissé à regret ces enfant, ivres de liberté et d'air pur, persuadés qu'ils sauront respecter cette nature qui leur offre tant de bienfaits. En tout cas ils ont compris que planter un arbre est un acte civilisateur et une culture. Ce week-end a connu une grande opération de reboisement qui a concerné toutes les forêts d'Alger. Des centaines de personnes ont participé à la plantation d'arbustes à Bouchaoui, Aïn Benian, Baïnem, et même à El-Harrach. L'arbre a été mis, hier, à l'honneur par la direction générale des forêts. Des établissement scolaires privés et publics, des associations et de simples citoyens se sont solidarisés, le temps d'une journée, afin de communier avec la nature sous le thème: «Sauver la nature dans tout l'Algérois» Une élève dans une école privée à El Achour nous dira: «Je suis venue avec mes camarades pour profiter de l'air pur et d'une nature saine. En plantant ces arbres, nous contribuons au renouvellement de notre patrimoine vert. Sensibiliser l'enfant à la préservation de la nature est le but recherché en le faisant participer à cette opération de reboisement à Bouchaoui», nous dira une enseignante. Les forestiers optent pour la régénération naturelle, vu tous les aléas liés à plusieurs facteurs, subis par les forêts et les céderaies naturelles en Algérie, ces dernières années. Les forêts algériennes, notamment celles de la capitale ont été soumises à une forte pression anthropique, un surpâturage, coupe de bois, incendies, sans oublier de citer les conditions climatiques extrêmes avec des phases de sécheresse prolongée, influant négativement sur la croissance des arbres et leur régénération naturelle. «De pareilles actions, initiées de concert par des organismes étatiques et privés avec l'aide de bénévoles, sont nécessaires et sont même une preuve de civisme», nous dira un garde-forestier, rencontré abordé dans la forêt de Bouchaoui. «Cette action n'est pas la première pour la direction générale des forêts, lors de chaque Journée mondiale de l'arbre, la DGF prend l'initiative de planter des centaines d'arbustes dans tout l'Algérois, nous explique un cadre à la DGF». Cette année la Direction des forêts a planté, en collaboration avec l'Algérienne des eaux, près de 50.000 arbres sur tout le territoire algérien, à l'occasion de la Journée mondiale de l'eau, coincidant avec le 21 mars. Le plaisir de passer une journée dans les forêts d'Alger, de voir des enfants participer à la sauvegarde de la nature, c'est comme «renouveler un contrat avec la vie», nous dira un jeune de 19 ans, membre d'une nouvelle association, «Sauver la nature», présente avec ses neufs membres fondateurs, venus de Belcourt à bord d' une petite camionnette avec une centaine d'arbustres à planter, «nous voulons que cette action devienne un acte courant et civilisationnel et que chaque Algérien fera, à chaque fois qu'il aura l'occasion de le faire », nous a affirmé un jeune licencié en agriculture également membre fondateur de l'association «Sauver la nature». Plusieurs citoyens étaient sur les lieux avec leurs enfants afin de leur «faire comprendre que la nature est source de vie et de bonne santé», nous dira un père accompagné de ses quatre enfants. «Cette forêt était mon lieu de détente et de défoulement préféré quand j'étais plus jeune, et je veux que mes enfants la sauvegardent pour eux et pour les générations à venir», ajoute-t-il. Les forêts d'Alger manquent toutefois de structures et d'aménagements ludiques, mais elles restent la destinations privilégiée des Algérois, « on ne peut remplacer la forêt par un quelquonque endroit pour nos sorties familiales, nos pique-niques ou juste pour respirer de l'air pur, admirer la nature et pouvoir profiter du calme loin du stress de la ville», nous dira une mère venue avec ses enfants pour passer la journée dans la forêt de Aïn-Bénian; «il n'y a pas mieux que de voir ces enfants heureux, courant en toute liberté partout dans cette forêt belle et surtout propre», affirme-t-elle. Nous avons laissé à regret ces enfant, ivres de liberté et d'air pur, persuadés qu'ils sauront respecter cette nature qui leur offre tant de bienfaits. En tout cas ils ont compris que planter un arbre est un acte civilisateur et une culture.