Tout au long de l'après-midi, ces enseignants ont élu domicile rue Addis-Abbéba dans le calme. Ils ont manifesté leur désarroi et protesté contre la «hogra» dont ils sont victimes. Tout au long de l'après-midi, ces enseignants ont élu domicile rue Addis-Abbéba dans le calme. Ils ont manifesté leur désarroi et protesté contre la «hogra» dont ils sont victimes. Durant tout l'après-midi d'hier, les enseignants contractuels ont tenu leur rassemblement devant le siège de la Commission nationale consultative de promotion et de défense des droits de l'Homme (CCPDH). Ils ont été nombreux à faire le déplacement en réponse à l'appel du Conseil national des enseignants contractuels (CNEC). «Durant ce sit-in, nous avons au moins pu remettre notre plateforme de revendications à un délégué du CCPDH. Il devra la remettre au président de cette commission, M. Ksentini», nous a déclaré Mme Meriem Maarouf, porte-parole du CNEC. Une lueur d'espoir pour ces enseignants marginalisés et oubliés. «Nous devrions soit être reçus ou bien avoir une réponse dans les vingt quatre heures», a-t-elle ajouté. Tout au long de l'après-midi, ces enseignants ont élu domicile rue Addis-Abbéba dans le calme. Ils ont manifesté leur désarroi et protesté contre la «hogra» dont ils sont victimes. «Nous n'avons pas été pour l'heure dispersés» (après trois heures de sit-in, ndlr) a relevé la porte-parole du CNEC. Venus de plusieurs wilayas du pays, les enseignants contractuels ont choisi de délocalisé leur lieu de manifestation pour «échapper» aux forces de l'ordre. Ils ont, en effet, tenu des rassemblement similaires, la semaine dernière, devant le siège de la présidence. Cependant, ils ont été sévèrement réprimés et dispersés au bout de quelques minutes. Alors que le rassemblement de mercredi dernier devant la présidence devait se poursuivre 24 heures durant. Et malgré cela, il ont décidé de ne pas baisser les bras. Pour rappel, depuis plusieurs années déjà, ces enseignants demandent leur réintégration dans leurs postes de travail et la rémunération de leurs longues années de travail, notamment durant la décennie noire. Tentant d'apaiser la situation, le ministère de l'Education nationale leur a demandé de participer au concours de la Fonction publique. Or, aux dires de ces enseignants, jusqu'à maintenant, rares sont les concours qui se sont tenus. D'où la difficile situation dans laquelle se retrouve ces enseignants. Après ces actions de protestation, le mouvement pourrait être radicalisé par le recours à la grève de la faim. Cette dernière proposition est écartée pour l'heure du fait que la capacité physique des membres du bureau national ne le permet pas. En effet, deux enseignantes sont enceintes et d'autres sont encore sous le contrecoup de la dernière grève de la faim observée durant plus de 40 jours. Durant tout l'après-midi d'hier, les enseignants contractuels ont tenu leur rassemblement devant le siège de la Commission nationale consultative de promotion et de défense des droits de l'Homme (CCPDH). Ils ont été nombreux à faire le déplacement en réponse à l'appel du Conseil national des enseignants contractuels (CNEC). «Durant ce sit-in, nous avons au moins pu remettre notre plateforme de revendications à un délégué du CCPDH. Il devra la remettre au président de cette commission, M. Ksentini», nous a déclaré Mme Meriem Maarouf, porte-parole du CNEC. Une lueur d'espoir pour ces enseignants marginalisés et oubliés. «Nous devrions soit être reçus ou bien avoir une réponse dans les vingt quatre heures», a-t-elle ajouté. Tout au long de l'après-midi, ces enseignants ont élu domicile rue Addis-Abbéba dans le calme. Ils ont manifesté leur désarroi et protesté contre la «hogra» dont ils sont victimes. «Nous n'avons pas été pour l'heure dispersés» (après trois heures de sit-in, ndlr) a relevé la porte-parole du CNEC. Venus de plusieurs wilayas du pays, les enseignants contractuels ont choisi de délocalisé leur lieu de manifestation pour «échapper» aux forces de l'ordre. Ils ont, en effet, tenu des rassemblement similaires, la semaine dernière, devant le siège de la présidence. Cependant, ils ont été sévèrement réprimés et dispersés au bout de quelques minutes. Alors que le rassemblement de mercredi dernier devant la présidence devait se poursuivre 24 heures durant. Et malgré cela, il ont décidé de ne pas baisser les bras. Pour rappel, depuis plusieurs années déjà, ces enseignants demandent leur réintégration dans leurs postes de travail et la rémunération de leurs longues années de travail, notamment durant la décennie noire. Tentant d'apaiser la situation, le ministère de l'Education nationale leur a demandé de participer au concours de la Fonction publique. Or, aux dires de ces enseignants, jusqu'à maintenant, rares sont les concours qui se sont tenus. D'où la difficile situation dans laquelle se retrouve ces enseignants. Après ces actions de protestation, le mouvement pourrait être radicalisé par le recours à la grève de la faim. Cette dernière proposition est écartée pour l'heure du fait que la capacité physique des membres du bureau national ne le permet pas. En effet, deux enseignantes sont enceintes et d'autres sont encore sous le contrecoup de la dernière grève de la faim observée durant plus de 40 jours.