Le Conseil des droits de l'Homme de l'ONU a annoncé hier la désignation de l'ex-procureur du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie et pour le Rwanda, Richard Goldstone, pour diriger une mission d'enquête sur «toutes les violations des droits de l'Homme» lors de l'agression militaire israélienne sur Ghaza. M. Goldstone, de nationalité sud-africaine, sera accompagné de la Britannique Christine Chinkin, spécialiste de droit international, de la Pakistanaise Hina Jilani, juge à la Cour suprême du Pakistan et ancienne experte de l'ONU pour les droits de l'Homme, et d'un colonel irlandais à la retraite, Desmond Travers, précise le Conseil dans un communiqué. «Je suis confiant dans le fait que la mission sera en mesure d'évaluer de façon indépendante et impartiale toutes les violations des droits de l'homme et du droit humanitaire commises» dans le cadre de l'agression militaire israélienne sur Ghaza (27 décembre-18 janvier), déclare le président du Conseil des droits de l'Homme Martin Ihoeghian Uhomoibhi, dans le communiqué. Le 12 janvier, le Conseil des droits de l'Homme réuni en session extraordinaire avait décidé dans une résolution l'envoi d'une «mission d'établissement des faits» sur les violations «commises par la puissance occupante Israël contre le peuple palestinien». Le Conseil des droits de l'Homme de l'ONU a annoncé hier la désignation de l'ex-procureur du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie et pour le Rwanda, Richard Goldstone, pour diriger une mission d'enquête sur «toutes les violations des droits de l'Homme» lors de l'agression militaire israélienne sur Ghaza. M. Goldstone, de nationalité sud-africaine, sera accompagné de la Britannique Christine Chinkin, spécialiste de droit international, de la Pakistanaise Hina Jilani, juge à la Cour suprême du Pakistan et ancienne experte de l'ONU pour les droits de l'Homme, et d'un colonel irlandais à la retraite, Desmond Travers, précise le Conseil dans un communiqué. «Je suis confiant dans le fait que la mission sera en mesure d'évaluer de façon indépendante et impartiale toutes les violations des droits de l'homme et du droit humanitaire commises» dans le cadre de l'agression militaire israélienne sur Ghaza (27 décembre-18 janvier), déclare le président du Conseil des droits de l'Homme Martin Ihoeghian Uhomoibhi, dans le communiqué. Le 12 janvier, le Conseil des droits de l'Homme réuni en session extraordinaire avait décidé dans une résolution l'envoi d'une «mission d'établissement des faits» sur les violations «commises par la puissance occupante Israël contre le peuple palestinien».