M. Amar Assabah, directeur de la réglementation au ministère de l'Agriculture, a indiqué hier sur les ondes de la chaîne III que «l'envolée des prix des fruits et légumes est réelle, mais elle ne va pas durer éternellement, notamment, à la faveur de l'accalmie que connaît le pays en matière de conditions climatiques». M. Amar Assabah, directeur de la réglementation au ministère de l'Agriculture, a indiqué hier sur les ondes de la chaîne III que «l'envolée des prix des fruits et légumes est réelle, mais elle ne va pas durer éternellement, notamment, à la faveur de l'accalmie que connaît le pays en matière de conditions climatiques». Les prix des fruits et légumes ont atteint ces derniers jours des seuils «historiques». La situation est pratiquement identique dans tous les marchés et dans la majorité des villes du pays. Le ministère de l‘Agriculture reconnaît cet état de fait. M. Amar Assabah, directeur de la réglementation au ministère de l‘Agriculture, a indiqué hier sur les ondes de la chaîne III que «l‘envolée des prix des fruits et légumes est réelle, mais elle ne va pas durer éternellement, notamment, à la faveur de l‘accalmie que connaît le pays en matière de conditions climatiques. Ce qui permettra aux agriculteurs d‘accéder aux champs et de récolter leur production. DONC, c‘est une période très courte qui va durer seulement quelques jours encore». En effet, pour ce dernier, la situation actuelle est le résultat de la conjugaison de trois facteurs, «la fin de la récolte d‘hiver ou d‘arrière saison, la pluviométrie importante que le territoire national a connu ces dernières semaines et qui a rendu l‘entame des récoltes et l‘accès aux champs difficile. A cela s‘ajoute, les marges excessives prises par les intervenants». Les choses vont, à en croire ce responsable du ministère, changer; les prévisions en matière de production sont optimistes : "1.400.000 tonnes de pomme de terre sont prévues, la production est déjà prête dans les villes de Mostaganem et de skikda. 750 millions de tonnes d‘oignons sont également attendus». La pomme de terre, produit indispensable pour les ménages, fera encore l‘objet d‘une opération de stockage. C‘est ce qu‘a révèlé M. Assabah : «nous sommes en train de préparer un nouveau dispositif de stockage. Une opération qui commencera à partir de la prochaine saison puisque la récolte intervient ces jours-ci. Ce qui permettra d‘avoir la disponibilité de ce tubercule jusqu‘à l‘hiver prochain en quantité suffisante». A signaler que les capacités de stockage, estimées actuellement à 2.200.000 tonnes, peuvent être renforcées notamment au niveau des wilayas déficitaires en moyens de stockage, selon les propos de ce dernier. Il y a lieu de rappeler que ce mécanisme de régulation mis en place pour la pomme de terre, communément appelé le SIRPALAC, a déjà été expérimenté. Selon le représentant du ministère de l‘Agriculture, "c‘est un mécanisme qui a très bien marché. Les deux objectifs de ce dispositif ont été atteints: celui de protéger les revenus des producteurs qui n‘ont pas arrêté leur activité et la protection des consommateurs qui n‘a pas vu passer la période difficile du mois d‘octobre ou la pomme de terre se vendait entre 30 et 35DA". Autre facteur ayant entraîné l‘augmentation vertigineuse des prix des fruits et des légumes: les marges bénéficiaires. Pour venir à bout de cette situation, le ministère de l‘Agriculture encourage la création de coopératives de producteurs pour plus d‘organisation dans les circuits de distribution. «Ceci permettra l‘écoulement de leurs produits à des prix rémunérateurs pour eux et abordables pour les consommateurs» a déclaré le représentant du ministère de l‘Agriculture. Les prix des fruits et légumes ont atteint ces derniers jours des seuils «historiques». La situation est pratiquement identique dans tous les marchés et dans la majorité des villes du pays. Le ministère de l‘Agriculture reconnaît cet état de fait. M. Amar Assabah, directeur de la réglementation au ministère de l‘Agriculture, a indiqué hier sur les ondes de la chaîne III que «l‘envolée des prix des fruits et légumes est réelle, mais elle ne va pas durer éternellement, notamment, à la faveur de l‘accalmie que connaît le pays en matière de conditions climatiques. Ce qui permettra aux agriculteurs d‘accéder aux champs et de récolter leur production. DONC, c‘est une période très courte qui va durer seulement quelques jours encore». En effet, pour ce dernier, la situation actuelle est le résultat de la conjugaison de trois facteurs, «la fin de la récolte d‘hiver ou d‘arrière saison, la pluviométrie importante que le territoire national a connu ces dernières semaines et qui a rendu l‘entame des récoltes et l‘accès aux champs difficile. A cela s‘ajoute, les marges excessives prises par les intervenants». Les choses vont, à en croire ce responsable du ministère, changer; les prévisions en matière de production sont optimistes : "1.400.000 tonnes de pomme de terre sont prévues, la production est déjà prête dans les villes de Mostaganem et de skikda. 750 millions de tonnes d‘oignons sont également attendus». La pomme de terre, produit indispensable pour les ménages, fera encore l‘objet d‘une opération de stockage. C‘est ce qu‘a révèlé M. Assabah : «nous sommes en train de préparer un nouveau dispositif de stockage. Une opération qui commencera à partir de la prochaine saison puisque la récolte intervient ces jours-ci. Ce qui permettra d‘avoir la disponibilité de ce tubercule jusqu‘à l‘hiver prochain en quantité suffisante». A signaler que les capacités de stockage, estimées actuellement à 2.200.000 tonnes, peuvent être renforcées notamment au niveau des wilayas déficitaires en moyens de stockage, selon les propos de ce dernier. Il y a lieu de rappeler que ce mécanisme de régulation mis en place pour la pomme de terre, communément appelé le SIRPALAC, a déjà été expérimenté. Selon le représentant du ministère de l‘Agriculture, "c‘est un mécanisme qui a très bien marché. Les deux objectifs de ce dispositif ont été atteints: celui de protéger les revenus des producteurs qui n‘ont pas arrêté leur activité et la protection des consommateurs qui n‘a pas vu passer la période difficile du mois d‘octobre ou la pomme de terre se vendait entre 30 et 35DA". Autre facteur ayant entraîné l‘augmentation vertigineuse des prix des fruits et des légumes: les marges bénéficiaires. Pour venir à bout de cette situation, le ministère de l‘Agriculture encourage la création de coopératives de producteurs pour plus d‘organisation dans les circuits de distribution. «Ceci permettra l‘écoulement de leurs produits à des prix rémunérateurs pour eux et abordables pour les consommateurs» a déclaré le représentant du ministère de l‘Agriculture.