Après les chauffeurs de taxi et les jeunes chômeurs, c'est au tour des souscripteurs aux logements participatifs de la nouvelle ville Ali-Mendjeli de monter au créneau. Après les chauffeurs de taxi et les jeunes chômeurs, c'est au tour des souscripteurs aux logements participatifs de la nouvelle ville Ali-Mendjeli de monter au créneau. Le coup d'envoi de la protesta a été donné à Constantine. A la veille de l'élection présidentielle, les actes de contestation se sont multipliés dans cette ville. C'est clair, les protestataires veulent user "de leurs poids" lors de ce rendez-vous électoral afin de décrocher leurs droits. La période semble être propice, puisqu'elle ne se présente pas tous les ans. En effet, après les chauffeurs de taxi et les jeunes chômeurs, c'est au tour des souscripteurs aux logements participatifs de la nouvelle ville Ali-Mendejeli de monter au créneau. Issus de la corporation éducative, pas moins de 700 attributaires menacent de recourir aux actions musclées si le promoteur en charge de la réalisation ne daigne pas attribuer les logements en question dans les plus brefs délais. « C'est scandaleux, les logements sont fin prêts. Les travaux ont été entièrement achevés et le promoteur refuse de nous livrer nos logements. C'est de la pure dictature», s'insurgent-ils. Rencontrés devant le siège du wali, ces protestataires nous affirment que leurs logements ont été réceptionnés depuis plus d'une année, mais ledit promoteur leur a exigé de rajouter une valeur supplémentaire pour procéder à l'attribution. Selon les dires des protestataires, le versement d'une somme de 50.000 dinars a été « illégalement imposé par le promoteur qui menace de ne pas livrer les logements si cette condition n'est pas remplie ». Les souscripteurs « gobent » très mal cette tournure inattendue du promoteur. Ils sont allés plus loin en l'accusant de défier les lois et la réglementation en vigueur dans le but évident de « tirer des dividendes sur leur dos ». « Sa sortie ne repose sur aucun argument légal. On n'est pas tombé de la dernière pluie pour nous faire avaler ce genre de farce », s'expriment d'un ton très coléreux ces souscripteurs. De son côté, le promoteur en question continue de faire la sourde oreille aux doléances des enseignants et refuse de donner la moindre explication. Les souscripteurs, et après avoir délégué leur syndicat pour mettre au clair les tenants et aboutissants de cette affaire, ont, en outre, sollicité le wali de Constantine pour intervenir et trouver une solution à leur calvaire qui perdure. A deux reprises, ils se sont regroupés devant son cabinet. Le coup d'envoi de la protesta a été donné à Constantine. A la veille de l'élection présidentielle, les actes de contestation se sont multipliés dans cette ville. C'est clair, les protestataires veulent user "de leurs poids" lors de ce rendez-vous électoral afin de décrocher leurs droits. La période semble être propice, puisqu'elle ne se présente pas tous les ans. En effet, après les chauffeurs de taxi et les jeunes chômeurs, c'est au tour des souscripteurs aux logements participatifs de la nouvelle ville Ali-Mendejeli de monter au créneau. Issus de la corporation éducative, pas moins de 700 attributaires menacent de recourir aux actions musclées si le promoteur en charge de la réalisation ne daigne pas attribuer les logements en question dans les plus brefs délais. « C'est scandaleux, les logements sont fin prêts. Les travaux ont été entièrement achevés et le promoteur refuse de nous livrer nos logements. C'est de la pure dictature», s'insurgent-ils. Rencontrés devant le siège du wali, ces protestataires nous affirment que leurs logements ont été réceptionnés depuis plus d'une année, mais ledit promoteur leur a exigé de rajouter une valeur supplémentaire pour procéder à l'attribution. Selon les dires des protestataires, le versement d'une somme de 50.000 dinars a été « illégalement imposé par le promoteur qui menace de ne pas livrer les logements si cette condition n'est pas remplie ». Les souscripteurs « gobent » très mal cette tournure inattendue du promoteur. Ils sont allés plus loin en l'accusant de défier les lois et la réglementation en vigueur dans le but évident de « tirer des dividendes sur leur dos ». « Sa sortie ne repose sur aucun argument légal. On n'est pas tombé de la dernière pluie pour nous faire avaler ce genre de farce », s'expriment d'un ton très coléreux ces souscripteurs. De son côté, le promoteur en question continue de faire la sourde oreille aux doléances des enseignants et refuse de donner la moindre explication. Les souscripteurs, et après avoir délégué leur syndicat pour mettre au clair les tenants et aboutissants de cette affaire, ont, en outre, sollicité le wali de Constantine pour intervenir et trouver une solution à leur calvaire qui perdure. A deux reprises, ils se sont regroupés devant son cabinet.