Le candidat Mohamed Saïd s'est dit pleinement satisfait que l'objectif qu'il s'est tracé ait été atteint à 100%. La campagne électorale «a été utile pour faire connaître le parti, le PLJ (Parti liberté et justice), et propager ses idées, son programme». Le candidat Mohamed Saïd s'est dit pleinement satisfait que l'objectif qu'il s'est tracé ait été atteint à 100%. La campagne électorale «a été utile pour faire connaître le parti, le PLJ (Parti liberté et justice), et propager ses idées, son programme». «Il est clair que l'amendement de la Constitution opéré le 12 novembre dernier a bien désigné le futur président de notre pays», a affirmé, hier, le candidat à l'élection présidentielle, au cours d'une conférence de presse qu'il a animée au CIP (Centre international de presse) à Alger, consacrée aux enseignements qu'il a tirés des dix-neuf jours de la campagne électorale. Une campagne qui l'a mené à faire halte dans 22 wilayas, tenant 18 meetings dans 18 d'entre-elles, outre des activités de proximité où il s'est exercé à transmettre « l'espoir », notamment à la jeunesse. En homme politique « lucide, conscient et réaliste », quant au résultat qui sortira des urnes le 9 avril, le candidat Mohamed Saïd s'est dit pleinement satisfait que l'objectif qu'il s'est tracé ait été atteint à 100%. La campagne électorale «a été utile pour faire connaître le parti, le PLJ (Parti liberté et justice), propager ses idées, son programme, avancer dans ce projet et tester la capacité de mobilisation des sympathisants sur le terrain », a-t-il expliqué, assurant que « le dossier d'agrément du Parti liberté et justice sera déposé dans 15 jours ». Il n'exprime aucune crainte que le dossier d'agrément soit rejeté par les autorités, arguant que « le pouvoir n'a aucun intérêt » et que « l'expérience a démontré que la fermeture du champ politique a conduit à l'indifférence de l'électorat à la chose politique ». Il juge qu'il faut « ouvrir le champ politique pour avoir une relève politique jeune, avec un sang et un souffle nouveaux », estimant qu' «il fallait donner la force aux boycotteurs de s'exprimer ». Refusant de donner un quelconque chiffre sur le taux de participation à l'élection présidentielle en « l'absence d'un institut de sondage d'opinion », mais il s'attend à ce que le taux ne soit pas élevé, conséquence, selon lui, «d'un discours politique en contradiction avec la réalité», le candidat Mohamed Saïd espère qu'il va réaliser un bon score, avouant cependant que « tout est relatif, les scores sont octroyés loin du verdict des urnes » et « quels sont les scores programmés pour les autres candidats ». Il souligne que la surveillance des élections « est une affaire algéro-algérienne » et refuse la présence d'observateurs étrangers, révélant qu' « il y a une initiative » entre les candidats d'une coordination pour la surveillance de l'élection présidentielle qui « peut réussir ou ne pas réussir », avertit-il. Pour l'après 9 avril, Mohamed Said s'est dit « ouvert à toute forme de proposition des partis formant l'opposition », sous condition qu' « elles soient sérieuses, claires dans les objectifs sans calcul ni marchandage, sans reculer, sans s'arrêter à mi-chemin », assurant qu' « un vrai contre pouvoir existe et qu'il faut le regrouper en travaillant la main dans la main ». Enfin, Mohamed Saïd avance que la flambée des prix des fruits et légumes sur le marché « est peut-être liée à l'élection présidentielle », rappelant que le même phénomène a été observé il y a un an et demi, lors des précédentes élections, sauf que cette fois-ci, « la situation s'est aggravée ». Le peuple ne doit pas oublier cela et le prendre en compte le 9 avril, conclut-il. «Il est clair que l'amendement de la Constitution opéré le 12 novembre dernier a bien désigné le futur président de notre pays», a affirmé, hier, le candidat à l'élection présidentielle, au cours d'une conférence de presse qu'il a animée au CIP (Centre international de presse) à Alger, consacrée aux enseignements qu'il a tirés des dix-neuf jours de la campagne électorale. Une campagne qui l'a mené à faire halte dans 22 wilayas, tenant 18 meetings dans 18 d'entre-elles, outre des activités de proximité où il s'est exercé à transmettre « l'espoir », notamment à la jeunesse. En homme politique « lucide, conscient et réaliste », quant au résultat qui sortira des urnes le 9 avril, le candidat Mohamed Saïd s'est dit pleinement satisfait que l'objectif qu'il s'est tracé ait été atteint à 100%. La campagne électorale «a été utile pour faire connaître le parti, le PLJ (Parti liberté et justice), propager ses idées, son programme, avancer dans ce projet et tester la capacité de mobilisation des sympathisants sur le terrain », a-t-il expliqué, assurant que « le dossier d'agrément du Parti liberté et justice sera déposé dans 15 jours ». Il n'exprime aucune crainte que le dossier d'agrément soit rejeté par les autorités, arguant que « le pouvoir n'a aucun intérêt » et que « l'expérience a démontré que la fermeture du champ politique a conduit à l'indifférence de l'électorat à la chose politique ». Il juge qu'il faut « ouvrir le champ politique pour avoir une relève politique jeune, avec un sang et un souffle nouveaux », estimant qu' «il fallait donner la force aux boycotteurs de s'exprimer ». Refusant de donner un quelconque chiffre sur le taux de participation à l'élection présidentielle en « l'absence d'un institut de sondage d'opinion », mais il s'attend à ce que le taux ne soit pas élevé, conséquence, selon lui, «d'un discours politique en contradiction avec la réalité», le candidat Mohamed Saïd espère qu'il va réaliser un bon score, avouant cependant que « tout est relatif, les scores sont octroyés loin du verdict des urnes » et « quels sont les scores programmés pour les autres candidats ». Il souligne que la surveillance des élections « est une affaire algéro-algérienne » et refuse la présence d'observateurs étrangers, révélant qu' « il y a une initiative » entre les candidats d'une coordination pour la surveillance de l'élection présidentielle qui « peut réussir ou ne pas réussir », avertit-il. Pour l'après 9 avril, Mohamed Said s'est dit « ouvert à toute forme de proposition des partis formant l'opposition », sous condition qu' « elles soient sérieuses, claires dans les objectifs sans calcul ni marchandage, sans reculer, sans s'arrêter à mi-chemin », assurant qu' « un vrai contre pouvoir existe et qu'il faut le regrouper en travaillant la main dans la main ». Enfin, Mohamed Saïd avance que la flambée des prix des fruits et légumes sur le marché « est peut-être liée à l'élection présidentielle », rappelant que le même phénomène a été observé il y a un an et demi, lors des précédentes élections, sauf que cette fois-ci, « la situation s'est aggravée ». Le peuple ne doit pas oublier cela et le prendre en compte le 9 avril, conclut-il.