Louisa Hanoune dénonce le bourrage des urnes, la violence physique dont ont été victimes les surveillants du PT dans les centres et bureaux de vote et surtout conteste le score qui lui a été attribué. Louisa Hanoune dénonce le bourrage des urnes, la violence physique dont ont été victimes les surveillants du PT dans les centres et bureaux de vote et surtout conteste le score qui lui a été attribué. La candidate du PT à l'élection présidentielle, Louisa Hanoune, semblait très irritée, hier, au cours de la conférence de presse qu'elle a animée au CIP (Centre international de presse) à Alger. «Je me rends complice si je ne dis pas ce qui s'est passé jeudi dernier», a indiqué, la pasionaria du PT en préliminaire de son intervention. Le ton est donné et Louisa Hanoune s'est dit «triste que le rendez-vous avec l'histoire ait été différé», mettant en cause «les pratiques du système du parti unique» qui menacent «la souveraineté nationale». Elle estime le taux de participation et celui obtenu par le candidat-président, annoncés par les sources officielles. Elle accuse «le clientélisme et les courtisants qui attendent un retour d'ascenseur, de gangréner le champ politique», décrivant des situations «burlesques» auxquelles ont été confrontés les représentants de son parti dans les centres et bureaux de vote. Elle dénonce le bourrage des urnes, la violence physique dont ont été victimes les surveillants du PT dans les centres et bureaux de vote et surtout conteste le score qui lui a été attribué. «J'ai eu une moyenne nationale d'au moins 30% », a-t-elle certifié, attestant que « dans la plupart des bureaux de vote, elle talonnait de près le président élu». Elle souligne qu'elle avait alerté tous les responsables qui pouvaient intervenir pour cesser « ces pratiques » et avoue « ne pas savoir à quoi pouvait rimer cette fraude». Choquée et indignée, Louisa Hanoune, l'était, hier. En tout état de cause, Louisa Hanoune « refuse dans le fond et la forme », ces résultats et affirme qu'elle ne se laisserai pas faire «Je m'en fous de leur deuxième place», s'est-elle indignée, soulignant en s'adressant à ceux qui tenteraient de l'accuser de noircir l'image de l'Algérie, qu' elle n'avait pas à « recevoir des leçons de patriotisme et de défense des intérêts de l'Algérie». Estimant être victime, elle et le PT, d' « une provocation politique », elle suggère que « le président est l'otage » des pratiques clientélistes et des courtisants, soulignant que « le jour des élections, la panique a commencé à gagner les esprits des fonctionnaires de l'Etat qui n'ont pas compris le souhait du chef de l'Etat". À partir de 16 heures la machine (bourrage des urnes) est devenue incontrôlable», causant de ce fait « un discrédit sur ces élections et fragilisant le pays». Des recours, le PT en a déposé « des km et des km », espérant, bien qu'elle ne se fait aucune illusion, qu' « on laissera le Conseil constitutionnel faire son travail» et que l'Institution présidée par Boualem Bessaïeh «prendra ses responsabilités ». Elle avoue qu' « on ne saura jamais le taux réel de participation, estimant qu'il aurait été plus plausible entre 50 et 60%. Elle ne croit pas aussi à l'efficacité de la Commission nationale politique de surveillance de l'élection présidentielle qui «ne sert à rien» et dénonce «dans la plusgrande vigueur la manipulation» dont elle a été l'objet dans son centre de vote, l'école Oumama, soulignant qu' «il faut réhabiliter l'Etat et l'acte de voter». Optimiste, elle s'engage «à libérer le pays des pratiques du système du parti unique» et « à concrétiser une véritable démocratie où le peuple pourra choisir librement ses représentants». La candidate du PT à l'élection présidentielle, Louisa Hanoune, semblait très irritée, hier, au cours de la conférence de presse qu'elle a animée au CIP (Centre international de presse) à Alger. «Je me rends complice si je ne dis pas ce qui s'est passé jeudi dernier», a indiqué, la pasionaria du PT en préliminaire de son intervention. Le ton est donné et Louisa Hanoune s'est dit «triste que le rendez-vous avec l'histoire ait été différé», mettant en cause «les pratiques du système du parti unique» qui menacent «la souveraineté nationale». Elle estime le taux de participation et celui obtenu par le candidat-président, annoncés par les sources officielles. Elle accuse «le clientélisme et les courtisants qui attendent un retour d'ascenseur, de gangréner le champ politique», décrivant des situations «burlesques» auxquelles ont été confrontés les représentants de son parti dans les centres et bureaux de vote. Elle dénonce le bourrage des urnes, la violence physique dont ont été victimes les surveillants du PT dans les centres et bureaux de vote et surtout conteste le score qui lui a été attribué. «J'ai eu une moyenne nationale d'au moins 30% », a-t-elle certifié, attestant que « dans la plupart des bureaux de vote, elle talonnait de près le président élu». Elle souligne qu'elle avait alerté tous les responsables qui pouvaient intervenir pour cesser « ces pratiques » et avoue « ne pas savoir à quoi pouvait rimer cette fraude». Choquée et indignée, Louisa Hanoune, l'était, hier. En tout état de cause, Louisa Hanoune « refuse dans le fond et la forme », ces résultats et affirme qu'elle ne se laisserai pas faire «Je m'en fous de leur deuxième place», s'est-elle indignée, soulignant en s'adressant à ceux qui tenteraient de l'accuser de noircir l'image de l'Algérie, qu' elle n'avait pas à « recevoir des leçons de patriotisme et de défense des intérêts de l'Algérie». Estimant être victime, elle et le PT, d' « une provocation politique », elle suggère que « le président est l'otage » des pratiques clientélistes et des courtisants, soulignant que « le jour des élections, la panique a commencé à gagner les esprits des fonctionnaires de l'Etat qui n'ont pas compris le souhait du chef de l'Etat". À partir de 16 heures la machine (bourrage des urnes) est devenue incontrôlable», causant de ce fait « un discrédit sur ces élections et fragilisant le pays». Des recours, le PT en a déposé « des km et des km », espérant, bien qu'elle ne se fait aucune illusion, qu' « on laissera le Conseil constitutionnel faire son travail» et que l'Institution présidée par Boualem Bessaïeh «prendra ses responsabilités ». Elle avoue qu' « on ne saura jamais le taux réel de participation, estimant qu'il aurait été plus plausible entre 50 et 60%. Elle ne croit pas aussi à l'efficacité de la Commission nationale politique de surveillance de l'élection présidentielle qui «ne sert à rien» et dénonce «dans la plusgrande vigueur la manipulation» dont elle a été l'objet dans son centre de vote, l'école Oumama, soulignant qu' «il faut réhabiliter l'Etat et l'acte de voter». Optimiste, elle s'engage «à libérer le pays des pratiques du système du parti unique» et « à concrétiser une véritable démocratie où le peuple pourra choisir librement ses représentants».