Contrairement aux collèges et lycées qui disposent d'une autonomie financière, les écoles primaires, patrimoine communal, sont rattachées aux APC quant à leur fonctionnement, hormis les rénumérations du personnel enseignant. D'aucun s'accorde à reconnaître que la majorité des communes croule sous des dettes endémiques faute de ressources conséquentes et c'est ce qui explique l'état de déliquescence dans lequel sont plongés ces établissements scolaires. La ville du 8-Mai-45 abrite 39 écoles primaires auxquelles il est impératif d'affecter des femmes de ménage, des gardiens de jour et de nuit, recrutés essentiellement dans le cadre du filet social et de l'emploi des jeunes. La municipalité assure les frais de l'énergie électrique, du chauffage, de l'eau potable, du téléphone à concurrence d'un plafond raisonnable, et elle veille à l'entretien des infrastructures, à savoir maçonnerie peinture, menuiserie, électricité, étanchéité, etc. D'autre part, l'APC est tenue de leur fournir, à la veille de la rentrée des classes, leurs quotas respectifs de fournitures scolaires, matériels didactiques et produits d'entretien. Faute de moyens financiers pour couvrir ces besoins, les élus locaux sont contraints de se dérober de leurs obligations tel que stipulé dans le Code communal. Cette situation perturbe le fonctionnement des écoles primaires et ce sont principalement les enfants qui en pâtissent car ils évoluent souvent dans un espace malsain. Les directeurs d'école ne cessent de signaler des carences aux moyens de multiples correspondances aux édiles et à leur tutelle et aucune réponse n'est apportée à ces légitimes doléances. Cependant, les pouvoirs publics ont réagi puisqu'une enveloppe financière conséquente est affectée chaque année à chaque wilaya aux fins de restaurer et réhabiliter les établissements scolaires prioritaires, tous cycles confondus. De toute évidence, il est souhaitable qu'un dialogue constructif soit instauré entre les élus locaux et les directeurs d'école, dans l'intérêt général car le bien être, la santé et l'avenir de nos enfants sont précieux, voire sacrés. Contrairement aux collèges et lycées qui disposent d'une autonomie financière, les écoles primaires, patrimoine communal, sont rattachées aux APC quant à leur fonctionnement, hormis les rénumérations du personnel enseignant. D'aucun s'accorde à reconnaître que la majorité des communes croule sous des dettes endémiques faute de ressources conséquentes et c'est ce qui explique l'état de déliquescence dans lequel sont plongés ces établissements scolaires. La ville du 8-Mai-45 abrite 39 écoles primaires auxquelles il est impératif d'affecter des femmes de ménage, des gardiens de jour et de nuit, recrutés essentiellement dans le cadre du filet social et de l'emploi des jeunes. La municipalité assure les frais de l'énergie électrique, du chauffage, de l'eau potable, du téléphone à concurrence d'un plafond raisonnable, et elle veille à l'entretien des infrastructures, à savoir maçonnerie peinture, menuiserie, électricité, étanchéité, etc. D'autre part, l'APC est tenue de leur fournir, à la veille de la rentrée des classes, leurs quotas respectifs de fournitures scolaires, matériels didactiques et produits d'entretien. Faute de moyens financiers pour couvrir ces besoins, les élus locaux sont contraints de se dérober de leurs obligations tel que stipulé dans le Code communal. Cette situation perturbe le fonctionnement des écoles primaires et ce sont principalement les enfants qui en pâtissent car ils évoluent souvent dans un espace malsain. Les directeurs d'école ne cessent de signaler des carences aux moyens de multiples correspondances aux édiles et à leur tutelle et aucune réponse n'est apportée à ces légitimes doléances. Cependant, les pouvoirs publics ont réagi puisqu'une enveloppe financière conséquente est affectée chaque année à chaque wilaya aux fins de restaurer et réhabiliter les établissements scolaires prioritaires, tous cycles confondus. De toute évidence, il est souhaitable qu'un dialogue constructif soit instauré entre les élus locaux et les directeurs d'école, dans l'intérêt général car le bien être, la santé et l'avenir de nos enfants sont précieux, voire sacrés.