Victor Piturca a refusé la séparation à l'amiable proposée par la Fédération roumaine de football et réclame tout l'argent qui lui est dû en cas de résiliation, avant terme, de son contrat de sélectionneur, a déclaré lundi dernier le directeur général de la FRF. Victor Piturca a refusé la séparation à l'amiable proposée par la Fédération roumaine de football et réclame tout l'argent qui lui est dû en cas de résiliation, avant terme, de son contrat de sélectionneur, a déclaré lundi dernier le directeur général de la FRF. "On n'est pas parvenu à une entente (...) Il (Piturca) considère qu'il reste mathématiquement des chances de qualification (au Mondial-2010). Il m'a dit qu'il voulait tout l'argent dû pour résilier le contrat", a déclaré à l'agence Mediafax Ionut Lupescu, directeur général de la FRF, après un entretien lundi soir avec Piturca.Dans ces conditions, Lupescu a assuré que le contrat serait "résilié unilatéralement pour objectif non atteint, à savoir la qualification au Mondial", et que la prochaine étape serait probablement un recours à une instance internationale, "certainement la FIFA". "Sur le plan juridique, on va faire cette semaine toutes les démarches nécessaires", a précisé le responsable de la FRF chargé des négociations avec Piturca. Ce dernier a promis de s'expliquer lors d'une conférence de presse dans les jours à venir. La FRF avait annoncé jeudi le limogeage du sélectionneur, estimant "nulles" les chances de qualification au Mondial en Afrique du Sud, tout en espérant parvenir à un divorce à l'amiable contre la somme de 250.000 euros considérée "honorable pour le travail effectué". Le contrat de Piturca, courant jusqu'à la fin des éliminatoires, prévoit une somme de 500.000 euros en cas de résiliation avant terme, sauf si les chances de qualification sont réellement nulles. Mathématiquement, la Roumanie n'est pas hors course même si, après les récentes défaites consécutives contre la Serbie puis en Autriche, elle ne compte que 4 points en cinq matches et pointe à la 5e place du groupe 7, à huit longueurs du leader serbe et six de la deuxième place occupée par la France. La FRF s'est donnée jusqu'au 10 mai pour trouver un remplaçant à Piturca, soit à moins d'un mois de la prochaine sortie en qualification, un déplacement en Lituanie le 6 juin prochain. "On n'est pas parvenu à une entente (...) Il (Piturca) considère qu'il reste mathématiquement des chances de qualification (au Mondial-2010). Il m'a dit qu'il voulait tout l'argent dû pour résilier le contrat", a déclaré à l'agence Mediafax Ionut Lupescu, directeur général de la FRF, après un entretien lundi soir avec Piturca.Dans ces conditions, Lupescu a assuré que le contrat serait "résilié unilatéralement pour objectif non atteint, à savoir la qualification au Mondial", et que la prochaine étape serait probablement un recours à une instance internationale, "certainement la FIFA". "Sur le plan juridique, on va faire cette semaine toutes les démarches nécessaires", a précisé le responsable de la FRF chargé des négociations avec Piturca. Ce dernier a promis de s'expliquer lors d'une conférence de presse dans les jours à venir. La FRF avait annoncé jeudi le limogeage du sélectionneur, estimant "nulles" les chances de qualification au Mondial en Afrique du Sud, tout en espérant parvenir à un divorce à l'amiable contre la somme de 250.000 euros considérée "honorable pour le travail effectué". Le contrat de Piturca, courant jusqu'à la fin des éliminatoires, prévoit une somme de 500.000 euros en cas de résiliation avant terme, sauf si les chances de qualification sont réellement nulles. Mathématiquement, la Roumanie n'est pas hors course même si, après les récentes défaites consécutives contre la Serbie puis en Autriche, elle ne compte que 4 points en cinq matches et pointe à la 5e place du groupe 7, à huit longueurs du leader serbe et six de la deuxième place occupée par la France. La FRF s'est donnée jusqu'au 10 mai pour trouver un remplaçant à Piturca, soit à moins d'un mois de la prochaine sortie en qualification, un déplacement en Lituanie le 6 juin prochain.