Créer 3 millions d'emplois en 5 ans, c'est un des engagements du président de la république pour les 5 années à venir. «Un objectif cohérent et réaliste», selon le Directeur général de l'emploi au ministère de tutelle. Argumentant son affirmation, Said Anane rappellera que de 1999 à 2008, l'état a créé 6 millions d'emplois. «3,5 millions ont été créés, par les différents secteurs, et le reste grâce aux différents dispositifs d'emploi d'attente». Les 3 millions d'emploi que compte créer l'Etat se répartiront, selon le directeur général de l'emploi, pratiquement de la même manière : «1,5 million d'emplois seront issus d'un recrutement sectoriel et l'autre million et demi seront des emplois générés par les dispositifs publics de promotion d'emploi». Rien, aucune contrainte, ni même la crise économique mondiale ne perturbera les objectifs de l'Etat. «Les moyens existent. Les financements sont disponibles», dira M.Said Anane. « Rien ne sera remis en cause, tous les grands projets seront menés à terme. Ils permettront de créer des postes d'emplois». Selon les propos du représentant du ministère du Travail, l'intervention de l'Etat sur le marché de l'emploi est passé de 12 milliards de DA en 1999 à plus 40 milliards de DA en 2008-2009. En termes plus clairs « les budgets suivront cette volonté politique affichée du chef de l'Etat de ne pas renoncer à la demande des jeunes d'accéder à un emploi». 40 milliards de DA pour le dispositif d'aide par l'insertion professionnelle (DAIP) Depuis son lancement en juin 2008, le dispositif d'aide par l'insertion professionnelle (DAIP) est révélateur d'une prise en charge réelle des chômeurs primo-demandeurs d'emplois estimés à 400.000 demandeurs. «Au 31 mars 2009, 238.000 emplois ont été créés dans le cadre de ce dispositif. 67.000 diplômés universitaires, 43.000 jeunes issus de la formation professionnelle ont trouvé un emploi et 128.000 autressans qualification ont été insérés dans les différents chantiers». Le DAIP dans sa nouvelle reconfiguration propose 3 contrats : «Le premier, concerne l'insertion des diplômés, le deuxième est un contrat d'insertion professionnelle et enfin le dernier est un contrat de formation-insertion des jeunes sans qualifications». Le représentant du ministère du Travail et de la Sécurité sociale ne manquera pas de préciser qu'il s'agit là de recrutement économique, «une formule unique. Grâce à ce dispositif, le jeune gagne en matière d'amélioration de ses qualifications». Par ailleurs, et pour éviter la précarité que les spécialistes redoutent, M.said Anane précisera que «tous les dispositifs à la création d'emplois sont couverts par la sécurité sociale. Les jeunes bénéficient également d'un revenu ». M.said Anane a indiqué qu'en matière de création d'emplois, le secteur privé est aujourd'hui le 1er employeur et les micros entreprises sont devenues le premier levier de création d'emplois. 130 nationalités travaillent chez nous En 2008, les pouvoirs publics ont délivré 37.035 permis de travail. 130 nationalités travaillent chez nous; la nationalité dominante est bien évidemment représentée par les Chinois pour qui 19.895 permis de travail ont été délivrés, selon M.Said Anane. «Cette proportion est symbolique, puisque la priorité est donnée au travailleur national. Les travailleurs algériens sont majoritaires dans les chantiers. Le recrutement des étrangers se fait uniquement lorsqu'il y a un déficit dans la formation ou dans la quantité», précisera le Directeur général de l'emploi au ministère de tutelle. Créer 3 millions d'emplois en 5 ans, c'est un des engagements du président de la république pour les 5 années à venir. «Un objectif cohérent et réaliste», selon le Directeur général de l'emploi au ministère de tutelle. Argumentant son affirmation, Said Anane rappellera que de 1999 à 2008, l'état a créé 6 millions d'emplois. «3,5 millions ont été créés, par les différents secteurs, et le reste grâce aux différents dispositifs d'emploi d'attente». Les 3 millions d'emploi que compte créer l'Etat se répartiront, selon le directeur général de l'emploi, pratiquement de la même manière : «1,5 million d'emplois seront issus d'un recrutement sectoriel et l'autre million et demi seront des emplois générés par les dispositifs publics de promotion d'emploi». Rien, aucune contrainte, ni même la crise économique mondiale ne perturbera les objectifs de l'Etat. «Les moyens existent. Les financements sont disponibles», dira M.Said Anane. « Rien ne sera remis en cause, tous les grands projets seront menés à terme. Ils permettront de créer des postes d'emplois». Selon les propos du représentant du ministère du Travail, l'intervention de l'Etat sur le marché de l'emploi est passé de 12 milliards de DA en 1999 à plus 40 milliards de DA en 2008-2009. En termes plus clairs « les budgets suivront cette volonté politique affichée du chef de l'Etat de ne pas renoncer à la demande des jeunes d'accéder à un emploi». 40 milliards de DA pour le dispositif d'aide par l'insertion professionnelle (DAIP) Depuis son lancement en juin 2008, le dispositif d'aide par l'insertion professionnelle (DAIP) est révélateur d'une prise en charge réelle des chômeurs primo-demandeurs d'emplois estimés à 400.000 demandeurs. «Au 31 mars 2009, 238.000 emplois ont été créés dans le cadre de ce dispositif. 67.000 diplômés universitaires, 43.000 jeunes issus de la formation professionnelle ont trouvé un emploi et 128.000 autressans qualification ont été insérés dans les différents chantiers». Le DAIP dans sa nouvelle reconfiguration propose 3 contrats : «Le premier, concerne l'insertion des diplômés, le deuxième est un contrat d'insertion professionnelle et enfin le dernier est un contrat de formation-insertion des jeunes sans qualifications». Le représentant du ministère du Travail et de la Sécurité sociale ne manquera pas de préciser qu'il s'agit là de recrutement économique, «une formule unique. Grâce à ce dispositif, le jeune gagne en matière d'amélioration de ses qualifications». Par ailleurs, et pour éviter la précarité que les spécialistes redoutent, M.said Anane précisera que «tous les dispositifs à la création d'emplois sont couverts par la sécurité sociale. Les jeunes bénéficient également d'un revenu ». M.said Anane a indiqué qu'en matière de création d'emplois, le secteur privé est aujourd'hui le 1er employeur et les micros entreprises sont devenues le premier levier de création d'emplois. 130 nationalités travaillent chez nous En 2008, les pouvoirs publics ont délivré 37.035 permis de travail. 130 nationalités travaillent chez nous; la nationalité dominante est bien évidemment représentée par les Chinois pour qui 19.895 permis de travail ont été délivrés, selon M.Said Anane. «Cette proportion est symbolique, puisque la priorité est donnée au travailleur national. Les travailleurs algériens sont majoritaires dans les chantiers. Le recrutement des étrangers se fait uniquement lorsqu'il y a un déficit dans la formation ou dans la quantité», précisera le Directeur général de l'emploi au ministère de tutelle.