La président de la République semble vouloir aller vers une nouvelle ère marquée par une amélioration des relations entretenues jusque là entre les pouvoirs publics et la presse nationale. «Pour les cinq prochaines années, je m'engage à ce que les liberté de la presse soient pleinement respectées. L'Etat reste déterminé à faciliter davantage encore l'exercice et le développement de la profession», avait-t-il affirmé, dimanche lors de son discours adressé à la Nation juste après son investiture. Le chef de l'Etat n'a d'ailleurs pas hésité à mettre à contribution les médias dans la lutte contre certains fléaux qui gangrènent la société et particulièrement, contre la corruption. Avant cela, sa première sortie, juste après son élection pour un troisième mandat, M. Abdelaziz Bouteflika l'a consacrée aux journalistes ayant assuré la couverture médiatique de ses déplacements durant la campagne électorale, auxquels il a rendu une visite «surprise» à la permanence de la direction de la communication de sa campagne électorale. C'est justement durant cette même campagne électorale que le Syndicat national des journalistes (SNJ) avait transmis un mémorandum aux six candidat en lice pour la présidentielle dans lequel il a dressé les mesures devant être prise pour assurer «un meilleur exercice de la profession». Un document dans lequel était notamment proposée la mise en place d'une sous-commission chargée de délivrer la carte nationale de presse. « Cette sous-commission, qui sera sous tutelle du Conseil supérieur à l'information, est habilitée à délivrer la carte nationale de presse et, éventuellement, la retirer, momentanément ou définitivement, sur saisine du Conseil de l'éthique et de déontologie par courrier motivant la sanction». C'est à partir de ce moment, «qu'un Conseil pour l'éthique et la déontologie trouvera sa raison d'être en tant qu'autorité morale crainte et respectée». Le syndicat relève également «la nécessité d'abroger les dispositions du code pénal interdisant l'exercice libre de la profession de journaliste». Il énumère également bon nombre d'initiatives devant être prises pour assurer aux professionnels de travailler dans des conditions socioprofessionnelles adéquates. La président de la République semble vouloir aller vers une nouvelle ère marquée par une amélioration des relations entretenues jusque là entre les pouvoirs publics et la presse nationale. «Pour les cinq prochaines années, je m'engage à ce que les liberté de la presse soient pleinement respectées. L'Etat reste déterminé à faciliter davantage encore l'exercice et le développement de la profession», avait-t-il affirmé, dimanche lors de son discours adressé à la Nation juste après son investiture. Le chef de l'Etat n'a d'ailleurs pas hésité à mettre à contribution les médias dans la lutte contre certains fléaux qui gangrènent la société et particulièrement, contre la corruption. Avant cela, sa première sortie, juste après son élection pour un troisième mandat, M. Abdelaziz Bouteflika l'a consacrée aux journalistes ayant assuré la couverture médiatique de ses déplacements durant la campagne électorale, auxquels il a rendu une visite «surprise» à la permanence de la direction de la communication de sa campagne électorale. C'est justement durant cette même campagne électorale que le Syndicat national des journalistes (SNJ) avait transmis un mémorandum aux six candidat en lice pour la présidentielle dans lequel il a dressé les mesures devant être prise pour assurer «un meilleur exercice de la profession». Un document dans lequel était notamment proposée la mise en place d'une sous-commission chargée de délivrer la carte nationale de presse. « Cette sous-commission, qui sera sous tutelle du Conseil supérieur à l'information, est habilitée à délivrer la carte nationale de presse et, éventuellement, la retirer, momentanément ou définitivement, sur saisine du Conseil de l'éthique et de déontologie par courrier motivant la sanction». C'est à partir de ce moment, «qu'un Conseil pour l'éthique et la déontologie trouvera sa raison d'être en tant qu'autorité morale crainte et respectée». Le syndicat relève également «la nécessité d'abroger les dispositions du code pénal interdisant l'exercice libre de la profession de journaliste». Il énumère également bon nombre d'initiatives devant être prises pour assurer aux professionnels de travailler dans des conditions socioprofessionnelles adéquates.