Accusé de graves dépassements, le directeur général semble n'accorder aucune importance au mouvement de protestation mené par plus d'une centaine d'agents de la protection civile de Constantine. La protesta des pompiers s'est déclenchée, rappelons-le, la semaine dernière. Les protestataires qui ont tenu hier, mardi, une assemblée générale, persistent et signent et exigent le départ pur et simple du directeur général. Ils lui reprochent entre autres, d'avoir poursuivi en justice injustement, affirment-ils, un collègue syndicaliste. Cette action qui «ne repose sur aucun motif légal» disent-ils a été la goutte qui a fait déborder le vase car, clament-ils «ce directeur nous a fait subir la pire des épreuves. Le mépris et l'indifférence qu'il nourrit à notre égard sont insupportables». Ils lui reprochent aussi la politique de deux poids deux mesures. «Nous sommes dépourvus des moyens nécessaires pour notre boulot. A chaque fois c'est au risque de nos vies que nous partons en mission», s'insurgent-ils. Les pompiers sont allés plus loin. Ils refusent et rejettent toute forme de dialogue avec leur supérieur. «C'est trop. Cela fait plus de dix ans qu'on est en train de le supporter. Qu'il débarrasse le plancher», clament-ils. Pour les protestataires, la situation est devenue intolérable et il n'est plus question de revenir en arrière. Ils sont décidés à aller jusqu'au bout pour faire aboutir leurs principales revendications. «Notre mouvement de protestation sera progressif. D'ici le 27 de ce mois si on ne tranche pas sur cette affaire, on passera à la vitesse de croisière.», menacent-ils. Quant au directeur, son point de vue est tout autre. Contacté par nos soins, ce responsable n'a pas donné l'impression d'être préoccupé par cette affaire. «Je suis nommé par décret,- et personne n'a le droit d'interférer dans ma gestion. Le PV qui va découler de leur rassemblement sera consommé comme la loi le stipule». Dont acte ! Etaient présents à l'assemblée générale, le secrétaire de wilaya du syndicat national et des représentants de la fédération syndicale et de l'union locale entre autres. Ces derniers n'ont pas manqué d'appeler les protestataires à agir avec prudence et surtout à ne pas faire fi de la réglementation. Accusé de graves dépassements, le directeur général semble n'accorder aucune importance au mouvement de protestation mené par plus d'une centaine d'agents de la protection civile de Constantine. La protesta des pompiers s'est déclenchée, rappelons-le, la semaine dernière. Les protestataires qui ont tenu hier, mardi, une assemblée générale, persistent et signent et exigent le départ pur et simple du directeur général. Ils lui reprochent entre autres, d'avoir poursuivi en justice injustement, affirment-ils, un collègue syndicaliste. Cette action qui «ne repose sur aucun motif légal» disent-ils a été la goutte qui a fait déborder le vase car, clament-ils «ce directeur nous a fait subir la pire des épreuves. Le mépris et l'indifférence qu'il nourrit à notre égard sont insupportables». Ils lui reprochent aussi la politique de deux poids deux mesures. «Nous sommes dépourvus des moyens nécessaires pour notre boulot. A chaque fois c'est au risque de nos vies que nous partons en mission», s'insurgent-ils. Les pompiers sont allés plus loin. Ils refusent et rejettent toute forme de dialogue avec leur supérieur. «C'est trop. Cela fait plus de dix ans qu'on est en train de le supporter. Qu'il débarrasse le plancher», clament-ils. Pour les protestataires, la situation est devenue intolérable et il n'est plus question de revenir en arrière. Ils sont décidés à aller jusqu'au bout pour faire aboutir leurs principales revendications. «Notre mouvement de protestation sera progressif. D'ici le 27 de ce mois si on ne tranche pas sur cette affaire, on passera à la vitesse de croisière.», menacent-ils. Quant au directeur, son point de vue est tout autre. Contacté par nos soins, ce responsable n'a pas donné l'impression d'être préoccupé par cette affaire. «Je suis nommé par décret,- et personne n'a le droit d'interférer dans ma gestion. Le PV qui va découler de leur rassemblement sera consommé comme la loi le stipule». Dont acte ! Etaient présents à l'assemblée générale, le secrétaire de wilaya du syndicat national et des représentants de la fédération syndicale et de l'union locale entre autres. Ces derniers n'ont pas manqué d'appeler les protestataires à agir avec prudence et surtout à ne pas faire fi de la réglementation.