A l'occasion de la célébration du centenaire de l'université d'Alger Benyoucef-Benkhedda, le département d'interprétariat et de traduction organise, depuis avant-hier au Palais de la culture Moufdi Zakaria, un Colloque international, avec la participation de nombre de spécialistes et chercheurs universitaires algériens et étrangers, comme c'est le cas du célèbre journaliste français Paul Balta, notamment. Le thème générique retenu pour ce colloque de trois jours est : «Traduction, pluridisciplinarité et traversée des frontières». Une thématique qui permet, selon les organisateurs, de soulever les problématiques et les thèmes se rapportant au domaine de la traduction. La traduction n'est plus comprise aujourd'hui comme un «simple produit» (le texte final), mais comme un «processus dynamique» d'interprétation et de communication qui exige la prise en considération des aspects extratextuels, c'est-à-dire le contexte socioculturel du texte de départ et celui du texte d'arrivée, selon les organisateurs. A l'heure de la mondialisation, il n'est plus possible d'ignorer l'apport des technologies nouvelles en rapport avec le domaine de la traduction et de la technologie, ont-t-ils souligné, ajoutant que la traduction sert également de «mémoire culturelle, comme l'attestent les inscriptions sur les monuments anciens, dans différentes langues». A l'ouverture des travaux, le vice-recteur de l'université d'Alger, M. Ahmed Berraghda a souligné «l'importance» de la pluridisciplinarité de la traduction, dont les retombées, a-t-il dit, ne peuvent être que «bénéfiques» pour la société dans divers domaines. Il a relevé, dans ce sens, que l'université d'Alger a signé des conventions avec nombre d'universités et d'instituts de traduction et d'interprétariat, notamment ceux d'Egypte, de France, d'Espagne, de Turquie, du Canada et des Etats-Unis d'Amérique. De son côté, le doyen de la faculté des lettres et des langues d'Alger, M. Mustapha Fassi, a relevé dans son intervention le «retard» qu'accusent certains pays arabes dans le domaine de la traduction, comparativement avec les autres pays de par le monde. Il a, par ailleurs, ajouté que la traduction demeure une partie de la culture au sens large du terme qui nécessite davantage d'intérêt et de prise en charge. Les travaux du colloque, qui se poursuivent en trois ateliers, traitent séparément du thème retenu, à savoir la traversée des frontières, la traduction et la pluridisciplinarité. A l'occasion de la célébration du centenaire de l'université d'Alger Benyoucef-Benkhedda, le département d'interprétariat et de traduction organise, depuis avant-hier au Palais de la culture Moufdi Zakaria, un Colloque international, avec la participation de nombre de spécialistes et chercheurs universitaires algériens et étrangers, comme c'est le cas du célèbre journaliste français Paul Balta, notamment. Le thème générique retenu pour ce colloque de trois jours est : «Traduction, pluridisciplinarité et traversée des frontières». Une thématique qui permet, selon les organisateurs, de soulever les problématiques et les thèmes se rapportant au domaine de la traduction. La traduction n'est plus comprise aujourd'hui comme un «simple produit» (le texte final), mais comme un «processus dynamique» d'interprétation et de communication qui exige la prise en considération des aspects extratextuels, c'est-à-dire le contexte socioculturel du texte de départ et celui du texte d'arrivée, selon les organisateurs. A l'heure de la mondialisation, il n'est plus possible d'ignorer l'apport des technologies nouvelles en rapport avec le domaine de la traduction et de la technologie, ont-t-ils souligné, ajoutant que la traduction sert également de «mémoire culturelle, comme l'attestent les inscriptions sur les monuments anciens, dans différentes langues». A l'ouverture des travaux, le vice-recteur de l'université d'Alger, M. Ahmed Berraghda a souligné «l'importance» de la pluridisciplinarité de la traduction, dont les retombées, a-t-il dit, ne peuvent être que «bénéfiques» pour la société dans divers domaines. Il a relevé, dans ce sens, que l'université d'Alger a signé des conventions avec nombre d'universités et d'instituts de traduction et d'interprétariat, notamment ceux d'Egypte, de France, d'Espagne, de Turquie, du Canada et des Etats-Unis d'Amérique. De son côté, le doyen de la faculté des lettres et des langues d'Alger, M. Mustapha Fassi, a relevé dans son intervention le «retard» qu'accusent certains pays arabes dans le domaine de la traduction, comparativement avec les autres pays de par le monde. Il a, par ailleurs, ajouté que la traduction demeure une partie de la culture au sens large du terme qui nécessite davantage d'intérêt et de prise en charge. Les travaux du colloque, qui se poursuivent en trois ateliers, traitent séparément du thème retenu, à savoir la traversée des frontières, la traduction et la pluridisciplinarité.