Les appartements du rez-de-chaussée des immeubles collectifs sont les plus pénalisés, car les fenêtres et loggias sont submergées par cette végétation inquiétante, abritant les mulots, ces rats des champs qui créent la panique au sein des résidents, particulièrement les enfants qui redoutent leurs morsures et leurs incursions dans les cages d'escaliers. Les appartements du rez-de-chaussée des immeubles collectifs sont les plus pénalisés, car les fenêtres et loggias sont submergées par cette végétation inquiétante, abritant les mulots, ces rats des champs qui créent la panique au sein des résidents, particulièrement les enfants qui redoutent leurs morsures et leurs incursions dans les cages d'escaliers. Les cités et quartiers du chef-lieu sont envahis par des herbes sauvages qui dépassent allègrement la taille d‘un homme, consécutivement à la pluviométrie généreuse qui a marqué le territoire national durant plusieurs mois consécutifs. Cette situation a engendré l‘émergence d‘herbes folles de toutes sortes au niveau des terrains vagues ceinturant les quartiers résidentiels et, notamment, les cités Ain-Defla, Champ de manoeuvre, Gahdour, Bara, frères Raha, Oued Maiz et 19 juin. Ce sont les appartements du rez-de-chaussée des immeubles collectifs qui sont les plus pénalisés, car les fenêtres et loggias sont submergées par cette végétation inquiétante, abritant les mulots, ces rats des champs qui créent la panique au sein des résidents, particulièrement la gent féminine et les enfants qui redoutent leurs morsures et leur incursion dans les cages d‘escaliers et même les logements. D‘aucuns affirment que des serpents évoluent au sein de ce couvert végétal, ce qui crée une certaine psychose parmi les riverains. Les enfants sont sommés par leurs parents d‘éviter ces terrains vagues, jugés dangereux du fait de cette présence menaçante. Alors, et faute d‘autres aires de jeux, les bambins investissent les rues avec tous les risques encourus face à la circulation des véhicules et leurs cortèges d‘accidents. Des pères et des mères de famille sont inquiets par cette situation qui perdure dans l‘indifférence totale des édiles de la ville. Ils préconisent l‘implication des services de nettoiement de l‘ APC afin de procéder au désherbage de ces terrains vagues qui doivent retrouver leur vocation initiale et permettre aux riverains d‘évoluer dans un environnement sain et sûr. Dans ce contexte , il serait judicieux que la société civile et le mouvement associatif s‘impliquent dans cette opération de salubrité publique et ce, par le biais des comités de quartiers qui s‘attèleront à organiser des opérations de volontariat où les habitants apporteront leur précieux concours, notamment durant le week-end. Les élus locaux piloteront ces actions en y affectant des ouvriers et fournissant le matériel indispensable (pelles, pioches, bèches, brouettes) et également des camions pour évacuer les déchets, détritus et herbes. D‘ autre part, la municipalité gagnerait à mettre en place des chantiers en recrutant les chomeurs, pères de familles et jeunes, qui seraient rémunérés dans le cadre du filet social, emploi de jeunes et autres. Les cités et quartiers du chef-lieu sont envahis par des herbes sauvages qui dépassent allègrement la taille d‘un homme, consécutivement à la pluviométrie généreuse qui a marqué le territoire national durant plusieurs mois consécutifs. Cette situation a engendré l‘émergence d‘herbes folles de toutes sortes au niveau des terrains vagues ceinturant les quartiers résidentiels et, notamment, les cités Ain-Defla, Champ de manoeuvre, Gahdour, Bara, frères Raha, Oued Maiz et 19 juin. Ce sont les appartements du rez-de-chaussée des immeubles collectifs qui sont les plus pénalisés, car les fenêtres et loggias sont submergées par cette végétation inquiétante, abritant les mulots, ces rats des champs qui créent la panique au sein des résidents, particulièrement la gent féminine et les enfants qui redoutent leurs morsures et leur incursion dans les cages d‘escaliers et même les logements. D‘aucuns affirment que des serpents évoluent au sein de ce couvert végétal, ce qui crée une certaine psychose parmi les riverains. Les enfants sont sommés par leurs parents d‘éviter ces terrains vagues, jugés dangereux du fait de cette présence menaçante. Alors, et faute d‘autres aires de jeux, les bambins investissent les rues avec tous les risques encourus face à la circulation des véhicules et leurs cortèges d‘accidents. Des pères et des mères de famille sont inquiets par cette situation qui perdure dans l‘indifférence totale des édiles de la ville. Ils préconisent l‘implication des services de nettoiement de l‘ APC afin de procéder au désherbage de ces terrains vagues qui doivent retrouver leur vocation initiale et permettre aux riverains d‘évoluer dans un environnement sain et sûr. Dans ce contexte , il serait judicieux que la société civile et le mouvement associatif s‘impliquent dans cette opération de salubrité publique et ce, par le biais des comités de quartiers qui s‘attèleront à organiser des opérations de volontariat où les habitants apporteront leur précieux concours, notamment durant le week-end. Les élus locaux piloteront ces actions en y affectant des ouvriers et fournissant le matériel indispensable (pelles, pioches, bèches, brouettes) et également des camions pour évacuer les déchets, détritus et herbes. D‘ autre part, la municipalité gagnerait à mettre en place des chantiers en recrutant les chomeurs, pères de familles et jeunes, qui seraient rémunérés dans le cadre du filet social, emploi de jeunes et autres.