Sans doute encouragée par le, «pourquoi pas...», du ministre d‘Etat, ministre de l‘Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Yazid Zerhouni à propos d‘une éventuelle dissolution de l‘APN (Assemblée populaire nationale), réclamée par certains partis politiques, entre autres le PT (Parti des travailleurs), la secrétaire générale de cette formation politique persiste et signe. A l‘ouverture de la réunion du bureau de la wilaya d‘Alger qui s‘est tenue, jeudi, Louisa Hanoune a renouvelé son appel «à la dissolution de l‘APN» et à la tenue d‘élections legislatives anticipées. Cet appel devient récurrent depuis quelques temps. Elle constitue (l‘APN), ne cesse-t-elle de claironner à chaque occasion qui se présente à elle, «un danger permanent pour la société algérienne». Elle est, explique-t-elle encore «un facteur de ralentissement de toutes les préoccupations du citoyen». Mieux encore, enfonçant le clou, elle qualifie, l‘auguste Assemblée de la chambre basse du Parlement de «cathédrale dans un désert». Il n‘en suffit pas plus pour la pasionaria du PT de revendiquer le départ des élus du peuple qui représentent, à ses yeux, une Assemblée nationale «illégitime» où «il n‘y a aucune représentativité populaire légitime», et où «Il y a des indus salaires des députés, de l‘arrogance et du mépris envers le citoyen et envers la chose publique». Il semble que cette insistance de la patronne du PT agace le président de l‘Assemblée populaire nationale (APN), Abdelaziz Ziari. Pour le troisième personnage de l‘Etat, la dissolution de cette institution, mesure réclamée par certains partis politiques, «n‘a jamais été à l‘ordre du jour» et «ne présente aucun intérêt dans l‘état actuel des choses», a-t-il souligné lors d‘une émission diffusée, hier, sur les ondes de la Chaine III de la Radio nationale. Est-ce pour autant que le débat sur cette question, qui ne fait que commencer, est clos. Pugnace et déterminée, la première responsable du PT, sans aucune doute, ne s‘arrêtera pas de réclamer la dissolution d‘une institution qu‘elle accuse de tous les maux et en retrait des préoccupations des citoyens. Au cours de cette même réunion du bureau de la wilaya d‘Alger, Louisa Hanoune a comptabilisé les acquis et les avancées enregistrées par son parti après la dernière élection présidentielle, notamment le nombre élevé de nouveaux adhérents qui ont rejoint les rangs du PT et «la mobilisation et le mouvement» de sympathie que connaît le PT, remarqués, a-t-elle, assuré «lors des meetings animés durant la campagne électorale pour la présidentielle du mois d‘avril dernier», soulignant que son parti continuera à «marquer sa présence en poursuivant le combat et le militantisme pour la paix et la démocratie en Algérie». Sans doute encouragée par le, «pourquoi pas...», du ministre d‘Etat, ministre de l‘Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Yazid Zerhouni à propos d‘une éventuelle dissolution de l‘APN (Assemblée populaire nationale), réclamée par certains partis politiques, entre autres le PT (Parti des travailleurs), la secrétaire générale de cette formation politique persiste et signe. A l‘ouverture de la réunion du bureau de la wilaya d‘Alger qui s‘est tenue, jeudi, Louisa Hanoune a renouvelé son appel «à la dissolution de l‘APN» et à la tenue d‘élections legislatives anticipées. Cet appel devient récurrent depuis quelques temps. Elle constitue (l‘APN), ne cesse-t-elle de claironner à chaque occasion qui se présente à elle, «un danger permanent pour la société algérienne». Elle est, explique-t-elle encore «un facteur de ralentissement de toutes les préoccupations du citoyen». Mieux encore, enfonçant le clou, elle qualifie, l‘auguste Assemblée de la chambre basse du Parlement de «cathédrale dans un désert». Il n‘en suffit pas plus pour la pasionaria du PT de revendiquer le départ des élus du peuple qui représentent, à ses yeux, une Assemblée nationale «illégitime» où «il n‘y a aucune représentativité populaire légitime», et où «Il y a des indus salaires des députés, de l‘arrogance et du mépris envers le citoyen et envers la chose publique». Il semble que cette insistance de la patronne du PT agace le président de l‘Assemblée populaire nationale (APN), Abdelaziz Ziari. Pour le troisième personnage de l‘Etat, la dissolution de cette institution, mesure réclamée par certains partis politiques, «n‘a jamais été à l‘ordre du jour» et «ne présente aucun intérêt dans l‘état actuel des choses», a-t-il souligné lors d‘une émission diffusée, hier, sur les ondes de la Chaine III de la Radio nationale. Est-ce pour autant que le débat sur cette question, qui ne fait que commencer, est clos. Pugnace et déterminée, la première responsable du PT, sans aucune doute, ne s‘arrêtera pas de réclamer la dissolution d‘une institution qu‘elle accuse de tous les maux et en retrait des préoccupations des citoyens. Au cours de cette même réunion du bureau de la wilaya d‘Alger, Louisa Hanoune a comptabilisé les acquis et les avancées enregistrées par son parti après la dernière élection présidentielle, notamment le nombre élevé de nouveaux adhérents qui ont rejoint les rangs du PT et «la mobilisation et le mouvement» de sympathie que connaît le PT, remarqués, a-t-elle, assuré «lors des meetings animés durant la campagne électorale pour la présidentielle du mois d‘avril dernier», soulignant que son parti continuera à «marquer sa présence en poursuivant le combat et le militantisme pour la paix et la démocratie en Algérie».