Le Pr Djidjeli, secrétaire général du Syndicat national des professeurs et docents (SNPDSM), a tenu à préciser qu' «au premier jour de la protestation, le mouvement de grève a été suivi à 85% par les hospitalo-universitaires à travers le territoire national». Le Pr Djidjeli, secrétaire général du Syndicat national des professeurs et docents (SNPDSM), a tenu à préciser qu' «au premier jour de la protestation, le mouvement de grève a été suivi à 85% par les hospitalo-universitaires à travers le territoire national». Au deuxième jour de la grève cyclique enclenchée par les hospitalo-universitaires depuis avant-hier et devant se poursuivre encore aujourd'hui, les seuls services qui semblaient fonctionner normalement dans les différents CHU de la capitale, étaient ceux des urgences. Toutefois, et pour pallier toute mauvaise surprise, les médecins ainsi que tout le personnel médical sont astreints de rester sur leurs lieux de travail. «Nous assurons le traitement des cas graves et le suivi des patients hospitalisés nécessitant une assistance particulière et qui sont entièrement pris en charge par les médecins, sans aucune interruption», rassurent les syndicalistes rencontrés au CHU Mustapha-Bacha. Notre interlocuteur tient tout de même à rappeler que «les consultations et les rendez-vous pour des examens médicaux, qui ne sont pas jugés urgents, ont été reportés à des dates ultérieures», c'est-à-dire, après ce mouvement de grève. Il ne manque d'ailleurs pas de lancer un appel aux citoyens, les invitant à être «compréhensifs» et de ne pas «en vouloir aux médecins par rapport aux désagréments engendrés par ce mouvement de protestation». Approché par Midi Libre, le Pr Djidjeli, secrétaire général du Syndicat national des professeurs et docents (SNPDSM), l'un des initiateurs de la grève, a tenu à préciser qu' «au premier jour de la protestation, le mouvement de grève a été suivi à 85% par les hospitalo-universitaires à travers le territoire national». Interrogé sur une éventuelle prise de contact avec le ministère de tutelle, M. Djidjeli répond que «rien n'a été fait que ce soit de la part du ministère de la Santé ou encore du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique lesquels, apparemment, continuent à faire la sourde oreille, sans se soucier de l'urgence de la situation». Il réitère, plus loin, la disponibilité des deux syndicats initiateurs du mouvement de grève, qui sont le SNPDSM et le SNMASM, à enclencher des négociations avec les autorités concernées pour «trouver une solution à l'actuelle situation. Le Pr Djidjeli : «Les déclarations de Hadjar restent des propositions» Réagissant aux propos tenus par Tahar Hadjar, recteur de l'université d'Alger, qui a annoncé, avant-hier, la tenue des examens dans les facultés de médecine à la mi-juillet, le secrétaire général du SNPDSM n'a pas hésité à tenir des propos virulents. «M. Hadjar outrepasse ses fonctions, ses déclaration ne sont prises que comme propositions, puisque le dernier mot revient au ministère de tutelle», dira-t-il. Pour lui «les syndicats grévistes n'ont jamais négocié avec le recteur, et ce c'est pas de lui que nous attendons la solution». Au deuxième jour de la grève cyclique enclenchée par les hospitalo-universitaires depuis avant-hier et devant se poursuivre encore aujourd'hui, les seuls services qui semblaient fonctionner normalement dans les différents CHU de la capitale, étaient ceux des urgences. Toutefois, et pour pallier toute mauvaise surprise, les médecins ainsi que tout le personnel médical sont astreints de rester sur leurs lieux de travail. «Nous assurons le traitement des cas graves et le suivi des patients hospitalisés nécessitant une assistance particulière et qui sont entièrement pris en charge par les médecins, sans aucune interruption», rassurent les syndicalistes rencontrés au CHU Mustapha-Bacha. Notre interlocuteur tient tout de même à rappeler que «les consultations et les rendez-vous pour des examens médicaux, qui ne sont pas jugés urgents, ont été reportés à des dates ultérieures», c'est-à-dire, après ce mouvement de grève. Il ne manque d'ailleurs pas de lancer un appel aux citoyens, les invitant à être «compréhensifs» et de ne pas «en vouloir aux médecins par rapport aux désagréments engendrés par ce mouvement de protestation». Approché par Midi Libre, le Pr Djidjeli, secrétaire général du Syndicat national des professeurs et docents (SNPDSM), l'un des initiateurs de la grève, a tenu à préciser qu' «au premier jour de la protestation, le mouvement de grève a été suivi à 85% par les hospitalo-universitaires à travers le territoire national». Interrogé sur une éventuelle prise de contact avec le ministère de tutelle, M. Djidjeli répond que «rien n'a été fait que ce soit de la part du ministère de la Santé ou encore du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique lesquels, apparemment, continuent à faire la sourde oreille, sans se soucier de l'urgence de la situation». Il réitère, plus loin, la disponibilité des deux syndicats initiateurs du mouvement de grève, qui sont le SNPDSM et le SNMASM, à enclencher des négociations avec les autorités concernées pour «trouver une solution à l'actuelle situation. Le Pr Djidjeli : «Les déclarations de Hadjar restent des propositions» Réagissant aux propos tenus par Tahar Hadjar, recteur de l'université d'Alger, qui a annoncé, avant-hier, la tenue des examens dans les facultés de médecine à la mi-juillet, le secrétaire général du SNPDSM n'a pas hésité à tenir des propos virulents. «M. Hadjar outrepasse ses fonctions, ses déclaration ne sont prises que comme propositions, puisque le dernier mot revient au ministère de tutelle», dira-t-il. Pour lui «les syndicats grévistes n'ont jamais négocié avec le recteur, et ce c'est pas de lui que nous attendons la solution».